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En hommage à
Mélusine
BRITISH-SHORTHAIR
Il est né le:03/05/1996
Il nous a quittés le:22/12/2010

Merci de m'avoir tenu compagnie plus de 14 ans......




75 bougies

3557 Fleurs
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Déposé par pacificelectric
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Nous pensons toujours à toi!
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💓🌛💓bonne nuit petite mélusine gros câlins 💕🌝💕
Déposé par lepapou
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Déposé par icipatawa
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Pour mélusine, une deferlante de bisous calinous ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Déposé par icipatawa
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Pour mélusine, une deferlante de bisous calinous ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
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Déposé par Tatiana70
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Pour la jolie Mélusine, l'ange du ciel vient chanter la douce mélodie du bonheur. Amitié
Déposé par Tatiana70
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Pour la jolie Mélusine, l'ange du ciel vient chanter la douce mélodie du bonheur. Amitié



 
185 messages

Déposé par TaNounou le 06/11/2015  
Voici le bouquet de tulipes roses offert en poème Minouchette :
La tulipe
Moi, je suis la tulipe, une fleur de Hollande
Et telle est ma beauté, que l'avare flamand
Paye un de mes oignons plus cher qu'un diamant
Si mes fonds sont bien purs, si je suis droite et grande.
Mon air est féodal, et comme une Yolande
Dans sa jupe à longs plis étoffée amplement,
Je porte des blasons peints sur mon vêtement,
Gueules fascé d'argent, or avec pourpre en bande.
Le jardinier divin a filé de ses doigts
Les rayons de soleil et la pourpre des rois
Pour me faire une robe à trame douce et fine.
Nulle fleur du jardin n'égale ma splendeur,
Mais la nature, hélas ! n'a pas versé d'odeur
Dans mon calice fait comme un vase de Chine.
Théophile GAUTIER

Déposé par TaNounou le 11/10/2015  
Un poème pour toi chère Mélusine :
A deux beaux yeux
Vous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Votre prunelle, où brille une humide paillette,
Au coin de vos doux yeux roule languissamment ;
Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ;
Ils sont de plus belle eau qu’une perle parfaite,
Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète,
Ne voilent qu’à demi leur vif rayonnement.
Mille petits amours, à leur miroir de flamme,
Se viennent regarder et s’y trouvent plus beaux,
Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux.
Ils sont si transparents, qu’ils laissent voir votre âme,
Comme une fleur céleste au calice idéal
Que l’on apercevrait à travers un cristal.
(Théophile Gautier)

Déposé par TaNounou le 23/09/2015  
Premier jour de l'automne sur notre planète chère Mélusine,
Le Sphinx
Ô mon beau chat frileux, quand l’automne morose
Faisait glapir plus fort les mômes dans les cours,
Combien passâmes-nous de ces spleeniques jours
A rêver face à face en ma chambre bien close.
Lissant ton poil soyeux de ta langue âpre et rose
Trop grave pour les jeux d’autrefois et les tours,
Lentement tu venais de ton pas de velours
Devant moi t’allonger en quelque noble pose.
Et, je songeais, perdu en tes prunelles d’or
– Il ne soupçonne rien, non, du globe stupide
Qui l’emporte avec moi tout au travers du vide.
Rien des astres lointains, des dieux ni de la mort ?
Pourtant !… Quels yeux profonds !… Il m’intimide
Saurait-il donc le mot ? – Non, c’est le sphinx encore.
(Jules Laforgue, poèmes inédits, 1877)

Déposé par pacificelectric le 05/09/2015  
Je pars en vacances quelques semaines mais je ne vous oublie pas les minettes, Eveline sera là pour vous fleurir tous les jours!

Déposé par TaNounou le 31/08/2015  
L'éternel printemps où, Mélusine, tu as accueilli ta soeur Mélisande, il y a 10 mois, est aussi mis en poésie par Victor Hugo, pour nous, ici-bas:
Printemps
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
(Victor Hugo, Toute la lyre).

