Aucune fleur aucune bougie 4 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
EUROPEENMIYA
Il est né le:--/06/2010
Il nous a quittés le:24/11/2015
0 bougie
|
109 messages
Déposé par mistigri13 le 24/11/2016Ma petite étoile Tu es ma douce étoile qui brille dans la nuit Tu es le vent qui souffle et chasse mes nuages Tu es la petite étincelle accrochée au ciel qui sans cesse me redonne du courage Quand je m’éveille dans le calme du matin tu me dis bonjour … et tu me fais avancer Tu es mon feu d’artifice qui ne finira jamais et tu brilles nuit et jour dans le fond de mes yeux Tu es ma bonne étoile toujours fidèle qui me porte chance à chaque instant Ma petite étoile… je crois en toi … Comme un lampion de fête au-dessus de ma tête tu me vois et tu me suis Je lève mes yeux tout là-haut vers toi Tu es là Ma petite étoile dans le ciel |
Déposé par KEKER le 23/11/2016"Je vais bien ne t'en fais pas <3 Des hauteurs du paradis des chats, si tu ne peux me voir, moi je te vois toujours. Profite au maximum du temps précieux que tu as encore devant toi pour expérimenter les délices de la matière, c'est ce qui de mon nuage pourra me rendre la plus heureuse du monde. Plus tu vivras dans la joie, plus je serai heureuse, et dès lors nos retrouvailles n'en seront que plus radieuses le moment venu. Tu n'as pas à te sentir coupable, encore moins triste car aujourd'hui je te parle par la voix des Châmes pour te dire combien je t'aime et que tout va bien. Merci pour tout, tu es vraiment une personne formidable, alors s'il te plaît, continue de vivre comme tu le faisais avant, c'est vraiment cela qui pourra me rendre heureuse. Mille baisers des cimes du paradis, on se retrouvera juste quand il le faudra " |
Déposé par GHETGHET le 06/11/2016Ce que je sais Ce que je sais c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que, tous les jours, je vis avec les miens… Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens Ce que je sais encore, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort, et de la barbarie. Tout cela, je le sais, je le crois … Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 31/10/2016Je pense à toi, lorsque les lueurs du soleil Brillent dans la mer. Je pense à toi, lorsque le scintillement de la lune Se mire dans les sources. Je te vois, lorsqu’au loin sur le chemin La poussière se soulève, Dans la nuit profonde, lorsque sur l’étroit sente Le voyageur tressaille. Je t’entends, lorsque des murmures étouffés La vague monte là-bas. Dans le paisible bosquet je vais souvent pour écouter Quand tout se tait. Je suis auprès de toi, aussi loin sois-tu, Tu es près de moi. Le soleil baisse, bientôt brilleront les étoiles. Ah ! Si tu étais là ! Goethe |
Déposé par GHETGHET le 25/10/2016le cimetière virtuel pour chats qui es un belle HOAMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des HOMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS de bontés et de lumières avec le cimetière virtuel ces partager en écrits vos vie et rituels vécus avec vous les chats en votre présence avec le cimetière virtuel ces vous envoyer en écrits des belles pensés et des messages de PAIX et d'AMOURS entre terres et ciels avec le cimetière virtuel ces des hommages en écrits et notre AMOURS pour vous qui se prolonges dan la continuités avec le cimetière virtuel pour vous un jardins virtuel fleuris pour adoucir nos chagrins d'AMOURS de votre absence visibles avec le cimetière virtuel ces d'échanger en écrits histoires et rituels de vies vécus en votre présences d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des belles pensés pour vous les chats,vous êtes des êtres d'âmes d'AMOURS comme nous avec le cimetière virtuel ciels terres vies au arc en ciels des hommages pour vous les chats au âmes d'amours que vos AMES soit en PAIX es AMOURS a l'infini PAPA-GHETGHET Merci a cimetières virtuel de pouvoirs faires des hommages a nos chats d'AMOURS |
Déposé par mistigri13 le 23/10/2016Une lueur transperça la nuit. C'était la lueur de milliers de bougies qui luisaient brillantes, fortes et puissantes, Et j'ai compris qu'elle venait de ton amour cette lueur dorée . Même si nous ne pouvons pas plus être ensemble comme avant, Nous sommes toujours reliés par un fil invisible . Chaque fois que tu le souhaites tu peux me retrouver, car nous ne sommes jamais éloignés, Regardes au delà de l'arc-en-ciel et écoutes avec ton coeur . |
