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En hommage à
EUROPEENYing
Il est né le:01/05/2008
Il nous a quittés le:12/01/2016
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En hommage à
Ying
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4875 Fleurs
52 messages
Déposé par GHETGHET le 26/06/2016Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu es la saveur et le sens De ce qui jamais ne finit Dans les moments de soif intense Tu m'as abreuvé d'infini Mon bonheur d'être, ma source vive Le beau poème de mes jours Je te rejoins sur l'autre rive Là où patiente ton amour Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu donnes sens à mon existence Je ne peux oublier ce jour Où frôlée d'un amour immense Je t'ai senti là tout autour Comme le doux murmure du vent Fredonne une chanson de ciel Rien ne sera plus comme avant Je ne vis plus que d'essentiel Mon bonheur d'être, ma source vive Le baume à mes peines d'avant Tu ensoleilles ce qui m'arrive Autour de moi et au-dedans Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Longtemps c'est vrai je t'ai cherché Sans voir que tu étais toujours Tout près de moi à peine caché Dans les recoins de mon amour. Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout. Fabienne Marsaudon |
Déposé par GHETGHET le 24/06/2016Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même Que vais-je faire maintenant de nos projets de nos je t'aimes Et tu me vois,perdu,errant là,au milieu des chrysanthèmes Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même. Il y aura toujours une lampe qui brilles Il y aura toujours une lampe allumée Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existence Que vais-je faire maintenant de ces journées sans importance Je n'ai plus rien que seulement une présence dans l'absence Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existences Tu es parti en me laissant bien plus qu'une immense blessure Que vais-je faire maintenant de toutes mes journées si dures Mais tu me pousses je le sens à inventer ma vie future Pour aller encore de l'avants je ferai de mon mieux,je te l'assures de Jean-Claude GIANADDA |
Déposé par GHETGHET le 12/06/2016Tant de belles choses Même s’il me faut lâcher ta main Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Sans pouvoir te dire « à demain » Rien ne défera jamais nos liens Même s’il me faut aller plus loin Couper des ponts, changer de train L’amour est plus fort que le chagrin L’amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or Tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas Tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d’une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu’il t’arrive Je serai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L’état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l’espace qui lie ciel et terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l’aurore Il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes La source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache les plus beau des mystères Françoise Hardy |
Déposé par GHETGHET le 10/06/2016L’envol des anges L’ombre est bleu et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère. Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une Ascension dont l’essor tremble au clair de lune. N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. Fernand Gregh |
Déposé par GHETGHET le 08/06/2016OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui |
Déposé par GHETGHET le 05/06/2016 A UN CHAT Non moins furtif que l'aube aventurière, Non moins silencieux que le miroir, Tu passes et je pense apercevoir Sous la lune équivoque une panthère. Par quelque obscur et souverain décret Nous te cherchons. Nous voulons, fauve étrange Plus lointain qu'un couchant ou que le Gange, Forcer ta solitude et ton secret. Ton dos veut bien prolonger ma caresse; Il est écrit dans ton éternité Que s'accordent à ta frileuse paresse Ma main et son amour inquiété, Ton temps échappe à la mesure humaine. Clos comme un rêve est ton domaine. JOSE LUIS BORGES |