Déposé par KEKER le 09/08/2015  
Une lueur transperça la nuit.
C'était la lueur de milliers de bougies qui luisaient brillantes, fortes et puissantes,
Et j'ai compris qu'elle venait de ton amour, cette lueur dorée .
Même si nous ne pouvons pas plus être ensemble comme avant,
Nous sommes toujours reliées par un fil invisible.
Chaque fois que tu le souhaites tu peux me retrouver, car nous ne sommes jamais éloignées,
Regarde au delà de l'arc-en-ciel et écoute avec ton coeur.
Pour toi, jolie petite fée, qui a vu arriver sa soeur au paradis afin de la retrouver, caresses à toutes les deux...

Déposé par melanie02 le 31/07/2015  
Melusine et Mélisande je tiens a remercier votre maman chat qui chaque jour fleuri mon Mickey.
Même si je n'ai pas u le plaisir de vous connaître aujourd'hui vous faites partie de ma vie et Mickey vous a rejoint et j'espère que chaque jour sais un plaisir pour vous de gambader et jouer ensemble.Je vous fais pleins de papouilles et de câlins avec une immense joie de savoir que vous veillez sur nous a chaque instant.

Déposé par maninette le 09/07/2015  
Regard de chat
Dans l’eau pure d’un lac profond
C’est tout le soleil qui se mire,
Une énigme tombée au fond
D’un puits secret qui vous attire…
Passablement reflet sorcier
D’une lune mystérieuse,
Se faisant parfois messager
De méditation nébuleuse.
Deux prunelles et deux bijoux
Descendus d’une autre planète
Où, grand jamais, pauvres de nous
N’aurons accès, je le regrette.
C’est là leur pouvoir et beauté
Ainsi qu’étrange phénomène,
Un regard de tous, convoité,
Cadeau d’une étoile lointaine

Déposé par TaNounou le 05/07/2015  
Douce Mélusine,
Aujourd'hui j'ai observé un vol groupé de pigeons voyageurs qui s'entraînaient au dessus de la vallée de la Seine dans les Yvelines. C'était surprenant de voir leur synchronisation parfaite dans les déplacements lors de rotations tourbillonnantes, la couleur blanche passait au bleu rosé et surtout un bref instant, ils devenaient tous invisibles : leur corps étant perpendiculaire au champ de ma vision !
Hier, je voyais un chat blanc de ma fenêtre qui suivait des yeux les hirondelles, aussi aujourd'hui je pensais à toi : t'imaginant du haut de l'arbre à chat, tournée vers la fenêtre du salon de ton ancienne demeure et regardant d'autres pigeons voyageurs de ton quartier et que je voyais, à l'époque, s'entraîner de cette façon.
Tu aurais été fascinée, Minouchette, de voir ceux-çi, c'était vraiment beau...

Déposé par TaNounou le 03/07/2015  
Dear Minouchette, comme tu es une chatte "british" tu sauras lire ce petit poème qui te rappellera tes ancêtres que tu as rejoint là-haut :
W.B. Yeats (1865–1939). The Wild Swans at Coole. 1919.
36. "The Cat and the Moon"
THE CAT went here and there
And the moon spun round like a top,
And the nearest kin of the moon
The creeping cat looked up.
Black Minnaloushe stared at the moon, 5
For wander and wail as he would
The pure cold light in the sky
Troubled his animal blood.
Minnaloushe runs in the grass,
Lifting his delicate feet. 10
Do you dance, Minnaloushe, do you dance?
When two close kindred meet
What better than call a dance?
Maybe the moon may learn,
Tired of that courtly fashion, 15
A new dance turn.
Minnaloushe creeps through the grass
From moonlit place to place,
The sacred moon overhead
Has taken a new phase. 20
Does Minnaloushe know that his pupils
Will pass from change to change,
And that from round to crescent,
From crescent to round they range?
Minnaloushe creeps through the grass 25
Alone, important and wise,
And lifts to the changing moon
His changing eye

