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En hommage à
Mélusine
BRITISH-SHORTHAIR
Il est né le:03/05/1996
Il nous a quittés le:22/12/2010

Merci de m'avoir tenu compagnie plus de 14 ans......




50 bougies

3782 Fleurs
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185 messages

Déposé par GHETGHET le 09/05/2016  
Les chats ouvrit les yeux
le soleil y entra
les chats ferma les yeux
le soleil y resta
voila pourquoi le soir
quand les chats se réveille
j'aperçois dans le noir
des morceaux de soleil

Déposé par TaNounou le 20/03/2016  
Ta belle voix Minouchette,
Mélusine douce, tu avais un registre bien développé de différents sons que tu juxtaposais en phrases presque compréhensibles dans leurs sens, pas de la manière de la voix des perroquets. Quand on t'avait récupérée chaton, n'ayant pas trouvé d'herbe à chat car c'était le mois d'août, j'avais semé des graines dans un petit pot avant votre arrivée, les chatounes.
Toi, tu l'avais repéré et avais essayé de tirer sur un brin mais il était venu avec sa racine ! Alors, tu avais parlé avec ce rythme marqué par les virgules : grou, grou grougrougrougrou ! Pour l'intonation je ne peux la reproduire, dommage car c'est resté inscrit dans ma mémoire. Traduire : qu'est-ce que cette herbe est fragile ou mal ancrée !
Excusez la faiblesse de la traduction ce n'est pas ma spécialité !
Le soir tu t'activais au moment où, couchés, on tombait de sommeil, tu allais prendre ton deuxième dîner puis revenais avec de la nourriture dans la bouche et alors tu entamais un vrai chant un peu grave très loin du grou ou du miaou plus près de la voie humaine pour nous dire que tu déplorais qu'on ne soit pas là pour jouer avec toi et peut-être aussi que tu étais obligée de venir manger dans le couloir pour être plus proche de nous !

Déposé par poussy le 19/03/2016  

les liens cliquables, les images ou les vidéos provoquent des ralentissements du site
ils ne sont plus autorisés dans les messages

  

Déposé par SOCRATE le 09/03/2016  
VOUS NE SAUREZ JAMAIS
Vous ne saurez jamais que votre âme voyage
Comme au fond de mon cœur un doux cœur adopté ;
Et que rien, ni le temps, d’autres amours, ni l’âge,
N’empêcheront jamais que vous ayez été.
Que la beauté du monde a pris votre visage,
Vit de votre douceur, luit de votre clarté,
Et que ce lac pensif au fond du paysage
Me redit seulement votre sérénité.
Vous ne saurez jamais que j’emporte votre âme
Comme une lampe d’or qui m’éclaire en marchant ;
Qu’un peu de votre voix a passé dans mon chant.
Doux flambeau, vos rayons, doux brasier, votre flamme,
M’instruisent des sentiers que vous avez suivis,
Et vous vivez un peu puisque je vous survis.
MARGUERITE YOURCENAR. (1903-1987)

Déposé par TaNounou le 20/02/2016  
Une histoire de 2 jonquilles pour toi Minouchette,
Dimanche dernier, jour de la Saint Valentin, j'avais cueilli quelques jonquilles sauvages en plein bois comme tous les ans. Il pleuvait beaucoup et j'ai tiré un peu fort sur une petite qui dépassait au point que le bulbe et les racines sortirent de terre. Alors, j'ai pensé que la jonquille toute seule sur le parterre devant chez moi pourrait avoir une copine et j'ai effectué le déménagement pour une exceptionnelle fois. Seulement voilà il faisait nuit quand je suis rentrée, j'ai donc du humidifier le bulbe dans un papier et le lendemain je suis allée sous le froid planter cette jonquille des bois à côté de la jonquille des villes.
L'affaire était risquée car le soir même il gelait donc impossible d'arroser sous peine de geler les racines. En plus, il y a même eu deux nuits de gel consécutives sur le mont. La jonquille restait droite...
Sauf avant hier, sous le soleil du matin, elle se penchait vers le sol. De près, elle semblait manquer d'eau, le soleil autorisait l'arrosage, il fallait l'essayer, plus rien à perdre...
Après deux jours d'incertitude, ce matin, sous un crachin breton, ses feuilles moins grises, la jonquille des bois se dressait à nouveau épanouie à côté de sa copine des villes !

