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En hommage à
EUROPEENBubble
Il est né le:01/03/2015
Il nous a quittés le:29/12/2017
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4 messages
Déposé par biscuit le 08/01/2018"Même s' il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos coeurs Va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or Tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas Tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je serai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore Il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes La source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors L'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors. L'amour est plus fort que la mort." ) ❣ ️ ❣ ️ ❣ ️ Françoise Hardy(tant de jolies choses), |
Déposé par biscuit le 07/01/2018Allongée, je suis perdue dans mes pensées. je pense à toi, partie loin de moi... je regarde les étoiles, comme on le fesait avant que tu t'en ailles. le soir, quand il fesait bon, nous nous installions sur la terrasse pendant des heures à contempler ces belles lueurs... à chaque foi que je vois une étoile filante, je fait un voeu, un souhait que je désire : TE RETROUVER TOI QUI ME HANTE serait mon plus grand désir... je serais heureuse de te retrouver après toutes ces années passées sans toi à mes côtés pour m'épauler et me guider... avec toi, j'avais la joie de vivre. elle est partie avec ton dernier soupir. je n'aurais jamais cru pouvoir souffrir autant que ce jour où tu as du partir... |
Déposé par biscuit le 04/01/2018Le temps n’aide pas à oublier, mais à s’habituer. Comme les yeux qui s’accoutument au noir. Agnès Ledig , |
Déposé par biscuit le 03/01/2018Il se lovait souvent sur les feuilles éparses De mon petit bureau, ou bien sur mes genoux, Et ne tolérait pas la vue de ses comparses Qui redoutaient sa griffe autant que son courroux. Il m'avait élu Maître, et j'étais son otage -Prisonnier envoûté par son iris béant M'ouvrant un au-delà mystérieux et sauvage Où divaguait sans peur mon esprit mécréant. Nous en faisions un jeu : "la prunelle de fer "; Las ! je sortais vaincu de toutes nos batailles, Surtout quand me brûlaient les flammes de l'Enfer Dans son oeil acéré lacérant mes entrailles. L'aurore l'invitait au creux de mon giron ; Il me couvrait alors d'un regard patelin, Modulant mon réveil d'un lyrique ronron Qu'il posait sur ma joue en un vibrant câlin. Dans un frémissement de sa fine moustache Il ondulait parfois sur les sentiers du rêve; Même dans l'abandon, qu'il avait du panache ! Combien ma main aimait à le flatter sans trêve ! Sur le coussin ridé du vieux fauteuil voltaire L'absence a fait son lit au val de mon félin; Oh, je hais ce trépas en mon coeur solitaire ! Et je pleure l'ami qui me fait orphelin. Alice Hugo, |