Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de PONPON a été vue  6 627  fois.
6 627 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris


Aucune fleur

aucune bougie


3 personnes aiment cette page
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages

Vous n'êtes pas connecté.

En hommage à
PONPON
EUROPEEN
Il nous a quittés le:27/09/2016

Ponpon, petit chat de passage, s'est installé dans notre jardin il y a 2 mois environ.. sauvage, il s'est difficilement laissé approché mais a finalement trouvé goût à nos croquettes, pâtées et friandises... Le lit a su rapidement remplacé l'herbe du jardin. Déjà propriétaires de 2 chats, Ponpon a su s'intégrer en douceur... Rapidement sa santé s'est détérioré et une visite chez le vétérinaire à confirmé une atteinte rénale incurable. En fait, ce chat sauvage, se sachant malade, est venu cherger refuge et / ou de l'aide chez nous. Nous l'avons accompagné dans ses derniers moments en lui apportant repas, réconforts et câlins. Il a a présent rejoint Théo, notre chien, disparu le 07 mars 2016. Amusez-vous bien les enfants... Tous les lundis, deux bougies brûlent pour vous... On vous aime...




0 bougie

 
5 messages

Déposé par biscuit le 08/10/2016  
Ce n'est qu'un chat....
Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait... C'était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement : "Mon petit chat est mort". Et elle s'était mise à pleurer... Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre en haussant les épaules: "Ce n'est qu'un chat, quand même !..."
Ce n'est qu'un chat !... Mais c'est immense un chat, vous ne savez pas Monsieur ? C'est immense... Vous n'en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l'on peut avoir, lorsqu'il s'en va à tout jamais, autant de chagrin que s'il s'agissait d'un enfant... Aux gens qui n'en ont pas, çà paraît sacrilège... Comment peut-on comparer, n'est-ce pas ?
C'est parce que vous ne savez pas Monsieur.
Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat dans une vie - ces yeux d'or qui vous dédient un regard d'éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation , un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t'aime aussi...
Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas et quelque chose vous manque.
Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier... Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu'il tousse, ou éternue, ou n'a pas faim ; chaque fois qu'il s'est battu et que l'on cherche dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu'il rentre tard et que l'on ne sait pas si, dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne la pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé...
Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c'est vrai, le bonheur d'un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c'est tout le contraire de ce que certains racontent : c'est tendre, c'est bon, c'est fidèle, c'est lucide, c'est intelligent, c'est doux et ça vous dit des choses... Tant de choses !...
Dors, ma petite Moune, dors... Tu sautais moins bien ces jours-ci... J'ai dit à ta maman : "Il saute moins bien... Il vieillit, peut être ?... Il a hésité dix fois avant de bondir sur le rebord de la fenêtre..."
Je ne veux pas y penser. Il sera bien temps... Ce qui doit arriver un jour, c'est vrai pour tout le monde. Mais ça ne nous console pas de le savoir...
Alors j'aurais voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j'aurais voulu lui dire :
"Je vous comprends... Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas et moi si..."
Philippe Ragueneau
Extrait venant de la série du chat Moune

Déposé par biscuit le 07/10/2016  
" Tu es ma lueur d’espoir,
Tu m’as aidé à ne plus voir noir
Tu veilles sur moi le soir
Tu mérite la gloire
Tu es ma grande victoire
Tu es mon miroir.
Dans l’obscurité, seule moi, peux te voir.
Mes yeux brillent quand tu t’avance dans les couloirs.
Mais le bonheur est dérisoire
Un jour je vais devoir, te dire au revoir
Bien qu’il m’est impossible d’y croire
Tu resteras graver dans ma mémoire
Je t'aime ,mon chat

Déposé par biscuit le 06/10/2016  
Parce que...
C'étaient des moments heureux.
Ces moments ont existé.
Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été,
Même la mort.
La mort ne balaie rien.
Le chagrin peut tout brouiller
Un temps.
Comme à chaque fois qu'on est séparé de ceux qu'on aime
On se dit que plus jamais.
Eh bien plus jamais, d'accord.
N'empêche que ce qui a été est
A l'intérieur.
Pour toujours.

Déposé par biscuit le 05/10/2016  
Toi ma meilleure amie;
Toi mon bébé chérie,
Toi qui mainteant n’est plus en vie
Pourquoi cela est-il arrive, a toi?
Tu etais tout pour moi;
Mon present, mon avenir, ma vie!
Les souvenirs de nos bon moments,
Sont en moi a chaque instant;
sans toi c’est si dur
je t’aime je t’aimais et je t’aimerai
tu m as aidé en me consolant,
Me comprenant,en m'aimant,
tout simplement
Je revois tes beaux yeux ,ton regard,
ton expression.....
les larmes me viennent.....
Je hais ce silence ,
Je hais cette absence,
Tu me manques...

Déposé par elise2512 le 04/10/2016  
CHAT, TU ES MON AMI
Chat, tu es mon ami, mon confident muet,
Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé.
Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille,
Le désir envoûtant d’une étoile qui brille.
Cet œil est une Agathe version multicolore,
Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore,
Tout ton corps se prépare, offert à la caresse,
Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse.
A peine que ma main ne vienne t’effleurer,
Que tu danses déjà, ne sachant où passer.
Tout ton être me frôle, électrique, impatient,
Recherchant le plaisir traduit en ronronnant.
Il suffit que je te touche et le miracle opère
Tu deviens un enfant, dans les bras du père.
Je te prends contre moi, monte sur mon épaule,
Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole.
Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces,
Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse.
J’arrêterais le temps, sublime instant de paix,
Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité.
(Gilbert Dumas)



Retourner en haut