Déposé par KEKER le 27/06/2015  
Le même poème que pour ta soeur, douces caresses...
Va mon ange
Va mon petit ange, déplie tes douces ailes
puisque la vie ici te quitte
envole-toi vers ce grand ciel
et tant pis si mes yeux me piquent.
Tu as bien assez souffert ici bas
envole-toi vers l'au-delà
même si cette douloureuse absence
restera pour moi ici souffrance.
Tu sera toujours au fond de moi
dans le creux de mon coeur tu dormiras
et dans mes heures de grands combats
ta douce présence me réchauffera.
Va mon petit ange, va
ne te retiens pas pour moi
Je resterai debout, ne t'inquiète pas
je garderai pour que rien ne change
le bonheur en moi d'avoir ici-bas
rencontré un ange ....
et dans mon coeur à jamais et pour toujours
je saurai ce que signifie le mot AMOUR ......

Déposé par TaNounou le 21/06/2015  
Minouchette, en ce premier jour de l'été, un poème en souvenir du temps où tu t'amusais avec Mélisande, en vacances, dans le jardin de l'île de Ré...

"A l’intérieur de mon jardin"
Parmi le vert
et la floraison
de toutes les plantes les plus belles
je flâne.
Je délibère ici
Je rêve par là.
L’heure s’arrête
ou plutôt s’étend pleinement,
se déplier et s’amplifier.
Ces tournoiements et ondulations soudaines
de brises d’été,
envoient tous les parfums
dans l’air chaud.
Contempler une feuille
ou le motif sur le mur
créés par des branches les plus prés.
Ces têtes-là de fleurs dansantes
exposent délicatement
toute leur gloire.
Quelle simplicité à se perdre.
Et quelle aisance à respirer
doucement.
Et quelle aisance
à avoir des pensées profondes.
(Chloe Douglas, 1995)

Déposé par elise2512 le 18/06/2015  
*** Trop beau ton Paradis… ***
Un petit nuage flotte dans le ciel ;
En tombent de jolies gouttelettes dorées.
Et hop, j’en ai plein les yeux…
Oh mais c’est magique ! C’est toi que je vois mon Trésor !
Tu cours là-haut dans les herbes folles,
Entouré d’autres « jolis cœurs » à 4 pattes,
Et dans les airs, ça virevolte d’oiseaux de toutes les couleurs.
C’est plein de lacs, de rivières avec une eau si belle, si limpide…
C’est plein de forêts, de champs et de fleurs…
L’air y est si doux, si pur, si sain…
Qu’il est beau ton Paradis, trop beau !
Où trouver l’échelle pour monter là-haut ?
Dis-moi mon Ange…où ?

Déposé par TaNounou le 14/06/2015  
Un poème en souvenir du temps où, chère Mélusine, tu t'amusais avec nous :
Edmond Rostand, extrait de "Les Musardises"
Ses yeux jaunes et bleus sont comme deux agates;
Il les ferme à-demi, parfois, en reniflant,
Se renverse, ayant pris son museau dans ses pattes,
Avec des airs de tigre étendu sur le flanc.
Mais le voilà qui sort de cette nonchalance,
Et, faisant le gros dos, il a l'air d'un manchon;
Alors pour l'intriguer un peu, je lui balance,
Au bout d'une ficelle invisible un bouchon.
Il fuit en galopant et la mine effrayée,
Puis revient au bouchon, le regarde, et d'abord
Tient suspendue en l'air sa patte repliée,
Puis l'abat, et saisit le bouchon et le mord.
Je tire la ficelle, alors, sans qu'il le voie;
Et le bouchon s'éloigne, et le chat noir le suit,
Faisant des ronds avec sa patte qu'il envoie,
Puis saute de côté, puis revient, puis refuit.
Mais dès que je lui dis: "Il faut que je travaille;
Venez vous asseoir là, sans faire le méchant!"
Il s'assied ... Et j'entends, pendant que j'écrivaille,
Le petit bruit mouillé qu'il fait en se léchant.

