Obama mon amour de chat,
Bien mal t'as pris de jouer les équilibristes ce jour là
As tu été distrait par le vent, un oiseau ?
Mon amour de chat, je ne t'oublierai pas car toi
Aussi tu m'avais fait l'honneur de me faire une place dans ton cœur.
Petit poème pour toi de la part de Barbara, une amie des chats.

Obama mon Tendre Obama,
Aujourd'hui est un jour particulier, déjà un mois depuis ta disparition. Le chagrin a fait place aux souvenirs, ton absence est quelque fois pesante, mais je sais que tu n'es pas loin et tellement présent dans mon cœur. Ta douce fourrure, t'es beaux yeux verts, ton élégance, tes jeux de cache-cache... Je ne les ai pas oubliés.
Tu resteras bien à l'abri dans un coin de notre cœur pour toujours.
Tous chéris, tous pleurés. Que leur existence ait été plus ou moins longue, les chats laissent dans notre vie une empreinte que rien ne peut effacer.
Au revoir mon tout doux. Tu es certainement bien là où tu es. Un jour nous nous retrouverons et ce jour là nous ferons de gros très gros câlins. Ta petite mamanChat, ton Victor et papaChat qui t'avons donné plein d'amour que tu nous as tellement bien rendu en retour.

La mort laisse un chagrin que nul ne peut consoler;L'amour laisse un souvenir que nul ne peut voler.

Mon tout doux
Quand je vois ton doux regard, je dois être forte car je vois dans tes beaux yeux plein de compassion, de sérénité, tu sembles si confiant que je ne peux pas te décevoir. Tu es parti au beau royaume des chats, tu t'es envolé là haut et ta souffrance est apaisée. J'ai mise mon visage au soleil et j'ai senti cette douce chaleur qui m'envahissait... Tu n'étais pas très loin. Je ne t'oublie pas mon Obama, tu es dans mon cœur à tout jamais.

Mon doux Obama
La maison sans toi est vide même ton copain Poker qui venait te rendre visite est perturbé par ton absence. Je n'ai pas encore fait le deuil de ta disparition. Je me rassure pourtant car je sais que ton corps est parti mais que ton âme n'a pas quitté cette maison. Tu es mon chat d'amour et je ne t'oublierai jamais. Comment peut-on t'oublier. Tu laisses des souvenirs qui seront à jamais gravés dans nos mémoires.

J'ai acheté des fleurs il y a quelques jours. Des roses jaunes... Tu aimais mettre ton museau dans le vase pour laper l'eau des fleurs. Parfois tu faisais tomber le vase, cela est arrivé quelques fois dans la nuit où je pestais car il fallait ramasser toute cette eau partout, je te grondais et tu partais en courant puis une seconde après tu te postais devant moi comme pour me dire : "excuse-moi, pas fais exprès" ! Alors je te regardais tendrement et passais ma main sur ton échine douce comme de la ouate, tu étais pardonné.
Les roses n'ont pas tenues plus d'un jour, c'est comme si elles n'avaient pas goût à rester fleuries parce qui tu n'étais pas là pour les secouer et les renverser.
Mon doux compagno pardonne moi. Je ne suis pas arrivée à temps pour te retenir, te rattraper, quand ton corps si agile d'habitude n'a pas su redoubler de prudence pour t'empêcher de glisser de cette rampe. Équilibriste tu l'étais, les exploits que nous accomplissons si facilement peuvent parfois nous laisser à terre...

LE CHAT
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux ;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s'enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,
Je vois ma femme en esprit. Son regard,
Comme le tien, aimable bête
Profond et froid, coupe et fend comme un dard,
Et, des pieds jusques à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum
Nagent autour de son corps brun.
(Charles Baudelaire)

Mon Amour, crois-tu à la vie après la mort ?
Et si nous pouvions nous aimer encore ?
Imagines quel serait notre bonheur
De pouvoir laisser parler nos cœurs…
Le jour où j’irai dans l’au-delà
Ma première pensée sera pour toi
Tu seras là pour m’accueillir
Vers toi je vais courir
Entendre tes miaulements
Sera pour moi un émerveillement
Sentir ton pelage sous ma main
Sera purement divin
Ensemble nous serons heureux
Quoi de plus merveilleux ?
Pouvoir s’aimer pour l’éternité
Deviendrait réalité…
Je vis dans cet espoir
Un jour de te revoir
Je m’accroche à cette idée
Qui me permet d’avancer
Et s’il était permis
De nous rejoindre au Paradis ?
Attends-moi, mon Amour
Un jour viendra mon tour…

Obama mon doux Obama, 10 jours déjà où tu nous a quitté tragiquement. Tu nous manques, ton absence me semble irréelle, les souvenirs me rappellent à toi à tout moment. Pas un jour où tu n'occupe mes pensées, pas un jour où je n'ai prononcé ton nom Obama mon ange. Je souhaiterais tant remonter le temps et te rattraper avant cette maudite chute, éviter le pire... Tu me manques Obama, ton poil que l'on brossait presque tous les jours, si doux, tes yeux de grand félin aussi beaux dans la nuit que le jour par grand soleil. Oui tu etais mon soleil, tu le resteras à tout jamais, tu étais unique. Je t'aime mon Obma, nous t'aimons... Soit heureux là-haut. La lumière, le vent qui caresse ma joue, la nuit calme étoilée, le petit bruit de la pluie sur les volets ... Je sais que tu es tout cela Cher Obama. Tu possedais toutes ces qualités : l'intelligence, la patience, le charme, l'allure, la douceur et la liberté d'être un chat, un véritable felin. Pour tout cela je t'aime et tu me manques. Combien de temps encore ne pourrais je faire le deuil de ta disparition si brutale ?

