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Nos poilus, quels phénomènes !

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Auteur
superfetatoire
Membre
#16 | Posté le:
11 Fev 2016 10:31
 
Bonjour,

A l'occasion de l'anniversaire de la disparition de ma NĂ©nette, 2 petites histoires la concernant.

Un jour, ma Nénette était allée se balader dans la rue, et bien sûr, je surveillais pour qu'il ne lui arrive rien. La voyant revenir vers la maison, j'ouvre le portail et la regarde venir vers moi, toute tranquille. De loin, je voyais qu'elle avait quelque chose à la gueule, sans distinguer ce que c'était. Arrivée devant moi, je m'aperçois avec horreur que la belle tenait une bestiole grise, une énorme souris ou un petit rat. Elle, par contre, semblait fort heureuse de sa chasse. La belle rentre dans le jardin, pose son butin sur la première marche de l'escalier extérieur, et commence à se régaler de cette belle prise. Apparemment, c'était drôlement bon, elle se léchait les babines. Moi, je la regardais faire, et surtout, j'entendais le craquement des os de sa pauvre victime. Au bout d'un moment, elle a arrêté de manger et a laissé la moitié du corps sur la marche. Elle avait mangé la moitié de la bestiole, laissant la partie arrière, la plus dodue, et la queue. Elle me regardait comme pour me dire "t'as vu, je t'en ai laissé la moitié, et en plus le morceau le plus charnu". Vous parlez d'un cadeau, beurk ! Je lui ai laissé le reste de la bestiole sur la marche, au cas où elle aurait une petite faim plus tard, mais elle passait à côté sans y prêter la moindre attention. Non, c'était ma part, elle n'y touchait pas. Au bout d'un moment, j'ai pris une feuille d'essuie-tout, j'ai attrapé "ça" par la queue et je l'ai posé sur le trottoir, me disant que cela ferait les délices d'un autre chat. Ce qui a été le cas.
Elle ne m'a jamais fait un autre cadeau ; peut-être avait-elle été déçue de voir le peu de cas que j'en faisais !

Nénette avait un amoureux, un beau chat gris que j’avais surnommé « Mimigris » (très original !). Dès qu’il la voyait, il allait vers elle, mais jamais il ne lui manquait de respect. Non, être près d’elle suffisait à son bonheur. Nénette, elle, faisait comme si elle ne le voyait pas.
Un jour, Nénette était en vadrouille dans la rue, et je la surveillais depuis une fenêtre à l’étage. Elle était sur le trottoir, au soleil, ne semblant se décider ni à aller dans le jardin du voisin, ni à rentrer. Arrive Mimigris qui, comme à son habitude, s’approche d’elle et lui fait les yeux doux. Sauf que ce jour-là, la belle n’était pas d’humeur à se laisser conter fleurette. Elle l’a laissé passer, et dès qu’il l'a eu dépassée, elle lui a filé une avoinée. Catastrophée à l’idée qu’ils puissent se battre, je suis descendue aussi vite que j’ai pu pour aller défendre ma Nénette. Arrivée dehors, j’ai vu ce pauvre Mimigris qui regardait ma Nénette avec de la tristesse dans les yeux, semblant lui dire « mais pourquoi tu m’aimes pas, je t’aime, moi ». La belle a tourné les talons sans un regard pour Mimigris, et est rentrée chez nous. De ce jour-là, plus jamais Mimigris ne s’est approchée d’elle. Il se contentait de la regarder à distance respectueuse et respectable, avec toujours le même regard triste.

Bonne journée à toutes et à tous
Marie-Catherine

Auteur
Mariechats
Membre
#17 | Posté le:
11 Fev 2016 13:50
 
Comme quoi, l'amour, la séduction, le sexe quand c'est non.........c'est non ! :)

Auteur
superfetatoire
Membre
#18 | Posté le:
11 Fev 2016 15:20
| Edité par :superfetatoire
 
L'amour et la séduction, ça, je ne sais pas, mais le sexe, elle avait eu sa dose !
Nous n'avons jamais su grand chose de son passé, si ce n'est qu'un couple de voisins avaient voulu la recueillir parce qu'ils la trouvaient très belle. Elle n'avait pas accepté de s'installer chez eux car ils avaient déjà un chien et un chat, alors ils lui laissaient à manger sur le rebord d'une fenêtre pour qu'elle puisse se nourrir. Ils l'avaient aussi fait stériliser. Ces voisins nous avait dit qu'ils l'avaient connue grosse, mais ils n'ont jamais su où elle avait planquer ses petits. Etait-ce ou non sa première portée, nul ne le sait, mais côté matous, elle avait déjà donné ! Peut-être est-ce ainsi qu'elle était devenue FIV+.
Etait-elle née dans la rue, avait-elle été abandonnée, autant de secrets qu'elle a emportés avec elle.

