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In tribute to
EUROPEENCATHY
Born on :01/05/2004
left us on:04/02/2016
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22 Flowers
20 messages
left by annie on 04/02/2021💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕 |
left by annie on 04/02/2019💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛 |
left by plateaurocroi on 05/09/2017LA MORT N'EST RIEN L'amour ne disparaît jamais. La mort n’est rien. Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté. Je suis moi, tu es toi : Ce que nous étions l’un pour l’autre, Nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi, prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison Comme il l’a toujours été, Sans emphase d’aucune sorte, Sans trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié. Elle est ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée Parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends, je ne suis pas loin, Juste de l’autre coté du chemin. Tu vois tout est bien. Henry Scott HOLLAND |
left by plateaurocroi on 05/09/2017LA MORT N'EST RIEN La mort n'est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné, parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. Charles PEGUY |
left by plateaurocroi on 04/02/2017« La mort n'est rien : je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné. Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait, n'employez pas un ton différent. Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. » |
left by mistigri13 on 04/02/2017Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi. Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer. |
left by plateaurocroi on 28/09/2016LE CHAT ET LE SOLEIL Le chat ouvrit les yeux le soleil y entra le chat ferma les yeux le soleil y resta voila pourquoi le soir quand le chat se réveille j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil MAURICE CARÊME |
left by plateaurocroi on 28/08/2016Le chat est d'une honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non. Francis Blanche |
left by plateaurocroi on 28/08/2016On les a fait venir! Je suis le chat de cimetière, De terrain vague et de gouttière, De haute-Egypte et du ruisseau Je suis venu de saut en saut. Je suis le chat qui se prélasse A l'instant où le soleil passe, Dans vos jardins et dans vos cours Sans avoir patte de velours. Je suis le chat de l'infortune, Le trublion du clair de lune Qui vous réveille dans la nuit Au beau milieu de vos ennuis. Je suis le chat des maléfices Condamné par le Saint-Office; J'évoque la superstition Qui cause vos malédictions. Je suis le chat qui déambule Dans vos couloirs de vestibules, Et qui fait ses petits besoins Sous la porte cochère du coin. Je suis le félin bas de gamme, La bonne action des vieilles dames Qui me prodiguent le ron-ron Sans souci du qu'en dira-t-on. Epargnez-moi par vos prières Le châtiment de la fourrière Où finissent vos émigrés Sans demeure et sans pedigree. Henri Monnier |
left by GHETGHET on 05/08/2016 CATHY en ton ETRE , en ton AME , tu donne pleins d'AMOURS , ton AMOURS es LUMIERES , ton AME es LUMIERES , ton départ assombrie la vue , la vue de ton physique , ne te vois , un ressenties , un ressenties de ton AMOURS en ton AME qui es infini , une AME es infiniment vivantes , la PAIX es en ton AME pleins d'AMOURS , de ton AME d'AMOURS et de LUMIERES , ton AME es lié aux AME qui t'AIME avec un AMOURS de plénitudes , en expansions , l'univers es infini , en expansions , laissent place aux AMOURS infini , aux LUMIERES , les moments sont a l'infini , rien n'es fini , vos rencontres , que vos AME se rencontres avec AMOURS a l'infini , a chaque instants , tu es l'AMOURS de s'eux qui t'AIME , leur plénitudes , l'ami(e) qui a acquis leur AME , ton AME leur a séduit d'AMOURS , de ta Bonté , de respects , tu es , vous êtes , a l'infini lié d'AMOURS , ils t'AIME a l'infini de tous leur AME PAPA-GHETGHET |
