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En hommage à
Arès
NORVEGIEN
Il est né le:01/01/1999
Il nous a quittés le:11/08/2004

Arès

Une fourrure noire et soyeuse,
Deux grands yeux verts qui vous fixaient intensément,
Laissant transparaître un calme olympien,
Il portait le nom d'un dieu, Arès…

Par un matin gris,
Tu es parti…
Laissant derrière toi chagrin et mélancolie.
Tu n'es déjà plus de ce monde,
Toi qui n'était que douceur,
Toi qui n'était que tendresse,
Tu es parti vers un ailleurs qui t'apportera je l'espère le bonheur…

En moi, tu n'as laissé que détresse…
En moi, tu continues de vivre…
Pourquoi !
Aujourd'hui, je n'ai que des questions sans réponses…

Pourquoi !
Le destin est si cruel parfois…
Dans mon cœur, qui te pleure,
Il restera nos souvenirs, nos jeux d'autrefois…

Des larmes ruissellent sur mes joues salées,
Arès, petit dieu de la guerre…
Tu fais déjà partie de mon passé…

Quand le ciel devient noir, et que la nuit vient doucement m'envelopper
Je suis avec toi, c'est magique…
Alors, je maudis la lumière du jour qui vient frapper à ma fenêtre te chassant déjà,
Je voudrais m'endormir dans un rêve sans fin…

France CLIQUOT




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9 messages

Déposé par elise2512 le 14/03/2017  
CHAT, TU ES MON AMI
Chat, tu es mon ami, mon confident muet,
Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé.
Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille,
Le désir envoûtant d’une étoile qui brille.
Cet œil est une Agathe version multicolore,
Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore,
Tout ton corps se prépare, offert à la caresse,
Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse.
A peine que ma main ne vienne t’effleurer,
Que tu danses déjà, ne sachant où passer.
Tout ton être me frôle, électrique, impatient,
Recherchant le plaisir traduit en ronronnant.
Il suffit que je te touche et le miracle opère
Tu deviens un enfant, dans les bras du père.
Je te prends contre moi, monte sur mon épaule,
Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole.
Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces,
Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse.
J’arrêterais le temps, sublime instant de paix,
Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité.
(Gilbert Dumas)

Déposé par biscuit le 25/01/2016  
PARCE QUE…
Pour tous les bêtes qui cherche un Maître…Et un ami.
Parce que l’oiseau blessée
A qui j’ai donné asile dans mes mains
Et revenu souvent, chanter sous ma fenêtre,
Et que le chien perdu, affamer de tendresse
Et venu contre moi, confier sa tendresse,
L’échant la main surprise, qui donna la caresse.
Parce que le petit chat, jeté tel un jouet,
Qui n’intéresser plus, les enfants trop gâtés
Ma criée son immense peine,
De découvrir les hommes laids.
Je sens monter en moi,
Cet élan de tendresse envers les animaux,
Qui souffrent et qui sans cessent,
Quémandeur du regret de tristesse.
L’attention d’un ami, rencontré au hasard
D’un coin gris de leurs vies…
Pour vous qui lisez, il n’est pas trop tard,
Pour aimer, adopter, soigner et rendre libre
Un animal perdu, croisant votre chemin…
Il attend de vous, tendez-lui la main,
Vous lui dites « amitié », il vous répond « sans cesse » !
Un amour donner ?
Voilà mille tendresses.
Donnez,
Vous recevrez un trésor de caresse

Déposé par biscuit le 20/01/2016  

pour toi mon petit chat adorè,
Avec toi je n'ai pas peur d'être ce que je suis,
Avec toi je n'ai pas peur de ce que je te confis,
Je me sens juste vivre,
Je me sens juste sourire...
Je n'ai peut-être pas des ailes dans le dos,
Je n'ai peut-être pas l'allure d'un oiseau,
Mais je t'ai toi,
Et c'est tellement plus que tout ça...
Tant que tu seras à mes côtés à veiller sur moi,
Je n'aurais pas peur d'affronter la réalité,
Car tu es celui qui est le plus important a mes yeux,
Car tu es celui qui nous à tant apporté
Juste un dernier vers,
Pour te dire qu'à travers,
Toi,
Je me sens moi...,

Déposé par biscuit le 19/01/2016  
Pour toi trésor.
Le cœur brisé je suis partie.
A la maison je t’ai cherchée.
Au jardin j’ai cru apercevoir ton ombre
mais c’était la mienne.
Le temps qui m’a paru si court avec toi à mes côtés
S’étire, n’en finit pas
et pourtant c’est déjà demain
comment ais je survécu à cette nuit sans toi ?
Je te cherche,
tu es là sur le tapis.
Mais non
ce sont mes larmes qui brouillent ma vue.
Des jours,des mois ont passé...
Le vent dans les rideaux
Un bruit comme des pattes sur le parquet,
non le chagrin ne m’a pas rendu folle.
Tu es là
tout prés
dans mon cœur
à l’abri
mon chat, mon ange…

Déposé par biscuit le 17/01/2016  

Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars

Déposé par biscuit le 15/01/2016  

Seigneur Dieu,
Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie,
Trouveront étrange cette prière,
Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures,
Vous comprendrez.
Mon coeur est lourd,
Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e),
Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie.
Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable,
Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle.
Et sa présence me manquera.
Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel
Et la quête d'affection spontanée,
Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens,
J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins
Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres.
Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre
Me rappeler que la mort attend chacun de nous,
Animaux comme les humains,
Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie.
Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection
En attendant la plénitude et la libération de toute la création.

Déposé par elise2512 le 14/01/2016  
Lorsque deux nobles cœurs se sont vraiment aimés
Leur amour est plus fort que la mort elle-même
Cueillons les souvenirs que nous avons semés
Et l'absence après tout n'est rien lorsque l'on s'aime...
« Guillaume Apollinaire »

Déposé par biscuit le 14/01/2016  
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
On joue le rôle de celui pour qui tout va bien
Pourvu que les autres n'en sachent rien
On fait au mieux pour sauver la face
Pour que notre entourage ignore par où l'on passe
On rit on danse on fait les fous comme à Venise
Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
L'orgueil nous aide à tenir le coup
Apparemment on pourrait même faire des jaloux
C'est à nous même que l'on se joue la comédie
Pour s'inventer qu'on est guéri
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et que ne pas que tout espoir nous abandonne
Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir
Les blessures qui ne se voient pas
Parfois semblent avoir perdu nos trace
Et quand on ne s'y attend pas
Sans que jamais les autres le sachent
Elles remontent à la surface
Et nous fusillent une fois encore
Les blessures qui ne se voient pas
Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
on vit avec chaque jours
vous nous manquez nos petits amours,

Déposé par biscuit le 13/01/2016  
Absence
L'année s'est écoulée, me laissant bien songeuse,
Les mois ont défilé, si rapides si courts,
Pourtant la vie s'étire et l'espace se creuse
Nous séparant, hélas, un peu plus chaque jour.
À l'encontre du temps, en retour, en arrière,
Je m'efforce d'aller, j'essaie de revenir.
Il me reste ce soir le triste anniversaire
Pour empêcher l'oubli, pour mieux le contenir.
Tu m'offres cependant la chance inespérée
De te voir apparaître au milieu de mes nuits ;
Mais ta visite est brève alors, désemparée,
Je m'accroche en pleurant au rêve qui s'enfuit.




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