Déposé par TaNounou le 16/02/2016  
Mes anges...
Chères Mélisande et Mélusine, petites chattes invisibles à nos yeux, devenues anges, je pense à vous quand je vois et surtout entends les mésanges.
Ce matin comme certains autres jours, trop rares à mon goût, j'ai entendu tit tit, tit tit, j'interromps alors tout tâche devenue secondaire et regarde par la fenêtre vers l'arbre qui a été amputé de ses branches en début d'hiver. Aujourd'hui, sous le soleil d'hiver, j'ai aperçu une mésange charbonnière qui voletait, se posant juste un instant sur une branche, un petit tour et hop elle a disparu !
Serait-ce juste pour me rendre visite et le plaisir de montrer qu'elle était là ?
L'autre jour, il y en avait deux : une charbonnière et une mésange bleue, elles étaient demeurées un peu plus longtemps plutôt pour chercher des insectes sur les branches raccourcies.
Pendant que j'écris en voilà une autre perchée tout au bout de la branche, tournant la tête à droite et à gauche mais elle parle une autre langue, je n'ai pas compris son monologue. Peut-être une nouvelle qui revient depuis l'année dernière et qui proteste de voir si peu de branches disponibles ?
Il faut moi aussi que je change de branche...

Déposé par TaNounou le 03/01/2016  
A toi aussi Minouchette un poème de Théophile Gautier pour ce début 2016 :
"Fantaisies d'hiver"
partie I
Le nez rouge, la face blême,
Sur un pupitre de glaçons,
L'Hiver exécute son thème
Dans le quatuor des saisons.
Il chante d'une voix peu sûre
Des airs vieillots et chevrotants ;
Son pied glacé bat la mesure
Et la semelle en même temps ;
Et comme Haendel, dont la perruque
Perdait sa farine en tremblant,
Il fait envoler de sa nuque
La neige qui la poudre à blanc.

Déposé par KEKER le 01/01/2016  
Pour toi aussi, Mélusine, le même poème que ta soeur, tendrement...
S´il faut mourir un jour,
Je veux que tu sois là,
Car c´est ton amour
Qui m´aidera
A m´en aller vers l´au-delà.
Alors, je partirai
Sans peur et sans regrets,
Et dans mon délire
Je revivrai toute une vie
De souvenirs.
Pour traverser le miroir,
Je ne veux que ton regard,
Pour mon voyage sans retour,
Mourir auprès de mon amour
Et m´endormir sur ton sourire.
Le temps qui nous poursuit
Ne peut nous séparer.
Même après la vie,
Nos joies passées,
Pour nos unir à l´infini.
Pour m´enfoncer dans la nuit
Et renoncer à la vie
Je veux, dans tes bras qui m´entourent,
Mourir auprès de mon amour,
Et m´endormir sur ton sourire.
Pour traverser le miroir,
Je ne veux que ton regard,
Pour mon voyage sans retour,
Mourir auprès de mon amour,
Et m´endormir sur ton sourire.
("Mourir auprès de mon amour" Demnis Roussos)

Déposé par TaNounou le 31/12/2015  
un doux rêve de vous chatons,
Après ce Noël, un beau rêve est venu me rendre visite : toi et Mélisande ta soeur jumelle vous gambadiez autour de moi ! C'était grâce à la vision d'un calendrier sur un grand carton que j'avais reçu en cadeau d'une de mes soeurs pour la future année 2016.
Etonnante découverte alors qu'on faisait les courses dans un supermarché : je me tourne vers une allée sans raison sauf celle de regarder la pile de calendriers qui se trouvait sur une étagère, poussée comme cela instinctivement ou pas ?
Quelle surprise de voir dans un coin de ce rectangle un couple de chatons qui vous ressemblaient à la tendre Mélisande pour le petit Scottish aux oreilles pliées et l'autre chaton aux oreilles droites t'évoquait toi, Mélusine.
Un soir avant d'aller me coucher, j'ai regardé ces chatons en pensant à vous et la nuit qui a suivi, hop ! vous étiez dans mon rêve !
J'étais assise sur un canapé et à ma gauche je sens une présence féline en la caressant, j'ai reconnu tes oreilles, chère Mélusine et leur douceur puis tu as rejoint Mélisande à mes pieds pour de petits combats comme on les nommait lorsque vous faisiez semblant de vous battre toutes griffes rentrées. Peut-être une sorte de rixe sportive pour vous défouler en câlins appuyés ?
C'était rassurant de vous voir toutes les deux, comme si ces jeux étaient éternels et qu'il suffisait que je retourne régulièrement vous voir dans ce coin de paradis.
Le matin fut tout doux, détendu et serein d'avoir vécu ce rêve auprès de vous.