left by GHETGHET on 31/07/2016Je clame Que la vie est indestructible Malgré la mort. Que l’autre est un frère Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir avant d’être un ennemi. Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde. Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses. Qu’il faut parler d’amour et non les mots de la tempête et du désordre. Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour et qu’elle est l’espoir. Martin Gray |
left by GHETGHET on 22/07/2016Je me suis simplement glissé dans une autre dimension... La mort n'est rien. Je suis MOI et tu es TOI. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, nous le sommes toujours! Appelle-moi par mon nom familier, Parle-moi comme tu l'as déjà fait. Que le ton de ta voix ne soit pas différent! Ne prends pas un air solennel ou chagrin. Ris, comme tu as toujours ri. Amuse-toi des petites plaisanteries que nous aimions. Joue, souris, pense à moi et prie pour moi ! Que mon nom continue à être prononcé dans la maison, sans ombre de tristesse. Que la vie soit ce qu'elle a été. Il n'y a qu'une invincible continuité. Pourquoi serais-je hors de vos esprits parce que je suis loin de votre regard? Je vous attends, pour un intervalle, quelque part, très près d'ici. Tout est bien. Cannon Scott Holland |
left by biscuit on 10/02/2016Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amours |
left by biscuit on 09/02/2016Parce que... C'étaient des moments heureux. Ces moments ont existé. Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été, Même la mort. La mort ne balaie rien. Le chagrin peut tout brouiller Un temps. Comme à chaque fois qu'on est séparé de ceux qu'on aime On se dit que plus jamais. Eh bien plus jamais, d'accord. N'empêche que ce qui a été est A l'intérieur. Pour toujours. |
left by biscuit on 08/02/2016PARCE QUE… Pour tous les bêtes qui cherche un Maître…Et un ami. Parce que l’oiseau blessée A qui j’ai donné asile dans mes mains Et revenu souvent, chanter sous ma fenêtre, Et que le chien perdu, affamer de tendresse Et venu contre moi, confier sa tendresse, L’échant la main surprise, qui donna la caresse. Parce que le petit chat, jeté tel un jouet, Qui n’intéresser plus, les enfants trop gâtés Ma criée son immense peine, De découvrir les hommes laids. Je sens monter en moi, Cet élan de tendresse envers les animaux, Qui souffrent et qui sans cessent, Quémandeur du regret de tristesse. L’attention d’un ami, rencontré au hasard D’un coin gris de leurs vies… Pour vous qui lisez, il n’est pas trop tard, Pour aimer, adopter, soigner et rendre libre Un animal perdu, croisant votre chemin… Il attend de vous, tendez-lui la main, Vous lui dites « amitié », il vous répond « sans cesse » ! Un amour donner ? Voilà mille tendresses. Donnez, Vous recevrez un trésor de caresse |
left by biscuit on 07/02/2016Si doux, si tout, Et tes grands yeux Si fou, si chou, Félin précieux Mon p’tit filou Au poil soyeux Mon beau matou Mon malicieux Fragile matou Mon doux complice Contre ma joue Ton pelage lisse Et tes miaous De réconfort Ton regard doux Me manque encore… |
left by biscuit on 06/02/2016Si tu manques à quelqu'un, c'est à moi Moi qui a tant d'amour pour toi Dans le jardin de mon cœur Il n'y a que douceur Tu peux venir à la nuit tombée, me retrouver Lorsque dans mon sommeil je suis entrain de rêver Moi je t'y attends éperdument Pour te dire que je t'aime énormément Dans le jardin de mon cœur Il n'y a qu'une fleur Je l'arrose de mes larmes, pour ne pas qu'elle fane Elle porte ton nom, elle est ton âme Elle est toute ma vie Si elle meurs, je meurs aussi Malgré le bonheur que j'ai autour de moi Je me sens triste bien trop de fois Ma peine est là à chaque instant Mon cœur a mal, et c'est normal Malgré mon chagrin Je sais que je ne changerai rien Mon ange écoute mes prières Elle parle de toi, sur cette terre Mes prières sont des mots d'amour Que je t'adresse avec tendresse jours après jours JE T'AIME... |