Auteur
Mariechats
Membre
#19 | Posté le:
13 Fev 2016 10:57
| Edité par :Mariechats
 
Bonjour Ă  tout le monde ,

Pour remonter le moral, et sourire un peu, allez voir les différentes bandes annonces sur You tube pour le film qui sort ce mois "Zootopie"

https://www.youtube.com/watch?v=Fm7HXgOdiQM


https://www.youtube.com/watch?v=RTZlzdHuIQQ


https://www.youtube.com/watch?v=BaFKGvxVQA0

Auteur
superfetatoire
Membre
#20 | Posté le:
18 Fev 2016 08:23
 
Bonjour Ă  toutes & Ă  tous,

Aujourd’hui 18 février, en ce 4ème anniversaire de l’adoption de mon, ô combien regretté, Ying, et de sa sœur, la belle Yang, j’ai décidé de vous raconter 2 petites anecdotes.

Quelques jours après leur arrivée à la maison, Ying & Yang m’avaient suivie jusqu’aux toilettes, et impossible de fermer la porte. Qu’à cela ne tienne, la porte est restée ouverte. Les 2 asticots se sont assis côte à côte et face à moi, et me regardaient. « Tu fais quoi ? » semblaient-ils me demander. Comprenant ce que je faisais, ils se sont regardés l’air de dire « T’as vu, elle a même pas gratter avant de faire ses besoins », puis quelques instants après, ils se sont de nouveau tournés l’un vers l’autre, j’avais l’impression qu’ils se disaient « et en plus, elle gratte pas non plus après pour recouvrir ! ». C’était trop drôle de les voir ainsi ! Ils ont refait ça 2 ou 3 fois, puis ça a été terminé. Après, ils se contentaient de m’y accompagner, et si j’avais l’idée saugrenue de pousser la porte, il y en avait toujours un pour l’ouvrir et venir me quémander quelques caresses. Yang continue de le faire, elle pousse la porte avec le museau et dès qu’elle me voit, elle couine comme pour dire « ah ben, t’es là, je m’inquiétais, je te voyais plus ! ».

Ying était un vrai clown, à croire qu’il était sans cesse à la recherche d’un truc à faire qui nous amuserait. Ainsi donc, mon chouchoumi, qui adorait venir aux toilettes avec moi pour se coucher à mes pieds et glaner par la même occasion quelques papouilles-bedaine, avait trouvé très drôle de s’amuser à baisser mon pantalon de pyjama. Il se mettait face à moi, debout sur ses pattes arrières, et avec les pattes avant, il baissait mon pyjama jusqu’au sol... et se couchait dedans quelques instants. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il était très content de lui ! De temps en temps, il essayait aussi de se faufiler dans une jambe du pantalon. Un jour d’été, ayant mis un pyjama en matière souple et extensible et dont les jambes sont très amples, il a baissé le pantalon et s’est faufilé entièrement dans une jambe jusqu’à ce que sa tête ressorte à l’autre bout. Et il est resté là sans bouger, très content de lui, me regardant les yeux plein de malice comme pour dire « t’as vu, je t’en ai fait encore une bonne ! ». Dommage que je n’ai pas pu prendre ce moment en photo, ça valait son pesant d’or.

Il était comme ça, mon Ying, trouvant toujours le moyen de nous faire rire. C’est ça aussi qui a fait la différence entre lui sa sœur. Encore plus câlin qu’elle, si tant est que ce soit possible, aisément manipulable, mais surtout, surtout, tellement plus drôle. Comment aurait-on pu ne pas l’aimer ? Peut-être était-ce sa façon à lui de nous remercier de l’avoir adopté, de nous montrer qu’il était heureux et que sa vie était belle.