Déposé par GHETGHET le 31/05/2016 a nos êtres cher qu'on surnomme animal ! vous que on appel animaux ou animal vous êtes par-dessus tous des êtres d'amours qui rayonne en vous une merveilleuse lumière unique a chaque 'un d'entre vous ! vous qu'on surnomme animal qui a pas de paroles comme celle de l'êtres humains qui es autre que nous vous savez parlez mieux que nous mais seulement à ceux qui savent écouter ! vous qu'on surnomme animal qui a une vie bien plus courte malheureusement que la notre vous nous rendez nos vies bien complètes avec beaucoup d'amours et de bontés ! vous qu'on surnomme animal vous remplissez nos vie avec plein d'amours pure et gratitudes le vide que nous ne savions même pas que nous avions ! vous qu'on surnomme animal vous avez une fidélités pure et sincères avec gratitudes vous nous abandonnez que pour mourir, mais vous nous laissez beaucoup d'amours avec vos merveilleux souvenirs en éclaircissent le reste de nos chemins ! vous qu'on surnomme animal vous mériter bien plus de respects car la créations de la vie et de la nature vous a créer pas pour la décorations de notre belle terre nature ! vous qu'on surnomme animal nous vous devons beaucoup de respects en vivent en harmonies avec vous et notre belle natures ! vous qu'on surnomme animal nous vous demandons pardon pour toutes la place et le désordres que nous faisons dan notre belle terre natures qui es autan la votre ! vous qu'on surnomme animal nous vous demandons de nous apprendre comment vivre en harmonies avec notre belle natures ! vous qu'on surnomme animal sans vous nous sommes désorienter et inexistant sur notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal sans vous il n'aurais pas de vie sur notre belle terre natures vous estes tous autant que nous des êtres avec une âme ! vous qu'on surnomme animal vous êtes pas différant de nous dan vos âmes vous êtes des êtres de notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal vous êtes des êtres qui se surpasse des pensées humaines vous êtes des êtres source et soutien de tous êtres ! vous qu'on surnomme animal nous vous adorons avec respects car vous êtes des êtres de vie avec beaucoup d'amours ! vous qu'on surnomme animal nous vous disons merci pour toutes l'amoure que vous rependez sur notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal je vous es écris avec amours de la part de mon GHETGHET que j'AIME qui es un animal d'êtres d'amours tous comme vous es qui es parti rejoindre les êtres d'amours ,les archanges ,les anges , les êtres de lumières le 25 MARS 2016 |
Déposé par SOCRATE le 17/05/2016Après la pluie, le beau temps...C'est la Comtesse de Ségur qui nous l'a écrit. Mais la vie n'est pas un conte et les éclaircies semblent de trop courte durée. La vie est un éternel recommencement, se succèdent joies et peines, l'espoir peut renaître et se briser en mille morceaux car il est fragile et il faut sans cesse le reconstruire. Comme vous, je sombre souvent mais l'espoir est comme l'amour, il renaît. C'est juste moi qui vous le dis et je ne suis pas un écrivain célèbre alors je me permets de faire appel à Christophe André. "Il faut accepter une fois pour toutes l'idée que nous sommes des intermittents du bonheur, de la joie, de l'amour, et que c'est absolument normal. C'est pourquoi il faut s'attacher à les faire renaître régulièrement dans nos vies." |
Déposé par Mariechats le 12/05/2016Aujourd'hui, beau Ying, cela fait 4 mois que la maladie t'a emporté, mais je pense que tu es au paradis des minous et que tu attends bien patiemment de revoir ta maman un jour. La séparation est douloureuse, la maladie semble injuste, la décision d'écourter la vie d'un minou que l'on aime pour le soulager fait mal. Mais tout l'amour vécu, donné, reçu ne disparaît pas car il y a un après. Attends beau Ying,attends, patience, le fil de l'amour n'est pas coupé, il est invisible mais un jour, il conduira celle qui t'aime et à qui tu manques énormément vers toi. Attends.... |
Déposé par lepapou le 03/05/2016“ Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des vivants. ” (Jean d'Ormesson) Douces caresses à Ying. |
