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En hommage à
Parnelle
EUROPEEN
Il est né le:--/04/1996
Il nous a quittés le:02/07/2011

-------------Souvenirs de Parnelle, ma princesse aux yeux verts----------------

-------------------------------------------------------------------------------

Ma belle, ma Parnelle
ma princesse aux yeux verts,
ta maîtresse et moi, nous t'adorions plus que de raison

tes beaux yeux clairs, ta frimousse et ton museau rose
tes belles moustaches blanches et dures,
ton poil soyeux et son odeur subtile
ta queue agile et ses anneaux noirs

comme nous t'avons aimée pendant ces 15 années
tu étais si jalouse, si excessive et si exclusive
tu n'aimais que nous et nous
et tu boudais si on ne t'en donnait pas assez

ton oeil de coquine
tes petits bonds dans la maison
pour échapper aux monstres imaginaires
que tu t'inventais
tes airs de sphinx, perchée sur la hauteur d'un meuble
tes câlins si intenses
tes bavardages déclinés en miaous inimitables
tes mille rituels du petit matin jusqu'à la nuit

ta confiance et ton amour dans ton regard
qui me sondait pour s'assurer que pour toi
j'étais bien le Dieu des Chats
qui veillait sur toi

Nous ne t'oublierons jamais
tellement tu as compté
ta loyauté et ton amour sans faille
ton courage dans toutes les épreuves

Tu nous manques

(Ton "Dieu-Papa", Ta "Soeur-Maman")




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181 messages

Déposé par Migisa le 19/06/2014  
Juin 2014... juin 2011, bientôt trois ans. Nous vivions nos derniers jours ensemble et je ne le savais pas. Tu n'étais pas si mal pourtant malgré tes quinze ans, ton poil était certes moins beau, tu étais un peu maigre mais c'est tout. Il faisait si chaud et tu dormais beaucoup. Je pense à toi, à ces 15 merveilleuses années riches en aventures et en émotions. Où es-tu ma princesse aux yeux verts? Entends-tu? Vois-tu quelque chose?

Déposé par Touky le 14/06/2014  
Merci pour Raya, une douce pensée pour la belle et aventureuse Parnelle, restée à tout jamais dans le cœur de sa famille tant aimée

Déposé par PiouPiou le 08/06/2014  
Nous sommes éloignés et pourtant je suis proche,
Sentant cette connexion incassable qui nous unit.
Etrange et rassurante, elle me permet de surmonter ton absence et me rapproche un peu plus de toi chaque jour....
Impossible pour moi de croire que loin des yeux loin du cœur....

Déposé par Migisa le 13/05/2014  
« Le loir »
Parnelle a été toute sa vie une redoutable chasseuse : lapins, lièvres, belettes, merles, couleuvres, souris et musaraignes en ont fait l’expérience quand elle régnait en tigresse absolue sur le jardin et les abords de sa première maison…
Nous avons vécu un an et demi dans une troisième demeure pour elle. Les sorties lui étaient devenues interdites mais les rencontres avec d’autres animaux pas impossibles. Cette vieille bâtisse grouillait de … loirs. Nuits difficiles avec ces bestioles qui font un raffut d’enfer et notre mimine était très intriguée par ces courses qu’elle percevait sous le plancher ou dans les greniers au-dessus de nos têtes.
Ils s’aventuraient jusque dans la maison et une nuit Parnelle en a débusqué, traqué et isolé un. J’ai été réveillé en sursaut par des espèces de cris stridents, je me suis levé et dirigé vers l’endroit d’où provenaient les bruits. Parnelle était plantée au beau milieu d’un salon, elle fixait le mur et là, scotché en haut d’une cloison, il y avait ce loir, terrorisé qui poussait des cris.
Je n’ai pas laissé la chasseuse avec sa proie. J’ai fait sortir Parnelle et le loir s’est aussitôt enfui entre deux lattes de plancher…

Déposé par PiouPiou le 01/05/2014  
Le muguet
Cloches naïves du muguet,
Carillonnez ! car voici Mai !
Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Les yeux brillants, l'âme légère,
Les fillettes s'en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Maurice CARÊME
(1899-1978)
******************
Belle journée de 1er mai Belle Parnelle avec ta petite Sœur Réglisse et tous tes potes... Une pensée à ton Papa de cœur...