Déposé par elise2512 le 12/06/2015  
Ma petite maman
Regarde vers le ciel
Tu verras briller tout là-haut
Une étoile couleur de miel
Il n'y a rien de plus beau
Et si tu regardes avec ton coeur
Tu verras derrière l'astre luisant
Un ange aux ailes de mille couleurs
Et cet ange, c'est moi ta tite Mélusine

Déposé par TaNounou le 11/06/2015  
Chère Mélusine,
Un texte d'histoire pour te dire qu'on essaie de sourire sans toi. Il est sur des chats qui t'ont peut-être raconté là-haut leur vie antique :
Les chats gardaient jalousement les manuscrits de leurs maîtres et les protégeaient de la curiosité des rongeurs. Il paraît que Dante aurait appris à son chat noir à tenir chaque nuit une bougie allumée entre ses pattes... Le chat devient donc indispensable à l'écrivain, il sert à la fois de muse et d'essuie-plume...

Déposé par elise2512 le 04/06/2015  
Conquérir l'amitié d'un chat est chose difficile.
C'est une bête philosophique, rangée, tranquille, tenant à ses habitudes, amie de l'ordre et de la propreté, et qui ne place pas ses affections à l'étourderie : Il veut bien être votre ami, si vous en êtes digne, mais non pas votre esclave.
Dans sa tendresse, il garde son libre arbitre, et il ne fera pas pour vous ce qu'il juge déraisonnable; mais une fois qu'il s'est donné à vous, quelle confiance absolue, quelle fidélité d'affection !
Il se fait compagnon de vos heures de solitude, de mélancolie et de travail.
IL reste des soirées entières sur votre genou, filant son rouet, heureux d'être avec vous et délaissant la compagnie des animaux de son espèce.
Si vous le posez à terre, il regrimpe bien vite à sa place avec une sorte de roucoulement, qui est comme un doux reproche.
Quelquefois, posé devant vous, il vous regarde avec des yeux si fondus, si moelleux, si caressants et si humains, qu’on est presque effrayé, car il est impossible de supposer que la pensée en soit absente.
******
Théophile Gautier (Ménagerie intime)

Déposé par TaNounou le 28/05/2015  
Mélusine, voici un petit poème qui vient d'un pays ensoleillé :
A l'ombre de ton sommeil
reposent les vestiges des songes
il paraît qu'au-delà des collines
pointe l'autre horizon
je n'implore du soleil
aucun rai
je porte en moi
la lumière de ton éveil
l'éblouissement de ton regard
rivé vers l'éternité.
(Alain Mabanckou,Congo )

Déposé par KEKER le 24/05/2015  
Quand j’observe le ciel,
Je rêve à des merveilles,
Mais souvent la nuit
Je rêve à elle.
Elle est mon étoile, mon berger
Dans la soirée sacrée,
Elle est l’étoile perdue,
Que j’ai aperçue.
Cette étoile du berger parmi tant d’autres,
Est comme les secondes d’une montre,
On l’aperçoit peu,
Mais elle est avec eux.
Alors, je me suis retournée
Et dans la nuit étoilée
Et je t’ai vue, sur le chemin,
Me tendant la patte, ma chatte,
Me disant : ne te laisse pas envahir par le chagrin,
Tu restes à jamais mon amie, je veille sur toi,
Ma vie était belle, j’ai vécu comme une reine,
Je te regarde, je t’entends, je ne suis pas loin,
Juste de l’autre côté du chemin.

Déposé par TaNounou le 19/05/2015  
Douce Mélusine,
Aujourd'hui, j'ai vu que les cascades de fleurs blanches ont fait place à des feuilles de vert tendre, cependant le poète les a immortalisées :
Au printemps
Regardez les branches
Comme elles sont blanches !
Il neige des fleurs.
Riant dans la pluie,
Le soleil essuie
Les saules en pleurs
Et le ciel reflète,
Dans la violette
Ses pures couleurs...
La mouche ouvre l'aile
Et la demoiselle
Aux prunelles d'or,
Au corset de guêpe
Dépliant son crêpe,
A repris l'essor.
Le goujon frétille
Un printemps encore !
(Théophile Gautier)




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