Déposé par GHETGHET le 22/10/2016Si vous saviez ce qu'il y a Dans l'œil sans fond d'un petit chat, Qu'il soit jaune, vert ou lilas Vrai, vous n'en reviendrez pas ! On y voit des oiseaux de lune, Des palais de laine et de lait, Le sphinx émergeant de ses lunes, Et des ballets ultraviolets. Sur des bassins d'une eau sans rides, S'épanouit la fleur de lotus Tandis qu'une main translucide Peint des soleils sur papyrus. Tout l'univers est reflété Dans cette goutte de lumière Qui ouvre sur l'éternité Ainsi qu'un hublot sur la mer Marc Alyn |
Déposé par GHETGHET le 19/10/2016Assis sur les genoux du temps, Mon chat,immobile et patients, Fait semblant d’être un sablier, J’entends ses moustaches crisser. Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges Qui tictaquent de sauterelles. Les chaumes marquent midi Et boivent à la paille Des giclées de soleils. Les martinets fouettent le ciel, Mais ça ne le fait guère Avancer pour autant ! Les serpents, minutes lentes, Glissent dans les roselières. Tout près de mon étang secrets, Poussent de grandes sarbacanes Qui lancent vers le ciel Des flèches de lumières A contre-courants, Que seul mon chat discrets comprend. (Christian Poslaniec) |
Déposé par SOCRATE le 01/10/2016En lisant ce texte, j'ai eu envie de le partager avec vous. Il est extrait de la vie en bleu Martin Steffens livre que je suis en train de lire. Parler, c’est déchirer l’opacité du monde : c’est ouvrir dans la dureté du réel une voie pour le dialogue. Dire ce qu’il en est, de l’épreuve et des souffrances qu’elle génère, c’est ainsi rompre le silence où celles-ci nous enferment. L’enseignant ne juge pas, il n’assomme pas de bons conseils : il part à la recherche des mots qui, comme des étincelles jaillies de l’obscurité, promettent à notre nuit qu’elle n’est pas éternelle. Il est vrai que je ne suis pas mieux placé qu’un autre pour donner un enseignement sur l’épreuve. Mais pas moins bien placé non plus : qui d’entre nous ignore que le réel, comme une force contraire, résiste à nos désirs, contrarie nos projets, déçoit nos plus chers espoirs? Concernant la souffrance, qui n’a voix au chapitre ? Chacun d’entre nous ressemble à ces mercenaires des temps anciens qui, pour vendre leurs services au meilleur prix, montraient leurs cicatrices au bras, au cou ou à la hanche : ce curriculum vitae, écrit à même la chair, était le gage de leur courage au combat. Qui n’a de telles cicatrices ? Comme on le verra, il n’y a pas de vie sans épreuve : nous sommes tous des hommes, avec une peau à sauver, un cœur qui bat et une tête qui ne vient pas à bout du mystère du mal. Chacun peut donc parler de l’épreuve. Il y a quand même un problème : le fait même de parler de l’épreuve suppose de ne pas être sous son empire. Tenir un discours sur quelque chose, c’est s’en tenir à distance : sinon, ce n’est que plaintes, gémissements, hurlements de colère. Si donc penser la souffrance exige qu’on ait pris, vis-à-vis d’elle, un certain recul, il n’est pas étonnant que le discours raisonné semble arriver toujours trop tôt, ou trop tard : dans la tempête qui secoue, qui nous jette ici et là, est-il vraiment possible d’entendre la voix, posée, qui dispense de bons conseils? Aussi ceux qui parlent de l’épreuve ont-ils souvent les paroles dont nous aurions besoin si l’épreuve, gracieusement, nous accordait une pause, une entracte, comme on donne à l’auditoire un moment de répit avant d’inviter chacun à rejoindre sa place. Or il ne faut pas rêver : la souffrance n’a pas tant d’égards. Pourtant, cela arrive parfois : lors d’un deuil, par exemple, on peut soudain se sentir moins triste, plus sensible à la clarté du jour, à la bonne humeur des passants ou au chant des oiseaux. Comme s’il y avait, dans tous les combats de la vie, des périodes de trêve : souffrir aussi est fatigant, il faut reprendre ses forces, comme pour mieux retourner à son deuil et honorer, par les larmes versées, la mémoire de ceux qu’on a aimés. Dans ces moments de répit, il nous est alors donné de faire le point : quel est le sens de tout cela, qui semble si absurde ? Lors de cette accalmie, il peut être bon d’écouter celui qui, sur l’autre rive, affirme qu’il est possible de surmonter sa peine et comment s’y prendre. L’homme de l’autre rive, qu’aucune épreuve ne secoue autant qu’on est soi-même chahuté, a des mots mesurés et des consignes claires. La seule chose qu’on lui demandera, quand on se débat pour ne pas se noyer, c’est de ne pas faire comme si c’était facile, comme s’il suffisait de dire : « Vas-y ! Un peu de volonté ! », pour ensuite s’éloigner du bord, satisfait. |
