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In tribute to
Phoenix
EUROPEEN
Born on :15/05/2012
left us on:27/12/2017

Mon beau, mon superbe Phoenix, tu es parti ce soir rejoindre les étoiles. Je t'aimais tellement mon chaton, comme je disais. Adieu, va retrouvé ta maman chien. On se reverra un jour là - haut. Tu me manques déjà tellement. Jamais je ne t'oublierai. Bisous volant mon chaton.... J'ai tellement mal..😢😢😢😢😢😢




0 candle

 
9 messages

left by biscuit on 19/01/2018  
"Un être qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit,
C’est un immortel qui commence.
C’est pourquoi en attendant que j’aille le rejoindre,
Je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt.
Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements,
Ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours.
Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient,
Mais ils sont toujours et partout où nous sommes.
Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir."
(Doris Lussier)

left by biscuit on 18/01/2018  
Pour la compagne ou le compagnon qui n'est plus
Pour toi qui viens ici pour l'ultime séparation, pour l'ultime hommage à celui ou celle qui t'a donné sa fidélité, son amour, ses joies, sa reconnaissance, et pour lequel ou pour laquelle tu as eu des nuits de veille quand la maladie frappait...
Pour toi qui avais un langage unique pour échanger, pour adoucir, avec celui ou avec celle qui communiquait par un simple battement des paupières, un frémissement du museau, et qui exprimait, qui transmettait tant de messages ineffables, d'un miaulement ou d'un ronron, d'un aboiement particulier, ou qui jappait à ton approche, ou donnait de la voix.
Pour toi qui cheminais avec lui ou avec elle, et qui partageais ses jeux,
Pour toi dont il ou elle était le gardien du logis, Pour toi qui as mille et mille histoires à nous dire sur lui ou sur elle, chien ou chat,
Pour toi dont il ou elle a été le témoin de tant d'évènements familiaux,
Pour toi qui revis à présent la belle histoire d'amour qui vous liait, ne garde au coeur et en ta mémoire que la couleur de ses yeux, et de son pelage, son nom, son image, les heures de complicité, sa force vive, celle d'hier, tout ce que ce compagnon ou cette compagne t'a donné...
Que ta croyance en la survie du souffle qui l'animait soit la plus forte...
Alors ta compagne ou ton compagnon sera présent(e) dans l'invisible qui nous entoure, et tu seras apaisé(e).
Bernard Blancotte
de l'Académie du Languedoc
Paris, le 9 septembre 1988

left by biscuit on 17/01/2018  
Nos doux compagnons
Nous les aimons,
Nous les choyons,
Nous les protégeons,
Nous les soignons,
Nous leur devons
Toute notre protection
Toute leur dévotion...
Ils nous aiment,
Ils nous protègent,
Ils sont fidèles,
Ils sont tendres,
Prêts à nous défendre...
Respect, nous leur devons
A tous ces animaux doux
Nos tendres compagnons,
Ils doivent vivre avec nous
En bonne harmonie
Pendant leur courte vie
C'est notre bouffée de joie ,d'amour ,de tendresse ,c'est notre boule de poil qu'ont aime
C'est notre étoile

left by biscuit on 16/01/2018  
Lui
Tu peux verser une larme parce qu’il est parti,
Ou tu peux sourire parce qu’il a vécu.
Tu peux fermer les yeux et prier pour qu’il revienne
Ou tu peux ouvrir les yeux et t’apercevoir tout ce qu’il a laissé
Ton cœur peut être vide parce que tu ne peux plus le voir
Ou tu peux être comblé de l’amour que vous avez partagé
Tu peux tourner le dos à demain et vivre hier
Ou tu peux être heureux pour demain grâce à hier
Tu peux te souvenir de lui et uniquement qu’il est parti
Ou tu peux chérir sa mémoire et la faire revivre
Tu peux pleurer et te refermer, te vider et tourner le dos
Ou tu peux faire ce qu’il aurait souhaité : sourire, ouvrir les yeux, aimer et avancer.

