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En hommage à
BRITISH-SHORTHAIRAgathe (cleo)
Il est né le:26/01/2005
Il nous a quittés le:04/04/2013
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407 messages
Déposé par PiouPiou le 01/11/2014Bonne fête ma Jolie Cléo --- QU'UN VOILE Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sépare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis là, auprès de toi; tu m'entends rire, discourir de ce qui était. Désormais c'est un trésor au fond de toi. Il n'y qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà. Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'éblouissant interdit. Mais pour les cœurs la frontière n'existe pas, l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel. L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment. |
Déposé par chacaju le 01/11/2014« L’aube est moins claire » L’aube est moins claire, l’air moins chaud, le ciel moins pur ; Le soir brumeux ternit les astres de l’azur. Les longs jours sont passés ; les mois charmants finissent. Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent ! Comme le temps s’en va d’un pas précipité ! Il semble que nos yeux, qu’éblouissait l’été, Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes. Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes, L’automne est triste avec sa bise et son brouillard, Et l’été qui s’enfuit est un ami qui part. Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure, Adieu, ciel bleu ! beau ciel qu’un souffle tiède effleure ! Voluptés du grand air, bruit d’ailes dans les bois, Promenades, ravins pleins de lointaines voix, Fleurs, bonheur innocent des âmes apaisées, Adieu, rayonnements ! aubes ! chansons ! rosées ! Puis tout bas on ajoute : ô jours bénis et doux ! Hélas ! vous reviendrez ! me retrouverez-vous ? Victor Hugo |
Déposé par chacaju le 01/11/2014QU'UN VOILE Il n'y a qu'un voile, qu'un voile qui nous sépare. Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes, si doux, si fin, si persistant, "Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix. "Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois". Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et je suis là, auprès de toi; tu m'entends rire, discourir de ce qui était. Désormais c'est un trésor au fond de toi. Il n'y qu'un voile si fin pourtant si infranchissable, impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà. Nul ne doit savoir, on n'en revient pas, c'est l'éblouissant interdit. Mais pour les coeurs la frontière n'existe pas, l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel. L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment. |
Déposé par elise2512 le 29/10/2014Merci du fond du cœur pour votre soutien à l’occasion du 1er anniversaire du départ de mon Ramsès. Votre gentillesse met un peu de baume à mon cœur. Je fais des milliers de douces caresses à votre belle princesse Cléo aux yeux d'or. |
Déposé par KEKER le 25/10/2014Maman, un coucou du paradis pour chats J’ai mis du temps Maman à t’écrire, Mais je voulais te rassurer car je sais que tu es très triste depuis mon départ. Et oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, Il y a un nid rempli d'amour et très douillet pour nous. Il y a des balles de laine, de l'herbe à chat, Des rivières de lait, des souris à profusion et surtout… Il y a plein de toutous, et l’on s’entend super bien Comme quoi, les humains racontent un peu n’importe quoi, Maman. Je suis bien où je suis. Je suis bien entourée. Toutes les caresses, toutes les tendres attentions, tous les derniers soins que tu m'as offerts, Je les ai apportés avec moi. La plus importante des choses que tu dois savoir, C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages d'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta gentillesse sont gravées dans mon coeur. Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux lèvres et un ronronnement dans les oreilles, C'est que je t'aurai rendu une petite visite dans tes songes. Merci pour ton amour. Je t'aimerai éternellement! |
Déposé par KEKER le 17/10/2014Ouvre grand ta fenêtre, toi qui m'a donné tant d'amour. Ouvre grand Chut ! Écoute le vent Qui te porte un poème Des milliers de "je t'aime" Chut ! Écoute le vent Comme un jour de printemps Il t'apporte un baiser Celui de ta boule de tendresse. Pour Cléo et sa mamanchat |