Déposé par GHETGHET le 01/10/2016La vie du chat contient une époque, concentre une parcelle de notre vie, elle est une sorte de mesure du temps et une mémoire, elle contient une expérience commune, un morceau de notre histoire, une parcelle de notre temps perdu. Quand le chat mourra, ce sera comme la fin d'un temps, la fin d'une période. L'extinction d'une partie de nous-mêmes avec l'extinction du chat. Karine Miermont |
Déposé par mistigri13 le 28/09/2016Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard... Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!! |
Déposé par mistigri13 le 18/09/2016Mon chat, mon ami. Toi qui est entré dans ma vie. Toi qui m'as apporté plein de bonheur. Et, même parfois, un peu de malheur. Toi, mon chat. Sache que j'ai aimé Te chatouiller et te caresser Le matin, t'entendre miauler. Dès qu’on était réveillé Pour avoir ta pâtée. Car tu savais nous charmer. Avec tes miaulements mélodiques et tes mouvements si gracieux. Tu faisais de nous des êtres heureux. Tu étais toujours très drôle dans tes jeux imaginaires. Tu nous faisais rire sans en avoir l'air. Jamais on ne t'oubliera. Car, dans nos coeurs, tu resteras. Ne soyons pas tristes de t'avoir perdu. Mais soyons reconnaissants de t'avoir eu. Car, c'est ainsi, et la vie continue. |
Déposé par GHETGHET le 16/09/2016Je suis seul Pourquoi suis-je si seul, mon chat, Si seul lorsque tu n'es pas là ? Tu ne fais pourtant aucun bruit. Tu dors, fermé comme la nuit. Tu ne tiens guère plus de place Que mon plus gros livre de classe. Et qui croirait que tu respires Bercé comme un petit navire ? Alors pourquoi, pourquoi, mon chat, Suis-je tout autre quand je vois, Sur mon papier blanc, le soleil Tailler l'ombre de tes oreilles ? ( Maurice Carême ) |
Déposé par GHETGHET le 12/09/2016l'AMIS LE CHATS celui qui te connais par ta voix , par ton pas , celui qui vient en passent te parler de ces chasse et de ces nuit de prince errant , celui qui donne sans demander , celui qui par sans dire adieu , l'amis , le chats ( Luce Guillaud ) |
Déposé par SOCRATE le 12/09/2016SOUVENIR Alphonse de Lamartine En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace ; Dans mon âme rien ne t’efface, Ô dernier songe de l’amour ! Je vois mes rapides années S’accumuler derrière moi, Comme le chêne autour de soi Voit tomber ses feuilles fanées. Mon front est blanchi par le temps ; Mon sang refroidi coule à peine, Semblable à cette onde qu’enchaîne Le souffle glacé des autans. Mais ta jeune et brillante image, Que le regret vient embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir Comme l’âme, elle n’a point d’âge. Non, tu n’as pas quitté mes yeux; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux. Là, tu m’apparais telle encore Que tu fus à ce dernier jour, Quand vers ton céleste séjour Tu t’envolas avec l’aurore. Ta pure et touchante beauté Dans les cieux même t’a suivie ; Tes yeux, où s’éteignait la vie, Rayonnent d’immortalité ! Du zéphyr l’amoureuse haleine Soulève encor tes longs cheveux ; Sur ton sein leurs flots onduleux Retombent en tresses d’ébène, L’ombre de ce voile incertain Adoucit encor ton image, Comme l’aube qui se dégage Des derniers voiles du matin. Du soleil la céleste flamme Avec les jours revient et fuit ; Mais mon amour n’a pas de nuit, Et tu luis toujours sur mon âme. C’est toi que j’entends, que je vois, Dans le désert, dans le nuage; L’onde réfléchit ton image; Le zéphyr m’apporte ta voix. Tandis que la terre sommeille, Si j’entends le vent soupirer, Je crois t’entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille. Si j’admire ces feux épars Qui des nuits