«Tant et aussi longtemps que le coeur se souvient, les êtres que nous aimons y demeurent et y vivent...»

Ne pleure plus ma petite maman ...
Sèche tes larmes de souffrance, car je ne t'ai pas laissé.
Je suis toujours là, tout prés de toi,
Je suis le doux vent et la fine brise du matin
Qui sur ta peau si douce vient te faire frissonner,
je suis la fine caresse du vent
Qui dans tes cheveux ne cherche qu'a retrouver ta présence
Pour s'y rendormir éternellement...
Ma petite maman,
Je serai là tout près pour toujours, et lorsque tu auras le coeur gros,
et que ton âme sera lourde de chagrin et que ta pensée me reviendra,
Tu n'auras qu'à penser que nous nous retrouverons un jour,
là haut, où je suis retourné ...
J'ai mes ailes maman ...
et comme une hirondelle je peux voler,
je suis libre ... Je suis ton ange ...
J'ai eu une mission ...
Non pas pour te rendre malheureuse
J'ai eu une demande du créateur pour gagner ces ailes,
Et pour pouvoir devenir ton ange ...
Maman ...
Avant de te connaître, Je ne pouvais m'imaginer ce qu'était l'amour
Et j'ai voulu l'apprendre au péril de ma vie.
Je l'avais choisi et ensemble nous ne faisions plus qu'un seul
Je connais la douce mélodie des battements de ton coeur,
Ainsi que leur plus profond secret, et ta voix maman ...
C'est la plus belle qu'il me soit donner d'avoir entendu ...
Maman je t'ai choisi, sachant qu'un jour,
Nous serons de nouveau réunis dans ce beau paradis,
Tu verras comment on y est bien.
Mais maintenant , s'il te plait ne pleure plus ...
Car je serais toujours avec toi, ma pensée accompagnera toujours la tienne ...
Et surtout n'oublie pas maman
Lorsque tu sentiras sur ta peau ou tes cheveux une fine caresse du vent,
Lorsqu'il y aura une belle hirondelle
Ou lors d'une soirée si tu regardes les étoiles,
N'oublie pas pense à moi, car je serai là.
Mais maintenant ne sois plus triste pour moi
Je t'aime...

Adieu Obama,
je suis bouleversée par ton départ brutal, tu as fais le bonheur d'une famille qui t'as aimé et traité comme un de leur membre et pour cette raison tu es unique.
Tu resteras à jamais le premier complice de Victor, son enfance aura été bercée par ta présence tour à tour rassurante, réconfortante, drôle, joyeuse et câline. Sans nul doute vous avez partagé des moments qui resteront gravés dans sa mémoire.
Anita, Pascal, Victor, vous vous êtes nourris de tout ce qu'Obama vous a apporté et surtout de son amour inconditionnel, cet amour que l'on trouve peu chez l'être humain car seul un animal est capable de le donner, gardez le bien précieusement au fond de vous, comme un trésor.
Je sais que seul le temps apaisera quelque peu la douleur de la perte de votre Obama, je pense à vous et je suis là pour vous.
Très chaleureusement,
Elia

Vole vole petit ange, vole vol Obama, quitte ton manteau de misère qu enfin ta souffrance cesse, puisque rien ne te soulage, quitte ta peau de misère va trouver la lumière. Pat, Stel & R-sans magnifique chanson de Céline Dion

CHAT, TU ES MON AMI
Chat, tu es mon ami, mon confident muet,
Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé.
Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille,
Le désir envoûtant d’une étoile qui brille.
Cet œil est une Agathe version multicolore,
Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore,
Tout ton corps se prépare, offert à la caresse,
Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse.
A peine que ma main ne vienne t’effleurer,
Que tu danses déjà, ne sachant où passer.
Tout ton être me frôle, électrique, impatient,
Recherchant le plaisir traduit en ronronnant.
Il suffit que je te touche et le miracle opère
Tu deviens un enfant, dans les bras du père.
Je te prends contre moi, monte sur mon épaule,
Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole.
Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces,
Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse.
J’arrêterais le temps, sublime instant de paix,
Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité.
(Gilbert Dumas)

OBAMA,avec un nom pareil,ils vont vite t'élire président au paradis des chats.Toi qui a toujours vécu dangereusement ta vie d'équilibriste,surtout ne change pas,là-haut tu ne risques plus rien.Souviens toi toujours que tes maitres t'aimaient aussi pour tes pitreries.N'oublies pas de veiller sur eux.....Salut l'artiste!

Pauvre petit Obama , comme tout les êtres innocents , tu est parti beaucoup trop tôt.
S'il est vrai que les chats ont plusieurs vies , alors tu t' es peut-être déjà réincarné dans un adorable petit chaton mais c'est une maigre consolation par rapport au vide que tu laisse dans la vie de tes maîtres .Nous ne t' oublierons jamais.
ALAIN ELIA THEO NOE et EWY

***** LE VOILIER *****
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon coté dit : "Il est parti ! "
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout !
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti ! "
Il y en d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie : "Le voilà ! "
C'est ça la mort.
(William Blake)