left by biscuit on 05/02/2016en mémoire de d'un ange de passage dans notre vie Pour toutes ces années de bonheur passé a ton coté,pour toute cette tendre complicité qu'au fil du temps nous avons partagé,pour cet amour qui perdure part delà la mort et qui un jour nous réunira dans l’éternité,pour tous ces rires,ces joies ces émotions,ce bonheur au quotidien,Pour cette fidélité,qu,un seul de ton regard pouvait exprimer,pour avoir effacé le commun de notre vie,pour cet amour infini que nous avons puisé dans ton regard,,un petit être de passage dans notre vie qui nous a apprit la douceur de vivre a son coté,tu n'es pas loin; juste de l'autre coté du chemin,ce n' est qu un au revoir,on se reverra dans une autre vie ; dans l'attente,tu resteras dans nos mémoires et dans nos cœur a jamais Tu me manqueras TOUJOURS |
left by elise2512 on 04/02/2016 LE PETIT CHAT C’est un petit chat noir, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table, souvent. Quelquefois il s’assied sans faire de tapage; On dirait un joli presse-papier vivant. Rien de lui, pas un poil de sa toison ne bouge. Longtemps, il reste là, noir sur un feuillet blanc, A ces matous, tirant leur langue de drap rouge, Qu’on fait pour essuyer les plumes, ressemblant. Quand il s’amuse, il est extrêmement comique, Pataud et gracieux, tel un ourson drôlet. Souvent je m’accroupis pour suivre sa mimique Quand on met devant lui la soucoupe de lait. Tout d’abord de son nez délicat il le flaire, Le frôle; puis, à coups de langue très petits, Il le lampe; et dès lors il est à son affaire; Et l’on entend, pendant qu’il boit, un clapotis. Il boit, bougeant la queue et sans faire une pause, Et ne relève enfin son joli museau plat Que lorsqu’il a passé sa langue rêche et rose Partout, bien proprement débarbouillé le plat. Alors, il se pourlèche un moment les moustaches, Avec l’air étonné d’avoir déjà fini; Et, comme il s’aperçoit qu’il s’est fait quelques taches, Il relustre avec soin son pelage terni. Ses yeux jaunes et bleus sont comme deux agates; Il les ferme à-demi, parfois, en reniflant, Se renverse, ayant pris son museau dans ses pattes, Avec des airs de tigre étendu sur le flanc. Mais le voilà qui sort de cette nonchalance, Et, faisant le gros dos, il a l’air d’un manchon; Alors pour l’intriguer un peu, je lui balance, Au bout d’une ficelle invisible un bouchon. Il fuit en galopant et la mine effrayée, Puis revient au bouchon, le regarde, et d’abord Tient suspendue en l’air sa patte repliée, Puis l’abat, et saisit le bouchon et le mord. Je tire la ficelle, alors, sans qu’il le voie; Et le bouchon s’éloigne, et le chat noir le suit, Faisant des ronds avec sa patte qu’il envoie, Puis saute de côté, puis revient, puis refuit. Mais dès que je lui dis: "Il faut que je travaille; Venez vous asseoir là, sans faire le méchant!" Il s’assied ... Et j’entends, pendant que j’écrivaille, Le petit bruit mouillé qu’il fait en se léchant. (Edmond Rostand) |
left by plateaurocroi on 04/02/2016LE CHAT NOIR Un fantôme est encor comme un lieu où ton regard se heurte contre un son; mais contre ce pelage noir ton regard le plus fort est dissout: ainsi un fou furieux, au paroxysme de sa rage, trépigne dans le noir et soudain dans le capitonnage sourd de sa cellule, cesse et s’apaise. Tous les regards qui jamais l’atteignirent, il semble en lui les receler pour en frémir, menaçant, mortifié, et avec eux dormir. Mais soudain, dressé vif, éveillé, il tourne son visage — dans le tien: et tu retrouves à l’improviste ton regard dans les boules d’ambre de ses yeux: enclos comme insecte fossilisé. Rainer Maria RILKE (Nouveaux poèmes) SCHWARZE KATZE Ein Gespenst ist noch wie eine Stelle, dran dein Blick mit einem Klange stößt; aber da, an diesem schwarzen Felle wird dein stärkstes Schauen aufgelöst: wie ein Tobender, wenn er in vollster Raserei ins Schwarze stampft, jählings am benehmenden Gepolster einer Zelle aufhört und verdampft. Alle Blicke, die sie jemals trafen, scheint sie also an sich zu verhehlen, um darüber drohend und verdrossen zuzuschauern und damit zu schlafen. Doch auf einmal kehrt sie, wie geweckt, ihr Gesicht und mitten in das deine: und da triffst du deinen Blick im geelen Amber ihrer runden Augensteine unerwartet wieder: eingeschlossen wie ein ausgestorbenes Insekt. Rainer Maria RILKE, Sommer 1908 (vor dem 2.8.), Paris - Traduction via www.pierdelune.com |
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