Bonne journée à toutes et à tous
Marie-Catherine

Auteur
SOCRATE
Membre
#21 | Posté le:
18 Fev 2016 12:36
 
Merci de nous avoir fait "sourire" en nous racontant cette histoire. Peut-être même que Ying vous fait encore sourire malgré votre peine quand vous vous franchissez le seuil de ce lieu !
C'est vrai qu'ils sont observateurs, curieux et imitateurs !
Socrate avait vécu dix ans chez ma maman avec un autre chat Cachou "son papachat" et il y avait deux caisses, non pas une pour chacun, mais une pour chaque chose (leur choix !). Chez nous, je pensais qu'une seule caisse dans la salle de bains suffirait. Or, Socrate avait dû nous observer ! J'ai vite compris qu'il fallait un autre bac dans les toilettes, ce qui était plutôt encombrant vu le peu d'espace. Je n'ai pas compris tout de suite compris quand j'ai mis les pieds dans la "marre aux canards". Je me rappelle lavoir dit à mon mari, "mais allume la lumière quand même, tu ne sais plus viser ou quoi !" De plus, Socrate visait le mur ! Donc, il a fallu lui mettre un bac à rangement très haut car sinon c'était un concours du meilleur arroseur car il avait toujours envie quand son maître y était ! La porte devait toujours restée entrouverte et il l'ouvrait avec sa patte (mais ne la refermait pas !). Il respectait mon intimité dans ce lieu ! Monsieur Socrate faisait la grosse commission dans la caisse située dans la salle de bains. Il lui prenait souvent l'envie de la grosse commission bien odorante quand j'étais dans la baignoire. Je pense même que c'était délibéré pour m'en faire sortir si je prenais un bain. En effet, s'il se rendait compte que j'étais dans la baignoire, il ouvrait la porte, il hissait les deux pattes, il regardait l'eau et miaulait de plus en plus fort, très inquiet. Je lui disais ne t'inquiète pas, je ne vais pas me noyer ! car il pensait vraiment que j'étais en danger ! Si je n'abrégeais pas, il venait faire sa grosse commission et cela me faisait sortir !
Donc, souvent je devais ruser, j'attendais qu'il dorme pour aller prendre un bain et je fermais la porte. Mais, souvent, il se réveillait et arrivait tout affolé, hurlait et grattait derrière la porte. J'avais beau lui dire, cinq minutes, j'arrive ! il me faisait peine et il me faisait sortir ! J'y pense encore en prenant un bain.

Auteur
Mariechats
Membre
#22 | Posté le:
18 Fev 2016 13:39
 
Bonjour Agnès et Marie-Catherine,

Excellentes vos anecdotes ! cela m'a beaucoup amusée :)

Auteur
superfetatoire
Membre
#23 | Posté le:
18 Fev 2016 15:01
 
Dans le registre « pipi-caca », avec Nénette aussi j’ai un souvenir qui avait bien fait rire une amie quand je le lui avais raconté. Sauf que là, ce n’était pas la chatte qui était la vedette, mais moi.

Nénette était une chatte errante que nous avions recueillie tout début novembre 2003, la vétérinaire avait estimé son âge à 5 ans. En plus de ne rien savoir d’elle, nous ne savions rien sur les chats puisque nous n’en avions jamais eu.