Déposé par mumu le 28/04/2014  

Bonjour Migisa,
Merci pour votre attention régulière à l'anniversaire de la mort de Neko. Le chagrin diminue certes, mais je n'arrive toujours pas à reprendre un autre chat. On verra bien à l'avenir.
Une pensée à vos chats aimés.
Muriel

Déposé par Migisa le 16/04/2014  
Parnelle aurait eu 18 ans ces jours-ci… sur ses papiers, il est indiqué qu’elle est née en mai 1996 mais c’est absurde car nous l’avons eue à la mi-juin et même si elle était minuscule, elle était sevrée, alimentairement du moins, elle devait donc avoir 8 ou 9 semaines minimum.
A l’époque nous n’avons pas eu la présence d’esprit de demander aux particuliers qui nous la confiaient quel jour elle était née. Je l’ai bien regretté par la suite quand des années plus tard nous voulions souhaiter bon anniversaire à notre belle minoune eh bien, il fallait choisir un jour d’avril au hasard dans la deuxième quinzaine !
18 ans, c’est l’âge que nous avions espéré pour elle, plus encore bien sûr mais quand elle a passé le cap des dix ans et a commencé à vieillir, on s’est dit que 18 ans ce serait déjà bien. Elle avait longtemps vécu libre, avait eu de nombreux accidents et infections, plus ou moins graves alors on se doutait bien qu’elle ne battrait pas des records de longévité même si secrètement on l’espérait.
Elle nous a quittés peu après son quinzième anniversaire, par une triste journée de juillet 2011. Une insuffisance rénale, pas trop prononcée mais qui a suffi à emballer la machine à vieillir, déclenchant entre autres une insuffisance respiratoire aigüe.
Ce fut un choc terrible, 15 années d’amour, 15 années de notre vie qui disparaissaient en une fraction de temps. Je l’ai pleurée des mois à en avoir mal et puis le temps à la fois réparateur et destructeur a fait son œuvre. Il a mis un terme aux larmes, il a adouci la tristesse, il m’a permis de tourner la page, aidé en cela par un deuxième amour, Réglisse, que je devais aussi perdre plus tard…
Si le chagrin est derrière moi, plein de choses qui étaient elle se sont évanouies à jamais : son petit parfum subtil, le son de ses miaulements, la douceur et la profondeur de sa fourrure. Aujourd’hui, j’ai même du mal à visualiser des scènes, des mouvements avec elle, c’est comme flouté et instable. Elle ne vient plus dans mes rêves non plus…
Et pourtant, je pense à elle souvent, je me souviens à quel point je l’ai aimée et parfois, même si je ne peux plus vraiment dire qu’elle me manque, j’ai envie qu’elle apparaisse soudain, j’ai envie de la revoir.
Je ne l’oublierai jamais…

Déposé par Migisa le 15/03/2014  
"Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie les passions et l'on oublie les voix..."
c'est ce que chantait Léo Ferré. Oui, le temps destructeur m'a privé du son de tes miaous, de ton petit parfum subtil, du soyeux de ta fourrure mais il ne te chassera jamais de mon coeur

Déposé par Migisa le 09/03/2014  
Comme le temps passe ma belle Parnelle. Indifférent et implacable, il efface tout et oblitère les parfums, les sensations, les caresses et les bruits pour ne laisser que des images, des scènes aux contours flous. Je t'ai tant aimée et tant pleurée et même si aujourd'hui j'ai moins mal, je ne t'oublie pas, ma princesse aux yeux verts, ma petite sauvage parfois si câline et si tendre.