Déposé par elise2512 le 22/12/2015  
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. »
Jean d’Ormesson
*****
Jolie Mélusine, les années passent mais ton étoile brillera toujours dans les yeux et dans le cœur de ceux qui t'ont aimé. En ce triste jour anniversaire, je t'adresse mille caresses et tendres pensées, ma belle et j'ai une pensée pour ta famille.

Déposé par melanie02 le 22/12/2015  
Melusine une année de plus sans toi pour ta maman chat ou tu es toujours dans son Coeur si triste et déchirer de ta disparition.Noël approche et j'espère que de la haut au paradis des minous tu enverras une douces caresses a ta maman a travers une belle etoile dans le ciel qui brillera pour montrer ta présence.

Déposé par KEKER le 17/12/2015  
LES DATES ANNIVERSAIRES
***********************
J'ai un profond respect des dates anniversaires
Ces portes que le Temps dispose autour de nous
Pour ouvrir un instant nos coeurs à ses mystères
Et permettre au passé de voyager vers nous.
***
Je suis toujours surpris par les coïncidences
Qui nous font un clin d'oeil du fond de leur mémoire
En posant des bonheurs sur les journées d'absence
Et nous laissent à penser que rien n'est un hasard
***
Peut-être est-ce un moyen lorsqu'ils se manifestent
Pour ceux qui sont partis dans un autre univers
De nous tendre la main par l'amour qui nous reste
Pour nous aider parfois à franchir des frontières
***
Est-ce nous qui pouvons au travers de l'espace
Influencer ainsi la course des années
Ou serait-ce un lambeau de leur chagrin qui passe
En déposant des fleurs sur le calendrier
***
Il existe en tous cas dans les anniversaires
Une part de magie qui fait surgir d'ailleurs
Les visages ou les mots de ceux qui nous sont chers
Des êtres qui nous manquent et dorment dans nos cœurs
***
Ils sont là quelque part pour un instant fugace
Et dans les joies souvent qu'ils partagent avec nous
Se rendorment certains que rien n'a pris leur place
Et que leur souvenir nous est resté très doux
***
Sans amour notre vie n'est plus qu'un long voyage
Un train qui nous emporte à travers les années
Mais celui qui regarde un peu le paysage
Ouvre déjà son coeur pour une éternité
***
Au delà des paroles et de la bienveillance
Il existe des voies difficiles à cerner
Faites de souvenirs, d'amour et de silence
Et que bien des savants vous diront ignorer
***
Elles sont un privilège au coeur de la souffrance
Un baume pour les jours qu'on ne peut oublier
Qui pourraient avoir l'air d'être sans importance
Mais qui soignent des plaies difficiles à fermer
***
J'ai un profond respect des dates anniversaires
Ces portes que le Temps dispose autour de nous
Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères
Et permettre au passé de voyager vers nous
***
Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères
Et permettre au présent de nous sembler plus doux.
***
(Yves Duteil)
-------------

Déposé par TaNounou le 16/12/2015  
Comme dans mon rêve tu étais dans la neige voici un poème pour te satisfaire douce Minouchette :
"La neige papillonne
La blanche neige papillonne
Et fleurit les branches de houx.
Elle se joue et tourbillonne
En nous frôlant tout doux, tout doux.
La blanche neige papillonne
Et, voletant sur les toits roux,
Vient mettre une coiffe mignonne
Aux vieilles maisons de chez nous."
Hermin Dubus ("Le Livre de la Joie" - Bibliothèque d'éducation, 1931)

Déposé par SOCRATE le 15/12/2015  
Le chat
Pour ne poser qu'un doigt dessus
Le chat est bien trop grosse bête.
Sa queue rejoint sa tête,
Et se répond à la caresse.
Mais, la nuit l'homme voit ses yeux
Dont la pâleur est le seul don.
Ils sont trop gros pour qu'il les cache
Et trop lourds pour le vent perdu du rêve.
Quand le chat danse
C'est pour isoler sa prison
Et quand il pense
C' est jusqu'aux murs de ses yeux.
Paul Eluard, Les animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux.