Donc, ma Nénette, qui avait chez nous le gîte et le couvert, n’avait pas de caisse à la maison. Cela ne semblait pas la déranger, elle était habituée à faire ses besoins à l’extérieur. Jusqu’en mars 2004, si elle voulait sortir, il suffisait qu’elle demande à ma mère de lui ouvrir la porte, et elle faisait de même quand elle voulait rentrer. Mais voilà, ma mère étant partie chez mon frère quelques semaines, je ne pouvais pas la laisser seule à la maison toute la journée, sans caisse, et surtout sans savoir si elle ferait ou non des bêtises. Du coup, tous les matins, il fallait l’attraper et la mettre dehors pour la journée, avec eau et croquettes bien évidemment.
Tous les matins, quand je la mettais dehors, elle me regardait comme pour me dire « alors ça y est, c’est fini, tu ne veux plus de moi ? ». Inutile de dire que j’en étais toute retournée. Après quelques jours, j’avais appelé ma mère pour lui raconter tout ça, et elle m’avait dit d’acheter le nécessaire et de profiter d’un samedi matin où j’irai faire des courses pour la laisser seule à l’intérieur, histoire de voir si elle était sage. Le soir même, j’achetais tout ce qu’il fallait, et je n’attendais pas le samedi pour la laisser au chaud. Mais ça, je ne l’ai jamais dit à ma mère... qui a bien dû s’en douter !
De retour du supermarché avec tout l’équipement nécessaire, je lui avais préparé ses WC, mais grande question : va-t-elle comprendre à quoi ça sert ? Elle, dont on ne connaissait pas le passé, avait-elle déjà vécu dans une maison et avait-elle eu une caisse ? Et où lui installer pour l’aider à en comprendre l’usage ? J’avais décidé de la lui mettre dans les toilettes, pensant qu’elle assimilerait la caisse au lieu où il fallait faire les besoins. Mais allait-elle faire le rapprochement ? Alors j’ai pensé que le seul moyen qu’elle comprenne, c’était de lui montrer. Et là... je me suis retrouvée accroupie au-dessus de la caisse, faisant des bruitages tout en lui expliquant. Nénette, assise face à moi, me regardait faire, et semblait se demander quelle mouche m’avait piquée ! Elle avait tourné les talons, préférant partir plutôt que d’assister à une telle scène. Ce jour-là, elle a dû se demander où elle était tombée.
N’empêche que le lendemain soir, en rentrant, j’avais vu qu’elle y était allée, dans la caisse. Je n’avais donc pas fait tout ce cirque pour rien ! Et en plus, cerise sur la gâteau, pas une bêtise dans la maison.

Auteur
TaNounou
Membre
#24 | Posté le:
18 Fev 2016 15:49
 
Alors, là, j'en ai attrapé le hoquet à force de rire en lisant vos textes dans une pause au milieu de mes soucis de business woman en herbe car toujours étudiante pour éviter une retraite d'étudiante et donc pas trop le temps d'écrire en ce moment car je suis "coachée" avec des dates limites !
Mélisande lors de vacances à l'ile-de-Ré, un jour qu'on avait rangé la litière pour se préparer à rentrer en région parisienne avait besoin d'y aller : elle ne s'était pas démontée, s'était rendue au jardin de la propriétaire et avait creusé un petit trou sur le bord d'une plate-bande en sable qu'elle avait soigneusement rebouché ensuite : ni-vu, ni-connu !
A bientĂ´t.
Eveline

Auteur
Titlaine
Membre
#25 | Posté le:
19 Fev 2016 18:57
 
C'est trop géant, l'histoire de Nenette et la litière !
Nous avons dû apprendre à Pistache la litière. C'était une affaire très compliquée. Pistache avait un peine un mois quand sa mère a disparu. Alors nous avons essayé de la remplacer, mais nous n'étions pas doués du tout. Résultat de notre éducation : Pistache mettait les pattes dans le bac à litière, grattait pour faire un trou, faisait ses besoins en dehors du bac et regrattait pour boucher le trou ! Mon homme l'appelait Pisse Tâche !
Quand Nougat est arrivé à la maison après son abandon et la maltraitance, nous avons vite compris que ce chat serait un Pistache bis. Il ne connaît pas la litière ! Alors, il a son journal pour faire pipi. J'espère que ce n'est pas pour cette raison qu'il a été maltraité et abandonné.
Quand Mimine avait mal au ventre, il utilisait la litière ! Sinon, il faisait ses besoins dehors. Le Titi fait exactement la même chose !

Auteur
Mariechats
Membre
#26 | Posté le:
20 Fev 2016 07:04
| Edité par :Mariechats
 
Pisse Tache ! bien trouvé comme surnom ! lol

Auteur
KEKER
Membre
#27 | Posté le:
20 Fev 2016 07:40
 
Je me régale de ces anecdotes, ça fait du bien de sourire un peu !!!