Déposé par chacaju le 25/02/2014  
Qu'il est bien vrai le message qui précède le mien. Au travers des histoires et anecdotes racontées par ton papa, même si l'on ne t'a pas connue ici-bas, on découvre aisément le chat affectueux , tout de tendresse et de douceur que tu étais, Parnelle. Ton papa parle de toi avec tant d'amour, et il est vrai que le seul endroit où vous continuez de vivre près de nous est notre cœur, car l'amour ne meurt jamais. Toutes ces histoires, tes histoires racontées avec tant de détails traduisent les sentiments si fort que ton papa et ta maman ressentaient pour toi, et quelle belle preuve d'affection que tous ces écrits si méticuleusement déposés sur ta page, c'est le meilleur moyen de les conserver intacts car hélas au fil du temps, le souvenir doit se flouter. Ne dit -on pas que les plus beaux messages d'adieu ( je voudrais dire d'au revoir) sont toujours écrits avec l 'encre des yeux? Ton papa devait t'observer avec beaucoup de tendresse et de complicité.
Mes plus tendres pensées, Parnelle, jolie princesse aux yeux verts.

Déposé par Touky le 16/02/2014  
Bien des écrivains ont raconté leur chat, certains connus, d'autres moins, mais ton histoire, tes histoires, racontées par ton cher papa ont quelque chose de spécial, Parnelle, on sent qu'il écrit à l'encre de son coeur.
Il en faut du temps pour tout lire, mais une fois commencée cette lecture on est happé par l'envie de te découvrir, tour à tour câline, aventureuse, boudeuse, aventureuse et tant d'autres qualificatifs que ton papa a évoqués. Certains récits m'ont rappelé les différents minous qui ont fait un bout de chemin avec nous, et j'imagine très bien certaines scènes.
Je crois qu'il a trouvé avec toi "la chatte de sa vie", avec qui il a vécu dans cette osmose rare et précieuse. Tu as été aussi une petite boule de poils précieuse pour ta maîtresse, lui permettant de supporter la maladie.
Je te crois heureuse au paradis, Parnelle, parce que tu as connu le bonheur sur terre, comme tu as donné du bonheur à ta famille.
Tendres câlins petite chatte.

Déposé par Migisa le 15/02/2014  
Le jour où elle est partie...
C'était un samedi, le 2 juillet 2011, peu après 17h, Parnelle a été endormie pour toujours, dans mes bras. Ce fut une journée pleine d'espoir au début. Je l'avais récupérée à la clinique où elle avait été amenée la veille, le diagnostic -insuffisance rénale- avait amené le véto à faire une perfusion et envisager un régime. Elle avait bien réagi, il était optimiste et pensait la revoir le lundi pour une nouvelle prise de sang et un prolongement éventuel du traitement.
Ma pupuce était folle de joie quand je suis allée la chercher, elle miaulait et se blottissait contre moi. Dès le retour à la maison, ce fut rapidement l'angoisse puis l'enfer. Elle s'est effondrée en sortant de sa boîte, prostrée, vaincue, parvenant à aller jusqu'à sa litière pour faire son dernier pissou; elle était d'une propreté maniaque et même à l'heure de sa mort elle ne voulait pas souiller la maison. Coup de téléphone, message rassurant de la secrétaire qui suggère de rappeler si au bout d'une heure, elle est dans le même état.
Il n'y a pas eu de miracle, de sursaut. J'ai dû la ramener, une petite caresse de sa maitresse handicapée, condamnée à me laisser gérer seul, la boîte, la voiture, par une journée de quasi-canicule, la clinique...
Le véto, sombre, constate un problème respiratoire aigu, lui fait des injections, une radio, et la met sous oxygène. Je suis resté à côté d'elle pendant près de trois heures et tous les sentiments m'ont traversé: l'espoir qu'elle s'en sorte encore une fois (elle a connu bien des soucis et eu bien des accidents), la peur, l'angoisse de la mort, la colère, je lui ai même dit à un moment 'qu'est-ce-que tu fais? Tu veux partir? Eh bien va-t'en alors...' avant de me reprendre et de la supplier de faire un effort et de se reprendre et de ne pas nous laisser. Elle me regardait avec son air des mauvais jours, sans trop souffrir, elle était à la peine et suffoquait de plus en plus. J'abrège mais ensuite est venu le temps où le véto m'a dit qu'il n'y avait plus d'espoir, qu'elle s'en allait et qu'il fallait éviter qu'elle souffre. Je l'ai prise dans mes bras, je l'ai serrée doucement, je l'ai embrassée deux ou trois fois pendant qu'il l'envoyait au pays d'où l'on ne revient pas.
Elle était immobile et j'ai pleuré comme un môme. J'avais vieilli de quinze ans, les quinze merveilleuses années vécues avec cette chatoune extraordinaire étaient passées, en une fraction de seconde...
Le temps a fait en partie son œuvre, nous avons moins de chagrin, nous vivons... mais chaque fois que nous pensons à elle, il y a une fois passée l'évocation des bons souvenirs, ce sentiment d'inachevé car nous l'avions rêvée vivant jusqu'à 18, 19 ou 20 ans...