Déposé par SOCRATE le 14/12/2015  
"Tout autre est le chat. Son indépendance vis-à-vis de son maître, sa présence affectueuse mais intermittente, ses disparitions énigmatiques suivies de réapparitions mystérieuses, la faculté qu'il a de pouvoir marcher parmi les livres et les encriers sans rien déranger, tout cela en fait le compagnon idéal de l'écrivain. Baudelaire l'a écrit mieux que personne."
Extrait de "Célébrations" Michel Tournier - 1924.

Déposé par SOCRATE le 02/12/2015  
Les Chats
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires
Amis de la science et de la volupté
Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres;
L'Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin;
Leurs reins féconds sont plein d'étincelles magiques
Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
Baudelaire, Les fleurs du mal

Déposé par TaNounou le 23/11/2015  
L'insouciance des oiseaux,
Chère Minouchette, toi qui faisait hirke hirke lorsque tu découvrais des oiseaux à ta portée, tu verrais ici dans l'ancien domaine de Mélisande, les mésanges qui viennent picorer les gousses de l'arbre de Judée en sautant de branche en branche sous un rayon de soleil.
Elles ne savent pas que dans moins d'une heure les élagueurs vont raccourcir leurs branches et réduire leur volière. Leur insouciance à cette époque apporte une sorte de suspension du temps au moment où on les regarde.
Nous, humains, qui sommes dans l'anticipation exacerbée par les événements actuels surtout si des proches ont été touchés. Elles nous montrent l'exemple de vivre joyeux dans le moment présent.
Tout de même dans l'espoir que demain elles ne soient pas trop surprises devant un arbre modifié et qu'elles s'adaptent à cette nouvelle configuration demandée par les humains voisins qui manquaient de lumière !

Déposé par KEKER le 20/11/2015  
Le même poème que pour ta soeur, jolie princesse, douces caresses...
C'est vrai que je ne reçois plus de caresses ni de baisers,
C'est vrai que les jeux que tu inventais me manquent.
C'est vrai que je n'ai plus de jouets qui couinent pour m'amuser,
Mais ne t'inquiète pas, j'ai emporté tout cela dans mes souvenirs,
J'en rêve chaque jour.
Tu sais, je te vois de mon paradis de chats
Je continue à veiller sur toi et à te suivre partout où tu vas
Car moi non plus je ne t'oublierais jamais.
Tu as été une merveilleuse maîtresse.
Avant je croyais que c'était normal de recevoir tant l'amour.
D'ici je vois toute la misère des animaux battus, maltraités ou abandonnés...
Je te dis un grand Merci pour la vie que tu m'as donnée.
Maintenant,
Oublie tes larmes,
Pense seulement à tous nos merveilleux moments,
Quand je te faisais tellement rire...

Déposé par Judi le 15/11/2015  

🍃🍁🍄🐿 Pour toi petite fée Mélusine 🐿🍄🍁🍃
💛
Il a neigé
Il a neigé dans l'aube rose,
Si doucement neigé
Que le chaton noir croit rêver
C'est à peine s'il ose
Marcher.
Il a neigé dans l'aube rose,
Si doucement neigé
Que les choses
Semblent avoir changé.
Et le chaton noir n'ose
S'aventurer dans le verger,
Se sentant soudain étranger
A cette blancheur ou se posent,
Comme pour le narguer,
Des moineaux effrontés.
Maurice Carême.
🍂
Avec tous mes remerciements à ta mamanchat & ton papachat pour mes p'tits anges & un bon dimanche d'automne
🍃🍁🍄🐿 🐿🍄🍁🍃

Déposé par TaNounou le 08/11/2015  
Un rêve avec toi et Mélisande,
Cette nuit, je rêvais que je me réveillais dans une grande maison comme celle de mon enfance et que je m'apercevais qu'il commençait à neiger alors que vous étiez en balade Mélisande et toi dans le jardin. Après avoir ouvert au rez-de-chaussée la porte, je faisais entrer Mélisande qui était heureuse de se retrouver au chaud.
Seulement toi, tu restais à quelques mètres en arrière ne craignant pas le froid et les flocons sur ta belle robe argentée silver shaded. J'ai du t'appelé deux fois pour tu acceptes de franchir la porte. il y avait en arrière un autre chat dont le tête n'était pas reconnaissable et floue, juste une masse blanche, c'était elle qui te retenait...
A cette heure, je ne vois pas ce que cela signifie, c'est ton secret...




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Vacances à l'île de Ré avec le harnais.....
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