Déposé par KEKER le 26/09/2014Je ne t'oublie pas, belle princesse, je te dédie ce poème, doux bisous ! Au revoir, ce n'est pas toujours adieu Au revoir, c'est à bientôt si tu veux Au revoir, c'est pourtant toujours Des larmes aux yeux… Au revoir, ce n'est parfois qu'une absence, Au revoir, c'est aussi un long silence, Au revoir c'est toujours, Un chagrin qui recommence… Au revoir, ce n'est pas toujours adieu Au revoir, c'est peut-être parfois mieux Au revoir c'est pourtant toujours, Des larmes aux yeux. |
Déposé par elise2512 le 25/09/2014 Viens mon chat ronronner au creux de mon épaule, Apaise mes tourments et ferme tes grands yeux J'aime te caresser, et ta queue qui me frôle La joue me donne envie de me sentir mieux... ***** Viens mon chat, mon beau chat, tu es, de tous les mâles Qui viennent se blottir en mes reins, le plus doux. J'ai connu plus d'un homme qui se fit animal En des jeux de plaisir. Ils n'étaient que voyous! ***** Toi, mon chat, tu m'écoutes car tu dresses l'oreille Quand tu m'entends pleurer, tu m'aimes et me comprends Tes pas sont de velours, et tes sens en éveil, Tes silences sont d'or comme tes miaulements... ***** (Maudamour) |
Déposé par elise2512 le 21/09/2014Tandis que sur ta patte aux draps de fine étoffe, Ta langue souple et rêche, enlève doucement, Assis, le front pensif ainsi qu’un philosophe, Le sable de la nuit d’un doux balancement. ***** J’écoute, ô mon beau chat, les froissements étranges De ta douce fourrure. Ô, silences soyeux. Tu plonges ton museau humide dans les langes. Au chaud satin profond, tu lèches, soucieux, ***** Parmi de longs tissus hochant ta nuque sombre, Quelques rayons couchés, la lumière et puis, l’ombre, Qui glisse lentement sous ton ventre laiteux. ***** Et, lorsque ton regard soudain sur moi se pose, Plus froid que le métal et plus doux que la rose, Dans mon âme, s’élève un parfum capiteux. |
Déposé par KEKER le 03/09/2014"Tant que vous n’avez pas aimé un animal, une partie de votre âme sera toujours sans éclat, endormie." Anatole France. |
Déposé par MC le 31/08/2014 Vous êtes notre passé, notre présent et vous serez pour toujours notre avenir... Un souffle de tendresse pour toi belle CLEO et toute mon amitié à ta Maman. ************ |
Déposé par chacaju le 31/08/2014Ma chère Cléo, Quand je me remémore notre histoire, ce que je fais très souvent, en tournant les pages, c'est un peu comme si je voyais des cygnes glissant sur l'eau, une eau semblable à un miroir scintillant qui me remplit les yeux de cette lumière douce , tant les moments que nous avons partagés sont beaux et emplis d'une quiétude inégalable . Ils resteront d'ailleurs écrits d'une encre indélébile dans ma mémoire et dans mon cœur, ainsi résonne en moi l'écho de notre exquise complicité, mon petit chat Cléo. Je t'aime et ne cesserai de t'aimer, tu ne quitteras jamais les beaux souvenirs que je garde de toi. Comme le dit la maman de Duchesse, tu es là, juste dans mon cœur. Tendresse, mon trésor., , |
Déposé par KEKER le 24/08/2014Quand demain commence sans moi... Quand demain commence sans moi, Et que je ne suis pas là pour le voir, Le soleil va briller et ouvrir tes yeux Tout pleins de larmes pour moi. Je voudrais tant que tu ne pleures pas, Comme tu l'as fait aujourd'hui, En te souvenant comment je posais ma tête Dans tes genoux, de façon particulière... Je sais combien tu m'aimes, Autant que je t'aime, Et chaque fois que tu penses à moi, Je sais que tu vas me manquer aussi. Mais quand demain commence sans moi, S'il te plaît, essaie de comprendre Qu'un ange est venu et a dit mon nom, Et m'a caressé la patte. Il m'a dit que ma place était prête, Dans le ciel au-dessus, Et que je devais laisser en arrière Tous ceux que j'adore. Mais, quand j'ai tourné les talons, Une larme a coulé de mes yeux, De toute ma vie, je n'avais jamais pensé Que je devrais mourir . J'ai eu tellement de choses à vivre, Tant de ronrons et de caresses à faire, Il me semblait impossible Que je te quitte... J'ai repensé à notre vie ensemble, Je sais que tu es triste, Je songe à tout l'amour que nous avons partagé, Et à tout le plaisir que nous avons eu... Rappelles-toi comment je poussais ta main, Et te piquais avec mon nez... La balle volante que je poursuivais joyeusement... Si je pouvais revivre hier, Même pour un peu de temps, Je remuerais la queue et je t'embrasserais, Juste pour te revoir sourire. Mais alors j'ai pleinement réalisé Que cela ne pourrait jamais être, Que le néant et les souvenirs Prendront ma place. Et quand je songe aux friandises et aux jouets, Il me manque de venir demain, Mon cœur félin se remplit de tristesse. Mais alors j'ai franchi la porte du Ciel, Alors que je me sentais si bien à la maison ; Dieu m'a regardé et m'a souri, De son magnifique trône d'or. Il m'a dit « Ceci est l'éternité, Et