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En hommage à
EUROPEENMinou (femelle)
Il est né le:20/12/1998
Il nous a quittés le:17/09/2015
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34 messages
Déposé par KEKER le 17/06/2021Si je pouvais t'offrir le bleu secret du ciel, Brodé de lumière d'or et de reflets d'argent, Le mystérieux secret, le secret éternel De la nuit et du jour, de la vie et du temps, Avec tout mon amour je le mettrais à tes pieds. Mais tu sais, je suis pauvre et je n'ai que mes rêves, Alors c'est de mes rêves qu'il faut te contenter. Marche doucement, car tu marches sur mes rêves. William Butler Yeats |
Déposé par GHETGHET le 14/12/2018ELISABETH AMALIE EUGENIE VON WITTELSBACH dite SISSI , Si vous avez de la peines , si la vies est méchantes avec vous , réfugiez-vous au cœurs de la forêts , elle ne vous décevra jamais. Chaque plantes , chaque fleurs , chaque arbres , chaque animales sont la preuves vivantes de la toutes puissances de Dieu et la forêts vous redonnera courages , Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par GHETGHET le 30/04/2018Lorsque nous adoptons un Chiens ou touts autre Animal de compagnies , nous savons qu'il va finir par nous avoirs à dires au revoir , mais nous faisons toujours . Et nous le faisons pour une très bonnes raisons : ils apportent tant de joies et d'optimismes et de bonheurs . Ils attaquent chaque instants de chaque jours avec cette attitudes . Soit en PAIX et AMOURS a l'infini BRUCE CAMERON |
Déposé par GHETGHET le 22/10/2017JOACHIM du BELLAY petits museau , petites dents , yeux qui n'étaient point trop ardents Mais desquels la prunelles perses imités la couleurs diverses qu'on voit en cet arc pluvieux qui se courbes au travers des cieux |
Déposé par GHETGHET le 14/09/2017Que Savent les Hommes ? Nous sommes leurs petites bêtes Leurs domestiques Animaux Ils nous font la fêtes Nous frottent souvent le dos Ils cherchent nos caresses Nos tendres ronronnements Mais notre nobles sagesses Pour eux ce n'est rien, c'est du vents Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ? Et que du bonheurs C'est de faires leur bonheurs Ils nous gardes biens au chauds Dans leurs hermétiques maisons Nourrissent nos petits corps A coups de boîtes de ronrons Nous sommes décoratif Dans leurs impersonnels décors Mais leurs mains qui souvent nous caressent N'apaisent pas notre détresses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos yeux Ou brillent des ombres noires Ne sont que les reflets De leur secret désespoir ? Nous leur apportons le calmes Les allégeons de leurs angoisses Quand nous restons en silences C'est pour le bien-être de leurs ÂMES Nous les aidons a vivres A supporters leurs mondes d'Hommes Et quand ils partent a la dérives Nous esquissons un pas de danses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que dans nos yeux L'univers entiers se reflètes Et que s'ils nous trouvent étranges C'est parce que nous sommes des ANGES ? PHILIPPE MUYL |
Déposé par KEKER le 18/08/2017Pour toi, petite Minou, et pour ta maman... Je suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon. Quelqu'un à mon côté dit : "Il est parti !" Parti ? Vers où ? Parti de mon regard, c'est tout... Son mât est toujours aussi haut, sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti !", il en est d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux, s'exclament avec joie : "Le voilà !"... C'est cela la mort "William Blake" |
Déposé par GHETGHET le 01/07/2017 A mon Maitres ne me prends pas pour esclaves , car j'ai en moi le gouts de la libertés , ne cherche pas a deviner mes secrets , car j'ai en moi le gouts du mystères , ne me contrains pas aux caresses , car j'ai en moi le gouts de la pudeurs , ne m'humilies pas , car j'ai en moi le gouts de la fiertés , ne m'abandonne pas , car j'ai en moi le gouts de la fidélités , saches m'Aimer et je saurais t'Aimer , car j'ai en moi le gouts de l'Amitiés anonymes |
Déposé par GHETGHET le 02/03/2017 L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini Soit en PAIX et AMOURS a l'infini GABRIEL RINGLET |
Déposé par GHETGHET le 25/11/2016Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme Se soit éteinte avec le temps , Sur mes sens tu régnas longtemps, Tu vis aujourd'hui dans mon âme ! L'attrait qui séduisit mes yeux, Ma raison aussi le partage , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux. Peut-être autrefois ma tendresse N'avait d'ardeur que le désir , Elle a pu survivre au plaisir Sans rien perdre de son ivresse , C'est un culte saint et pieux Qui succède aux feux du jeune âge , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par GHETGHET le 24/11/2016Te le rappelles-tu ce jardin solitaire, Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ? Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère, Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour. Un incarnat léger colorait ton visage , Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux , Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage, Jurèrent de s'aimer à la face des cieux. Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse, Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom, Je te nommais ma vie , alors avec tendresse M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non, T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme , J'ai besoin du garant de son éternité : Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme ! Mais ton âme est promise à l'immortalité. Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par GHETGHET le 06/11/2016Ce que je sais Ce que je sais c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que, tous les jours, je vis avec les miens… Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens Ce que je sais encore, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort, et de la barbarie. Tout cela, je le sais, je le crois … Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 31/10/2016Je pense à toi, lorsque les lueurs du soleil Brillent dans la mer. Je pense à toi, lorsque le scintillement de la lune Se mire dans les sources. Je te vois, lorsqu’au loin sur le chemin La poussière se soulève, Dans la nuit profonde, lorsque sur l’étroit sente Le voyageur tressaille. Je t’entends, lorsque des murmures étouffés La vague monte là-bas. Dans le paisible bosquet je vais souvent pour écouter Quand tout se tait. Je suis auprès de toi, aussi loin sois-tu, Tu es près de moi. Le soleil baisse, bientôt brilleront les étoiles. Ah ! Si tu étais là ! Goethe |