Auteur
SOCRATE
Membre
#28 | Posté le:
20 Fev 2016 15:09
 
Bonjour,
Quand on les aime, on accepte de nous adapter avec des journaux par exemple et ce sont nos petits secrets mais je pense que de nombreux maîtres non avertis "retournent le chat à l'expéditeur" pour des raisons de malpropreté sans chercher des solutions. Chaque fois que je parle avec des personnes qui envisagent d'adopter, je parle des risques, les pipis et les pattes même si désormais il y a des solutions.
Socrate était très propre même si dans sa jeunesse il nous a fait volontairement des bêtises pour nous faire passer un message de mécontentement ou de "je ne vais pas bien".
Le seul "hic" c'était qu'il très haut sur pattes et qu'il visait "haut et loin". Avec l'âge, j'ai dû renoncer aux bacs hauts et j'ai acheté des bacs à litières très larges et avec un rebord bas devant et haut derrière car sauter dans le bac devait des sauts périlleux. Il s'est bien adapté mais je devais mettre du journal autour aussi. Pas très esthétique ! Mise à part le pratique, on pouvait lire en allant aux toilettes ! Et Socrate ne faisait pas pipi sur les avis de décès ou les gens célèbres, un peu de respect ! Les derniers mois, il avait du mal à rester trop longtemps accroupi dans sa caisse et il ressortait avec de la litière dans les poils angoras,, non seulement on le suivait comme le petit poucet mais il fallait le brosser et nous n'étions pas tout le temps-là... J'avais imaginé de mettre un journal sans caisse avec juste le rebord comme entourage. Il n'a jamais voulu y aller. Donc, j'ai fini par trouver une astuce qui pourrait vous servir si un jour vous avez un "sénior" qui a du mal à lever la patte ! J'ai acheté des tapis de change pampers et le tour était joué, il avait ses caisses et la pub est vraie, pampers ça absorbe ! Il était si propre que les derniers jours, il se rendait à sa caisse, se couchait devant pour attendre que l'envie vienne et y allait au bon moment. Au retour, il faisait une nouvelle pause "ni vu ni connu", une certaine fierté pour qu'on ne remarque pas que c'était de gros efforts qu'il faisait. Mon histoire est finalement un peu triste...désolée.
Alors, avant de l'envoyer je vais finir par une autre histoire....
Quand j'étais enfant, nous avions un épagneul breton, un jour, ma maman le tenait en laisse et discutait avec un monsieur âgé "un inspecteur des impôts à la retraite que j'ai toujours connu avec un costume cravate, imperméable et chapeau ! Le chien a trouvé que la conversation durait trop longtemps et il a levé la patte sur la jambe du monsieur ! Une autre fois, le chien n'avait pas pu attendre notre retour, il avait fait pipi sur le balcon et cela avait atterri sur les vitres de la voisine du dessous qui elle n'avait pas de balcon ! C'était une dame âgée qui aimait les animaux, ma mère lui a fait ses vitres. Pour le pantalon, je ne crois pas qu'elle se soit occupé du lavage ! A bientôt

Auteur
Titlaine
Membre
#29 | Posté le:
20 Fev 2016 15:18
 
Petite histoire de chien et chat
Trognon, un malinois croisé husky, avait trois ans quand Pitchoune, chaton de deux mois est arrivé à la maison. Trognon était arrivé à la maison trois semaines après avoir été adopté par une autre famille, rejeté par la femme du couple. C'était un chien tout fou, au caractère fort, mais très gentil. Un jour, j'arrive au salon et je vois le chien lancer le chaton dans les airs, je me précipite, gronde le chien et récupère le chaton qui va très bien. Le chien reste assis sagement et n'ose plus bouger. Je repose le chaton, qui se dirige vers le chien avec une grande confiance et se met en position bien debout sur ses petites pattes. Le chien me regarde désespéré, regarde le chaton qui miaule. Et là, je comprends. Ils jouent ! Alors je fais signe au chien qui baisse la tête, glisse son museau sous le ventre du chaton et d'un coup sec de la tête, l'envoie dans les airs doucement. Le chaton redescend et vient se repositionner devant le chien. Ils ont joué longtemps à ce jeu. Plus grands, ils étaient inséparables et ont eu le titre "des rois des bêtises "

Auteur
Mariechats
Membre
#30 | Posté le:
21 Fev 2016 15:51
 
Je n'ai aucune histoire Ă  raconter, je suis plutĂ´t sur le mode lecture aujourd'hui

Avouez que les anecdotes amusantes sur nos amis les animaux nous détendent , ça nous change de la page d'accueil du site avec les textes hommage des pauvres minous nouveaux arrivants ou des dates anniversaire !

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