maintenant, bienvenue parmi nous, Aujourd'hui, ta vie sur terre est terminée, Mais ici, elle recommence. Je ne promets aucun demain, Mais un aujourd'hui qui durera toujours ; Car vois-tu, chaque jour est le même jour, Il n'y a pas la nostalgie du passé. Maintenant, tu as été si fidèle, Si confiant, loyal et sincère ; Bien qu'à certains moments tu as fait des choses Que tu savais qu'il ne fallait pas faire. Mais les bons chats sont pardonnés, Et maintenant, enfin, tu es libre ; Ainsi, ne t'assoirais-tu pas à mes côtés, Et attendre ici même avec moi? " Donc, quand demain va venir sans moi, Ne crois pas que nous sommes éloignés. Chaque fois que tu penses à moi, Je suis juste là, dans ton cœur. |
Déposé par Popy le 22/08/2014Il est des heures où Les ombres se dissipent La douleur se fige Il est des heures où Quand l'être s'invincible La lèpre s'incline Mais si j'avais pu voir qu'un jour Je serai qui tu hantes Qu'il me faudrait là ton souffle Pour vaincre l'incertitude Ecrouer ma solitude Il est des heures où Les notes se détachent Les larmes s'effacent Il est des heures où Quand la lune est si pâle L'être se monacale Mais je erre comme une lumière Que le vent a éteinte Mes nuits n'ont plus de paupières Pour soulager une à une Mes peurs de n'être plus qu'une Je n'ai pas le temps de vivre Quand s'enfuit mon équilibre Je n'ai pas le temps de vivre Aime-moi entre en moi Dis-moi les mots qui rendent ivres Dis-moi que la nuit se déguise Tu vois je suis comme la mer Qui se retire de n'avoir pas Su trouver tes pas Il est des heures où Mes pensées sont si faibles Un marbre sans veines Il est des heures où L'on est plus de ce monde L'ombre de son ombre Dis de quelle clef ai-je besoin Pour rencontrer ton astre Il me faudrait là ta main Pour étreindre une à une Mes peurs de n'être plus qu'une Pas le temps de vivre (1999) Paroles: Mylène Farmer |
Déposé par KEKER le 22/08/2014"Lorsque deux nobles cœurs se sont vraiment aimés, Leur amour est plus fort que la mort elle-même. Cueillons les souvenirs que nous avons semés, Et l'absence après tout n'est rien lorsque l'on s'aime." Guillaume Apollinaire. |
Déposé par elise2512 le 21/08/2014 ABANDON ******* Je suis là devant la porte fermée Devant cette porte qui pourtant est celle de ma demeure. Je miaule, gratte depuis des heures à cette porte, personne ne m'ouvre, Des heures à me dire que mes maîtres devraient m'entendre, Entendre mes appels de détresse, de craintes Je ne tremble pas de froid mais de terreur, Devant ce monde extérieur que jamais je n'ai connu avant ce jour. Toujours j'ai vécu auprès de mes maîtres sans jamais quitter ce home Toute petite l'on est venu de chercher, Tous devant mes sourires ont fondu pour moi. Tendrement, des bras amoureux m'ont pris m'emportant Dans ce foyer pour y commencer ma vie. Vie qui me promettait des câlins à l'infini, de l'amour sans fin, un toit ma vie durant. Mais.... mais à présent, je suis assise, sur cette galerie, depuis des heures, Des heures à attendre leur retour. J'étais bien tranquillement couchée à la fenêtre ou je passe mes journées paisibles, Un camion est venu au petit matin, j'ai vu mes maîtres transportés une à une des boîtes, Puis leurs meubles dans celui-ci. Ces mêmes bras qui jadis m'ont pris avec tendresse, M'ont attrapé par la peau du cou, Puis ils m'ont déposé là où je suis à présent. Mon maître est alors monté dans ce camion, Emportant aussi avec lui ma famille, ceux que j'aimais. Depuis ce temps, j'attends, j'attends inlassablement leur retour. La nuit approche, cette nuit peuplée de mystère, d'inconnu pour moi, Cela sera la première que je passerais à l'extérieur de mon foyer. Je me glisse sous cette galerie ou tout en essayant de trouver un peu de repos, Je pourrais guetter avec attention le retour de mon maître bien aimé, De cette famille à qui je donnais de l'affection sans compter. Les heures passent, le jour se lève, Une journée se termine, j'attends toujours. Jour après jour, je les attends, Puis la faim se fait sentir, Je vais errer dans la ruelle qui se trouve derrière, Essayant de trouver un peu de nourriture. Peu à peu, ma vie devient une vie d'errance, Peuplée d'innombrables souffrances, Car, depuis leur départ, Moi avec des centaines d'autres, aussi tristement qu'eux, Je finirais ma vie apeurée, sans amour, sans joies. Souffrant parce qu'on m'a abandonné, un jour de déménagement, Sans se soucier des conséquences que cela apporterait dans ma vie. *** (Diane) |