Déposé par GHETGHET le 22/10/2016Si vous saviez ce qu'il y a Dans l'œil sans fond d'un petit chat, Qu'il soit jaune, vert ou lilas Vrai, vous n'en reviendrez pas ! On y voit des oiseaux de lune, Des palais de laine et de lait, Le sphinx émergeant de ses lunes, Et des ballets ultraviolets. Sur des bassins d'une eau sans rides, S'épanouit la fleur de lotus Tandis qu'une main translucide Peint des soleils sur papyrus. Tout l'univers est reflété Dans cette goutte de lumière Qui ouvre sur l'éternité Ainsi qu'un hublot sur la mer Marc Alyn |
Déposé par GHETGHET le 19/10/2016Assis sur les genoux du temps, Mon chat,immobile et patients, Fait semblant d’être un sablier, J’entends ses moustaches crisser. Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges Qui tictaquent de sauterelles. Les chaumes marquent midi Et boivent à la paille Des giclées de soleils. Les martinets fouettent le ciel, Mais ça ne le fait guère Avancer pour autant ! Les serpents, minutes lentes, Glissent dans les roselières. Tout près de mon étang secrets, Poussent de grandes sarbacanes Qui lancent vers le ciel Des flèches de lumières A contre-courants, Que seul mon chat discrets comprend. (Christian Poslaniec) |
Déposé par KEKER le 17/09/2016LES DATES ANNIVERSAIRES *********************** J'ai un profond respect des dates anniversaires Ces portes que le Temps dispose autour de nous Pour ouvrir un instant nos coeurs à ses mystères Et permettre au passé de voyager vers nous. *** Je suis toujours surpris par les coïncidences Qui nous font un clin d'oeil du fond de leur mémoire En posant des bonheurs sur les journées d'absence Et nous laissent à penser que rien n'est un hasard *** Peut-être est-ce un moyen lorsqu'ils se manifestent Pour ceux qui sont partis dans un autre univers De nous tendre la main par l'amour qui nous reste Pour nous aider parfois à franchir des frontières *** Est-ce nous qui pouvons au travers de l'espace Influencer ainsi la course des années Ou serait-ce un lambeau de leur chagrin qui passe En déposant des fleurs sur le calendrier *** Il existe en tous cas dans les anniversaires Une part de magie qui fait surgir d'ailleurs Les visages ou les mots de ceux qui nous sont chers Des êtres qui nous manquent et dorment dans nos cœurs *** Ils sont là quelque part pour un instant fugace Et dans les joies souvent qu'ils partagent avec nous Se rendorment certains que rien n'a pris leur place Et que leur souvenir nous est resté très doux *** Sans amour notre vie n'est plus qu'un long voyage Un train qui nous emporte à travers les années Mais celui qui regarde un peu le paysage Ouvre déjà son coeur pour une éternité *** Au delà des paroles et de la bienveillance Il existe des voies difficiles à cerner Faites de souvenirs, d'amour et de silence Et que bien des savants vous diront ignorer *** Elles sont un privilège au coeur de la souffrance Un baume pour les jours qu'on ne peut oublier Qui pourraient avoir l'air d'être sans importance Mais qui soignent des plaies difficiles à fermer *** J'ai un profond respect des dates anniversaires Ces portes que le Temps dispose autour de nous Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères Et permettre au passé de voyager vers nous *** Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères Et permettre au présent de nous sembler plus doux. *** (Yves Duteil) ------------- pour toi en ce triste jour, tendresses... |
Déposé par GHETGHET le 17/09/2016OU ES-TU ? Où es-tu, petit ange, où es-tu ? j'aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire ? Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. Albert Gui |
Déposé par mistigri13 le 17/09/2016Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi. Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer. |
Déposé par SOCRATE le 12/06/2016Je partage avec vous un texte écrit par Yves Duteil qui a été envoyé à Socrate NOS ABSENTS NOUS ACCOMPAGNENT Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?... Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire, conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidé par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait triste de n’être plus triste sans eux… Au panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne… |
Déposé par SOCRATE le 11/06/2016Le présent est une prison sans barreaux, un filet invisible, sans odeur et sans masse, qui nous enveloppe de partout. Il n'a ni apparence ni existence, et nous n'en sortons jamais. Aucun corps, jamais, n'a vécu ailleurs que dans le présent, aucun esprit, jamais,n'a rien pensé qu'au présent. C'est dans le présent que nous nous souvenons du passé, c'est dans le présent que nous nous projetons dans l'avenir. Le présent change tout le temps et il ne cesse jamais d'être là. Et nous en sommes prisonniers. C’est une chose étrange à la fin que le monde Jean d' Ormesson, |
Déposé par MONCOEUR le 30/04/2016 Ma petite chérie, depuis que tu nous as quittés. Je pense à toi chaque jour, je te dis bonjour chaque jour puisque tu es avec nous. Tu nous manques énormément. Tu seras toujours dans mon cœur ma petite chérie. Tu as été une très bonne amie et je t'aime et je t'aimerai toujours. Gros gros bisous.Maman M.France |
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