Déposé par chacaju le 14/02/2014  
Adieu mon chat,
Au paradis des chats te voilà jeune et fier,
Oubliant ton grand âge et tes plaintes d’hier…
Tu m’as accompagnée un morceau de ma vie,
Mais je t’ai dit adieu, en ce matin
Je ne t’entendrai plus miauler en ma maison,
Mais en mon cœur tu es, et pour tant de saisons.
Mon beau chat mystérieux, referme tes yeux bleus
Sur tout ce qui fut ton bonheur, ton univers.
Merci pour tes caresses et tes pattes de velours,
Toutes ces années où tu m’offris tout ton amour.
J’aimais ta fourrure sombre, ta présence apaisante,
Et il me manquera ce soir ta douceur bienfaisante.
Repose en ma mémoire, je ne t’oublierai pas…
Je devine dans mon verre le feu de tes prunelles…
Puisse quelque ange félin t’offrir un bout de ciel,
Moi je te donne mes larmes sur l’empreinte de tes pas…
Et n'oublie jamais, belle Parnelle de veiller sur Ton "Dieu-Papa", Ta "Soeur-Maman"
(texte que j'avais offert à Cléo et trouvé sur internet)

Déposé par PiouPiou le 13/02/2014  
Mes yeux se sont séparés de tes yeux
Ils perdent leur confiance, ils perdent leur lumière
Ma bouche s’est séparée de ta bouche
Ma bouche s’est séparée du plaisir
Et du sens de l’amour, et du sens de la vie
Mes mains se sont séparées de tes pattes
Mes mains laissent tout échapper
Mes pieds se sont séparés de tes pieds
Ils n’avanceront plus, il n’y a plus de route
Ils ne connaîtront plus mon poids, ni le repos
Il m’est donné de voir ma vie finir
Avec la tienne
Ma vie en ton pouvoir
Que j’ai crue infinie
Et l’avenir mon seul espoir c’est mon tombeau
Pareil au tien, cerné d’un monde indifférent
J’étais si près de toi que j’ai froid près des autres.
Poeme de Paul Eluard

Déposé par Migisa le 08/02/2014  
Il y a plus de 30 mois, un triste samedi comme celui-ci, nous étions seuls, ta maîtresse et moi. Tu venais juste de quitter ce monde, dans mes bras. Avec toi, quinze années de notre vie s'étaient évanouies avec ton dernier souffle.
Comme tu étais belle et comme j'étais fier d'avoir été ton dieu, ton dieu-papa.
Le temps passe, j'ai oublié l'essentiel de mes larmes, je n'entends plus ta voix, je ne sens plus ton petit parfum suave, la mémoire est sourde aux sens je crois. Tu n'es pas venue dans mes rêves depuis bien longtemps mais tu es là, sur les photos, dans ses images et ses scènes qui traversent mon esprit parfois et à jamais dans mon coeur.