left by biscuit on 15/01/2018  
'aurais aimé t'avoir encore un peu avec moi..un peu plus longtemps...
...J'aurais aimé que mon chagrin..ne dure qu'un instant mais c'est impossible....
...Et tu sais j'espère au moins..que tu m'entends...
...C'est si dur de briser le silence..même dans les cris..même dehors..
...C'est dur de combattre l'absence ton absence..et personne ne peut comprendre....
...On a chacun sa propre histoire...on m'a dit qu'il fallait attendre...que la peine s'adoucisse...
...Car on ressent une immense peine..qui ne s'efface pas si facilement....
...Aujourd'hui c'est ce qui m'arrive..vu que tu n'es plus à mes cotés...
...Et je suis complètement déchirée...car la souffrance est trop vive....
...Je voulais te dire que j'étais si fière..d'avoir était ta maman et je le serais toujours...
...Mais je sais que tout cela n'est plus possible..et c'est bien pour ça que mon cœur a une plaie...
...Qui mettra du temps à se soigner..pour qu'après,je puisse parler de toi et te regarder sans pleuré.
...Même si la vie nous à séparer tu est là dans un endroit qu'on appelle le coeur mon coeur....je t'aime...

left by biscuit on 14/01/2018  
Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi.
Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant,
Tes souvenirs me réchauffent de toi
Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière
Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur
C'est que, jardin fleuri,
il embaume encore de ta présence silencieuse.
Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus,
c'est preuve que je t'aime et que
rien ne pourra t'arracher de ma vie
Père André Marie,

left by biscuit on 13/01/2018  
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
On joue le rôle de celui pour qui tout va bien
Pourvu que les autres n'en sachent rien
On fait au mieux pour sauver la face
Pour que notre entourage ignore par où l'on passe
On rit on danse on fait les fous comme à Venise
Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
L'orgueil nous aide à tenir le coup
Apparemment on pourrait même faire des jaloux
C'est à nous même que l'on se joue la comédie
Pour s'inventer qu'on est guéri
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et que ne pas que tout espoir nous abandonne
Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir
Les blessures qui ne se voient pas
Parfois semblent avoir perdu nos trace
Et quand on ne s'y attend pas
Sans que jamais les autres le sachent
Elles remontent à la surface
Et nous fusillent une fois encore
Les blessures qui ne se voient pas
Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
on vit avec chaque jours
vous nous manquez nos petits amours,

left by biscuit on 12/01/2018  
poème à notre petit être aimé
Petit être de douceur,
qui m'a donné tant de bonheur,
toi, qui réchauffais mon coeur,
dans mes moments de pleurs.
Petit être de douceur,
tu as enrichis ma vie,
de souvenirs tellement jolis,
inscris dans le livre de ma vie.
Petite être de douceur,
nous avons traversé des nuits d'orages,
nos coeurs emplis de rage.
Petit être de douceur,
toi, l'ami fidèle pour toujours,
celui qui ne trahi jamais,
quelque soit le parcours.
Après un dernier regard,
qui m'enlevait mon dernier espoir,
tu m'as donne un dernier baiser,
comme pour me dire,
je dois te laisser.
Tu es parti doucement,
et j'ai revu tous nos moments,
te voilà envolé,
vers cette fameuse éternité.
Va mon coeur, mon bonheur,
tu as gagné ta place au paradis,
et si jamais tu croise un ange,
laisses' toi donc emporté,
dans les profondeurs du firmament,
Petit être de douceur,
n'oublies jamais maman et ta soeur
un jour tu verras,
je reviendrai auprès de toi.
Au revoir, mon coeur,
au revoir, mon grand bonheur,
au revoir petit ange,
au revoir,
petit-être de douceur.......

left by biscuit on 11/01/2018  
Il se lovait souvent sur les feuilles éparses
De mon petit bureau, ou bien sur mes genoux,
Et ne tolérait pas la vue de ses comparses
Qui redoutaient sa griffe autant que son courroux.
Il m'avait élu Maître, et j'étais son otage
-Prisonnier envoûté par son iris béant
M'ouvrant un au-delà mystérieux et sauvage
Où divaguait sans peur mon esprit mécréant.
Nous en faisions un jeu : "la prunelle de fer ";
Las ! je sortais vaincu de toutes nos batailles,
Surtout quand me brûlaient les flammes de l'Enfer
Dans son oeil acéré lacérant mes entrailles.
L'aurore l'invitait au creux de mon giron ;
Il me couvrait alors d'un regard patelin,
Modulant mon réveil d'un lyrique ronron
Qu'il posait sur ma joue en un vibrant câlin.
Dans un frémissement de sa fine moustache
Il ondulait parfois sur les sentiers du rêve;
Même dans l'abandon, qu'il avait du panache !
Combien ma main aimait à le flatter sans trêve !
Sur le coussin ridé du vieux fauteuil voltaire
L'absence a fait son lit au val de mon félin;
Oh, je hais ce trépas en mon coeur solitaire !
Et je pleure l'ami qui me fait orphelin.
Alice Hugo,




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