Déposé par chacaju le 21/08/2014 Ma toute douce Cléo, C'est la période estivale et je ne suis pas très régulière dans mes visites au cimetière. UN grand merci à ceux et celles qui fleurissent ta petite tombe. Sache mon petit chat que je ne t'oublie pas, je te porte dans mon cœur à chaque instant, je t'aime très très fort. Comme j'aimerais te souffler des petits mots doux dans l'oreille mais hélas.....Nous avons eu cette immense chance que nos chemins se croisent , l'histoire que nous avons partagée nous laisse des souvenirs inoubliables et si précieux. Pas un jour ne passe sans que je pense à toi. Je t'aime mon ange. |
Déposé par KEKER le 21/08/2014Au commencement, Dieu créa le chat à son image. Et bien entendu, il trouva que c'était bien. Et c'était bien d'ailleurs. Mais le chat était paresseux. Il ne voulait rien faire. Alors, plus tard, après quelques millénaires, Dieu créa l'homme. Uniquement dans le but de servir le chat, De lui servir d'esclave jusqu'à la fin des temps. Au chat, il avait donné l'indolence et la lucidité ; À l'homme, il donna la névrose, le don du bricolage et la passion du travail. L'homme s'en donna à cœur joie. Au cours des siècles, il édifia toute une civilisation basée sur l'invention, La production et la consommation intensive. Civilisation qui n'avait en réalité qu'un seul but secret : Offrir au chat le confort, le gîte et le couvert. (Jacques Sternberg) |
Déposé par KEKER le 19/08/2014Quand demain commence sans moi Quand demain commence sans moi, Et que je ne suis pas là pour le voir, Le soleil va briller et ouvrir tes yeux Tout pleins de larmes pour moi. Je voudrais tant que tu ne pleures pas, Comme tu l'as fait aujourd'hui, En te souvenant comment je posais ma tête Dans tes genoux, de façon particulière... Je sais combien tu m'aimes, Autant que je t'aime, Et chaque fois que tu penses à moi, Je sais que tu vas me manquer aussi. Mais quand demain commence sans moi, S'il te plaît, essaie de comprendre Qu'un ange est venu et a dit mon nom, Et m'a caressé la patte. Il m'a dit que ma place était prête, Dans le ciel au-dessus, Et que je devais laisser en arrière Tous ceux que j'adore. Mais, quand j'ai tourné les talons, Une larme a coulé de mes yeux, De toute ma vie, je n'avais jamais pensé Que je devrais mourir . J'ai eu tellement de choses à vivre, Tant de ronrons et de caresses à faire, Il me semblait impossible Que je te quitte... J'ai repensé à notre vie ensemble, Je sais que tu es triste, Je songe à tout l'amour que nous avons partagé, Et à tout le plaisir que nous avons eu... Rappelles-toi comment je poussais ta main, Et te piquais avec mon nez... La balle volante que je poursuivais joyeusement... Si je pouvais revivre hier, Même pour un peu de temps, Je remuerais la queue et je t'embrasserais, Juste pour te revoir sourire. Mais alors j'ai pleinement réalisé Que cela ne pourrait jamais être, Que le néant et les souvenirs Prendront ma place. Et quand je songe aux friandises et aux jouets, Il me manque de venir demain, Mon cœur félin se remplit de tristesse. Mais alors j'ai franchi la porte du Ciel, Alors que je me sentais si bien à la maison ; Dieu m'a regardé et m'a souri, De son magnifique trône d'or. Il m'a dit « Ceci est l'éternité, Et maintenant, bienvenue parmi nous, Aujourd'hui, ta vie sur terre est terminée, Mais ici, elle recommence. Je ne promets aucun demain, Mais un aujourd'hui qui durera toujours ; Car vois-tu, chaque jour est le même jour, Il n'y a pas la nostalgie du passé. Maintenant, tu as été si fidèle, Si confiant, loyal et sincère ; Bien qu'à certains moments tu as fait des choses Que tu savais qu'il ne fallait pas faire. Mais les bons chats sont pardonnés, Et maintenant, enfin, tu es libre ; Ainsi, ne t'assoirais-tu pas à mes côtés, Et attendre ici même avec moi? " Donc, quand demain va venir sans moi, Ne crois pas que nous sommes éloignés. Chaque fois que tu penses à moi, Je suis juste là, dans ton cœur. |
Déposé par KEKER le 13/08/2014Pour toi ma petite maman Maman j'accrocherai aux nuages des notes de musique, Pour que tu ne sois plus jamais triste ! Maman tu regarderas le ciel tous les soirs tu y verras mon minois, Que tu garderas dans ton coeur juste pour toi ! Maman je ne veux plus que tu pleures, Toi ma petite maman, ma petite fleur ! Maman je veux voir de la haut du bonheur dans tes yeux, Je veux qu'ils brillent de mille feux juste pour nous deux ! Maman c'est vrai que je ne suis plus là, Mais crois moi ma petite maman je ne suis pas loin de toi ! Je suis juste ailleurs dans ce paradis blanc, Ou comme tu le dis si bien maman ! Mon âme danse éternellement, Jusqu'a la fin des temps ! |
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