Déposé par tonton le 04/02/2014  
"Le ronronnement est la sourire du chat."
Hector Biancotti

Déposé par Migisa le 30/01/2014  
"Le petit chat jaune"
dans la maison où Parnelle a passé les dix premières années de sa vie, il y en avait des territoires à explorer : un champ de l’autre côté de la petite route qui passait devant la maison, nos deux jardins, celui du voisin d’en face avec son bac à sable et à gauche en sortant, un autre champ avec au bout une grande maison que les propriétaires ne semblaient occuper que le week-end et lors des vacances scolaires.
Un jour, un peu par hasard, j’ai découvert que la proprio tenait un petit bar-tabac à quelques kilomètres de chez nous… de fil en aiguille, on en est venus à discuter voisinage et de Parnelle. Je lui ai demandé si elle ne faisait pas de bêtises dans leur jardin car je savais qu’elle y allait se promener.
« Ah, il est à vous le petit chat jaune ? ». J’ai bien ri, tout de même elle n’était pas « jaune » Parnelle mais de temps en temps, on l’a appelé comme ça. Au retour de certaines de ses excursions, on lui disait : « tiens, le petit chat jaune se rappelle qu’il a des maîtres et une maison !! »

Déposé par PiouPiou le 28/01/2014  
A l'ombre de ton sommeil
reposent les vestiges des songes
il paraît qu'au-delà des collines
pointe l'autre horizon
je n'implore du soleil
aucun rai
je porte en moi
la lumière de ton éveil
l'éblouissement de ton regard
rivé vers l'éternité
Poeme d' Alain Mabanckou ( Congo )

Déposé par Migisa le 16/01/2014  
Ma belle boudeuse, parfois je me dis que si tu n'avais pas eu autant de mésaventures, si on t'avait gardé au chaud, à l'abri dans ta première maison...si j'avais été mieux informé et plus rigoureux sur ta nourriture...tu aurais peut-être vécu ces années supplémentaires qu'on avait tant désirées avec toi. Je me souviens de toi comme si l'on avait eu plusieurs chats: le petit chaton minuscule des premières semaines, la petite sauvage effrontée et caractérielle des premiers mois, la minoune excessive et câline des premières années, la minette résignée dans cette deuxième maison que ni toi ni nous n'avons aimée puis la mamie-minou paisible, un peu fragile mais toujours coquine et aimante des dernières années. Comme tu es loin désormais et pourtant toujours si vivante dans nos coeurs.

Déposé par Migisa le 06/01/2014  
Je t'ai tant pleurée, à en avoir mal au ventre et mal au coeur certains matins. Quand je rentrais du travail, j'ai été triste si longtemps car je savais que tu ne serais pas là, à m'attendre et à me faire la fête.
Puis le temps a passé, j'ai raconté tes aventures, tes histoires et puis la petite Réglisse, sans prendre ta place, nous a donné à son tour amour et réconfort.
Je ne suis plus dévoré par la tristesse maintenant... oh bien sûr, j'aimerais bien que tu sois là et retrouver ton odeur subtile, tes câlins intenses et ta petite langue râpeuse sur mes mains mais quand je pense à toi, que je regarde toutes tes photos, les sourires, la joie de l'évocation de ces bons moments passés avec toi,toutes ces années pleines d'aventures, l'emportent sur le chagrin et la douleur de t'avoir perdue.... je suis juste nostalgique parfois...
Je te vois comme une sorte de grande âme féline qui plane et veille au dessus de nous, de moi, de ta maîtresse Isabelle...




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