parsèment le voile, Je crois te voir dans chaque étoile Qui plaît le plus à mes regards. Et si le souffle du zéphyr M’enivre du parfum des fleurs. Dans ses plus suaves odeurs C’est ton souffle que je respire. C’est ta main qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs. Quand je dors, tu veilles dans l’ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d’une ombre. Pendant mon sommeil, si ta main De mes jours déliait la trame, Céleste moitié de mon âme, J’irais m’éveiller dans ton sein ! Comme deux rayons de l’aurore, Comme deux soupirs confondus, Nos deux âmes ne forment plus Qu’une âme, et je soupire encore ! Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques |
Déposé par mistigri13 le 29/08/2016Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux lèvres et un miaulement dans les oreilles, c'est que je t'aurai rendu une petite visite dans tes songes. ********************* Savais-tu qu'il y a un Paradis des Chats ??? Et oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous. Toutes les caresses, toutes les tendres attentions que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi. La plus importante des choses que tu dois savoir, c'est qu'il y a une ouverture dans les nuages d'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta gentillesse sont gravées dans mon coeur. |
Déposé par GHETGHET le 05/08/2016 MIYA en ton ETRE , en ton AME , tu donne pleins d'AMOURS , ton AMOURS es LUMIERES , ton AME es LUMIERES , ton départ assombrie la vue , la vue de ton physique , ne te vois , un ressenties , un ressenties de ton AMOURS en ton AME qui es infini , une AME es infiniment vivantes , la PAIX es en ton AME pleins d'AMOURS , de ton AME d'AMOURS et de LUMIERES , ton AME es lié aux AME qui t'AIME avec un AMOURS de plénitudes , en expansions , l'univers es infini , en expansions , laissent place aux AMOURS infini , aux LUMIERES , les moments sont a l'infini , rien n'es fini , vos rencontres , que vos AME se rencontres avec AMOURS a l'infini , a chaque instants , tu es l'AMOURS de s'eux qui t'AIME , leur plénitudes , l'ami(e) qui a acquis leur AME , ton AME leur a séduit d'AMOURS , de ta Bonté , de respects , tu es , vous êtes , a l'infini lié d'AMOURS , ils t'AIME a l'infini de tous leur AME PAPA-GHETGHET |
Déposé par Mariechats le 04/08/2016Je pense que nos chats viennent dans nos rêves mais que notre cerveau les efface , 1 sorte de protection automatique pour nous empêcher de devenir addicts à nos rdv nocturnes avec eux, un moyen pour nous forcer à avancer et de ne pas être en attente de... On pense trop à eux le jour, le soir pour pouvoir les oublier la nuit non ? Et puis, on ne rêve peut être pas, on cauchemarde peut être tant notre peine est grande et notre sentiment de culpabilité présent aussi Et au petit matin, rêves ou cauchemars, on ne se souvient de rien...... |
Déposé par GHETGHET le 31/07/2016Je clame Que la vie est indestructible Malgré la mort. Que l’autre est un frère Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir avant d’être un ennemi. Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde. Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses. Qu’il faut parler d’amour et non les mots de la tempête et du désordre. Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour et qu’elle est l’espoir. Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 22/07/2016Je me suis simplement glissé dans une autre dimension... La mort n'est rien. Je suis MOI et tu es TOI. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, nous le sommes toujours! Appelle-moi par mon nom familier, Parle-moi comme tu l'as déjà fait. Que le ton de ta voix ne soit pas différent! Ne prends pas un air solennel ou chagrin. Ris, comme tu as toujours ri. Amuse-toi des petites plaisanteries que nous aimions. Joue, souris, pense à moi et prie pour moi ! Que mon nom continue à être prononcé dans la maison, sans ombre de tristesse. Que la vie soit ce qu'elle a été. Il n'y a qu'une invincible continuité. Pourquoi serais-je hors de vos esprits parce que je suis loin de votre regard? Je vous attends, pour un intervalle, quelque part, très près d'ici. Tout est bien. Cannon Scott Holland |
L'Album photo contient 19 photos