Déposé par superfetatoire le 02/05/2016Mon grand loup, mon choumi, mon chamour, mon loulou chéri, Ton petit cœur était si usé que tu t’en es allé bien vite allé. Pendant les quelques heures où tu es revenu à la maison, Tu t’éteignais doucement, la vie quittait ton petit corps meurtri. Pendant ces quelques heures, tu as retrouvé ta maison, ton confort, Ces odeurs familières qui te disaient que tu étais chez toi. Tu étais si malade, si fatigué que tu n’as pas ronronné. Je suis restée à tes côtés une partie de la nuit, Pour profiter de ta présence et te caresser encore. Je ne voulais pas te laisser seul face à la mort qui rôdait, J’avais peur que tu meurs, seul, pendant cette nuit. Peur de n’être pas près de toi si tu avais dû nous quitter cette nuit-là. J’ai espéré que ton petit cœur cesse de battre dans ton sommeil, J’espérais ne pas devoir t’emmener chez docteure des chats, J’espérais ne pas avoir à t’y accompagner pour ça. J’espérais tant de choses à la fois, Que cesse enfin ta souffrance et ta lente agonie, Que cesse notre souffrance de vivre ces heures sans espoir, Qu’un miracle arrive, aussi, et que tu sois guéri. Mon mitou chéri, j’espère que tu n’as pas compris Pourquoi ce jour-là tu allais chez docteure des chats. J’espère que tu nous as pardonnées d’avoir fait ça, J’espère que tu sais que nous n’avions pas d’autre choix. Je suis anéantie par le chagrin de t’avoir perdu, Toi mon si beau, si doux, si tendre matou. Jamais plus tu ne ronronneras, Jamais plus tu ne mangeras ces bonnes choses que tu aimais, Jamais plus tu ne sauteras sur mes genoux, Jamais plus tu ne glisseras ta douce patte dans ma main, Jamais plus tu ne boiras dans la baignoire, Jamais plus tu ne profiteras de ton jardin, Jamais plus tu ne seras heureux, toi qui l’étais tant. Je pleure de t’avoir perdu, Je pleure car tu aurais dû être heureux encore et encore. Mon pauvre matou, tu étais bien trop jeune pour quitter ce monde. Mon mitou, j’ai mal de penser à tout ce que tu ne vivras pas. Pyélonéphrite, tel est le nom du mal qui t’a emporté, Mais jamais nous ne saurons comment c’est arrivé. Mon chouchoumi, mon beau et grand matou adoré, Il ne reste plus de toi que des cendres dans une urne. Même si ton bonheur a été de courte durée, J’espère que d’où tu es, tu peux dire « j’en ai bien profité ». Je t'aime, mon mitou. |
Déposé par KEKER le 01/05/2016Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entouré de l'amour de ceux qui m'ont précédé, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment Je me repose sans douleur, sans contrainte. Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristée par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t'envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas. |
Déposé par SOCRATE le 13/04/2016Fleur aux pétales d'or Répands ta magie Inverse le temps Rends moi ce qu'il m'a pris Guéris les blessures Éloigne la pluie Ce destin impur Rends-moi ce qu'il m'a pris Ce qu'il m'a pris L'Incantation De La Guérison par Raiponce / Walt Disney |
Déposé par superfetatoire le 12/04/2016Voilà 3 mois que tu t’en es allé, c’était il y a longtemps, c’était hier, c’était à l’instant qui vient de passer. Le printemps est là, le soleil revient, les fleurs s’ouvrent dans le jardin, les mésanges chantent, posées sur les branches du grand rosier. Les arbres et les feuillages s’étoffent, dispensant, de ci de là, un peu d’ombre. Ce printemps, comme ceux qui suivront, tu n’en profiteras pas. Tu n’observeras plus les oiseaux, tu ne respireras plus le doux parfum des fleurs, tu ne te cacheras plus dans les herbes pour surgir et me surprendre au détour de l’allée. Tu ne mangeras plus dehors comme tu aimais le faire quand il faisait beau, ta gamelle posée dans l’herbe, comme pour un pique-nique. Tu ne lècheras plus l’herbe humide par la rosée du matin. Tu ne viendras plus dans le jardin cueillir avec moi le muguet, fleur du 1er mai, jour de ta naissance. Tu avais encore tant d’années de bonheur devant toi, tant de choses à vivre. J’imaginais quel bonheur ce serait d’être enfin à la retraite pour passer tout mon temps avec toi. Tout ce bonheur à venir, et à jamais envolé. Ton adoption était emplie de promesses, pour toi comme pour moi, la vie ne les a pas tenues. Tu ne feras plus rien de ce que tu aimais tant, de ces petits bonheurs qui te rendaient heureux. Le soleil n’entrera jamais plus dans tes grands yeux dorés, sa chaleur ne réchauffera jamais plus ton si beau et si doux pelage. La maladie a gagné la partie, elle a été la plus forte, je n’ai pu qu’avancer un peu l’heure de ton départ pour t’éviter de souffrir. Ton petit corps n’en pouvait plus, ton petit cœur s’affaiblissait et n’aurait pas tenu longtemps encore. Il m’a fallu être forte, prendre la bonne décision pour toi, par amour pour toi. Le bonheur se conjugue au passé, le chagrin se conjugue au présent, mais le souvenir du merveilleux chat que tu étais est pour toujours gravé dans mon cœur. Ta maman qui ne cessera jamais de t’aimer. |
Déposé par elise2512 le 13/03/2016Le Chat Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s'enivre du plaisir De palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard, Comme le tien, aimable bête Profond et froid, coupe et fend comme un dard, Et des pieds jusques à la tête, Un air subtil, un dangereux parfum, Nagent autour de son corps brun. (Baudelaire, Les Fleurs du mal) |
Déposé par SOCRATE le 11/03/2016Le présent est une prison sans barreaux, un filet invisible, sans odeur et sans masse, qui nous enveloppe de partout. Il n'a ni apparence ni existence, et nous n'en sortons jamais. Aucun corps, jamais, n'a vécu ailleurs que dans le présent, aucun esprit, jamais,n'a rien pensé qu'au présent. C'est dans le présent que nous nous souvenons du passé, c'est dans le présent que nous nous projetons dans l'avenir. Le présent change tout le temps et il ne cesse jamais d'être là. Et nous en sommes prisonniers. C’est une chose étrange à la fin que le monde Jean d' Ormesson |
Déposé par superfetatoire le 18/02/2016Mon chouchoumi, Il y a 4 ans aujourd'hui, nous venions de vous adopter, ta soeur et toi. Quel jour merveilleux que ce jour-là. Vous avez pris immédiatement vos marques, surtout toi, et vous m'avez tant aidée à surmonter le chagrin causé par la mort de ma Nénette, une semaine plus tôt. Aujourd'hui devrait être un jour de fête, mais ne le sera pas car tu n'es plus là. Cela restera juste un souvenir, celui du jour où tu es entré dans ma vie, dans mon coeur. Comme il est douloureux de parler de toi au passé, mon mitou. Comme il est douloureux de ne pouvoir que se souvenir de toi, de ta joie de vivre car tu étais heureux et tu nous le montrais à chaque instant. La maladie t'a emporté si vite, sans prévenir, alors que tu avais encore tant et tant de belles années à vivre. Tu étais un bonheur de chaque instant, jamais nous n'avons regretté de t'avoir adopté, toi pour qui j'avais eu le coup de foudre. Si c'était à refaire, même en sachant quand et comment se finirait l'histoire, je n'hésiterais pas un instant, je le referais. Mon coeur est en miettes, la blessure est profonde, mais ce bout de chemin que nous avons parcouru ensemble a été un enchantement. Que je sois dans le chagrin maintenant n'a pas d'importance, l'important est que tu as été un chat heureux. Nous ne ferons jamais plus de câlins, mais je garderai toujours le souvenir des temps heureux, tous ces moments merveilleux à tes côtés. Le temps, je le sais, apaisera mon chagrin, mais ne t'effacera jamais de mes pensées et de mon coeur. Ta maman qui t'aime plus que tout. |
Déposé par biscuit le 30/01/2016Tant d'amitiés donnés Tant d'amitiés trahies Tant d'amours espérés Tant d'amours enfuis Tant de familles aimées Tant de familles ennemies Et ce petit être aux grands yeux noirs Qui vous a tant chéri Vous redonnant l'espoir Vous donnant toute sa vie Tant d'amitiés donnée Tant d'amitié si belle Tant d'amour espéré Tant d'amour fidèle Tant de coeurs aimés Tant de coeurs étincellent Sur ce site étoilé où marchent nos compagnons Sur ce site constellé où brille la compassion Fréres humains souffrant Fréres humains pleurant Nos chats nous aimaient tant Et nous réconcilient |
Déposé par biscuit le 25/01/2016PARCE QUE… Pour tous les bêtes qui cherche un Maître…Et un ami. Parce que l’oiseau blessée A qui j’ai donné asile dans mes mains Et revenu souvent, chanter sous ma fenêtre, Et que le chien perdu, affamer de tendresse Et venu contre moi, confier sa tendresse, L’échant la main surprise, qui donna la caresse. Parce que le petit chat, jeté tel un jouet, Qui n’intéresser plus, les enfants trop gâtés Ma criée son immense peine, De découvrir les hommes laids. Je sens monter en moi, Cet élan de tendresse envers les animaux, Qui souffrent et qui sans cessent, Quémandeur du regret de tristesse. L’attention d’un ami, rencontré au hasard D’un coin gris de leurs vies… Pour vous qui lisez, il n’est pas trop tard, Pour aimer, adopter, soigner et rendre libre Un animal perdu, croisant votre chemin… Il attend de vous, tendez-lui la main, Vous lui dites « amitié », il vous répond « sans cesse » ! Un amour donner ? Voilà mille tendresses. Donnez, Vous recevrez un trésor de caresse |
Déposé par elise2512 le 24/01/2016"Il suffit de croiser regard avec celui d'un chat pour mesurer la profondeur des énigmes que chaque paillette de ses yeux pose aux braves humains que nous sommes." (Jacques Laurent) |
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