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En hommage à
EUROPEENMIYA
Il est né le:--/06/2010
Il nous a quittés le:24/11/2015
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En hommage à
MIYA
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3294 Fleurs
109 messages
Déposé par GHETGHET le 15/07/2016Toi que j’avais besoin D’embrasser, De toucher, de regarder, Toi qui t’en es allé, Dont le souvenir Est si vivant en moi, Toi qui as disparu De ma vie quotidienne, De mes allées et venues, Je sais que tu es là, Je sais que ton absence Provoque ma présence, Non pas à de vains souvenirs, Mais à une autre façon D’être présent à toi, D’être aimé de toi, Non pas comme une fleur fanée, Mais comme une fleur Dont, un jour, le parfum Te retrouvera. Père André-Marie |
Déposé par GHETGHET le 01/07/2016Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi. Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant, Tes souvenirs me réchauffent de toi Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur C'est que, jardin fleuri, il embaume encore de ta présence silencieuse. Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus, c'est preuve que je t'aime et que rien ne pourra t'arracher de ma vie Père André Marie |
Déposé par Galiama le 30/06/2016Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut... Les âmes sœurs finissent par se trouver quand elles savent attendre... Théophile GAUTIER |
Déposé par GHETGHET le 26/06/2016Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu es la saveur et le sens De ce qui jamais ne finit Dans les moments de soif intense Tu m'as abreuvé d'infini Mon bonheur d'être, ma source vive Le beau poème de mes jours Je te rejoins sur l'autre rive Là où patiente ton amour Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu donnes sens à mon existence Je ne peux oublier ce jour Où frôlée d'un amour immense Je t'ai senti là tout autour Comme le doux murmure du vent Fredonne une chanson de ciel Rien ne sera plus comme avant Je ne vis plus que d'essentiel Mon bonheur d'être, ma source vive Le baume à mes peines d'avant Tu ensoleilles ce qui m'arrive Autour de moi et au-dedans Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Longtemps c'est vrai je t'ai cherché Sans voir que tu étais toujours Tout près de moi à peine caché Dans les recoins de mon amour. Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout. Fabienne Marsaudon |
Déposé par GHETGHET le 24/06/2016par GHETGHET le 24/06/2016 Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même Que vais-je faire maintenant de nos projets de nos je t'aimes Et tu me vois,perdu,errant là,au milieu des chrysanthèmes Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même. Il y aura toujours une lampe qui brilles Il y aura toujours une lampe allumée Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existence Que vais-je faire maintenant de ces journées sans importance Je n'ai plus rien que seulement une présence dans l'absence Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existences Tu es parti en me laissant bien plus qu'une immense blessure Que vais-je faire maintenant de toutes mes journées si dures Mais tu me pousses je le sens à inventer ma vie future Pour aller encore de l'avants je ferai de mon mieux,je te l'assures de Jean-Claude GIANADDA |
Déposé par SOCRATE le 20/06/2016" Nous connaissons la vérité, non seulement par la raison, mais encore par le cœur ; c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye des les combattre. Les pyrrhoniens, qui n'ont que cela pour objet, y travaillent inutilement. Nous savons que nous ne rêvons point ; quelque impuissance où nous soyons de le prouver par raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison, mais non pas l'incertitude de toutes nos connaissances, comme ils le prétendent. Car la connaissance des premiers principes, comme qu'il y a espace, temps, mouvements, nombres, est aussi ferme qu'aucune de celles que nos raisonnements nous donnent. Et c'est sur ces connaissances du cœur et de l'instinct qu'il faut que la raison s'appuie, et qu'elle y fonde tout son discours. (Le cœur sent qu'il y a trois dimensions dans l'espace, et que les nombres sont infinis ; et la raison démontre ensuite qu'il n'y a point deux nombres carrés dont l'un soit double de l'autre. Les principes se sentent, les propositions se concluent ; et le tout avec certitude, quoique par différentes voies.) Et il est aussi inutile et aussi ridicule que la raison demande au cœur des preuves de ses premiers principes, pour vouloir y consentir, qu'il serait ridicule que le cœur demandât à la raison un sentiment de toutes les propositions qu'elle démontre, pour vouloir les recevoir. " Pascal, Pensées |
Déposé par GHETGHET le 18/06/2016les CHATS les chats on une lumière en eux qui nous illumines , on cette lumière qui font leur beauté , une fidélité félinement adorable , des pouvoirs qui nous rend serin , apaisent , etc....... quand nous rentrons après une dur journée nous font oublier cette dur journée , dan les journées nous avons des transmissions de pensées de nos chats ,pas vous ? moi oui , ces l'un de leur pouvoir d'amours, sont il dan se monde pour propager leur lumières et l'amours ? leur lumières pour guider ceux qui on l'amours en eux ? oui , ces des caractéristiques qui on nos êtres d'amours , quand il parte il nous laisse se chagrin unique , cette unicité fait parti de la statures de leur êtres , avec tous ces caractéristiques il es en aucun doute quand même parti nos chats sont auprès de nous a l'infini , car il on des pouvoirs , sont fidèles avec beaucoup d'amours , leur amours ces leur lumières , l'amours ces la vies , la lumières ces la vies , la lumières ces la guidances , la mort ces la vies , cette existence es infini , le seul moyen de garder nos lien avec nos êtres d'amours parti ces l'amours et la lumières qui nous on laissez , la lumière pour l'amours , l'amours pour la vies , la vies pour la vies , l'infini pour les êtres d'amours . GHETGHET |
Déposé par SOCRATE le 15/06/2016DEMAIN IL FERA JOUR Chanson d'Edith Piaf Dans ton cœur brisé pour toujours Il reste encore de l’amour Tu crois ta douleur si profonde Que ta vie va s’arrêter là La plus belle fille du monde Peut toujours donner plus qu’elle a Demain il fera jour C’est quand tout est perdu que tout commence. |
Déposé par SOCRATE le 14/06/2016Extrait de Les yeux et la mémoire (1954), chant II: Que la vie en vaut la peine Louis Aragon C'est une chose étrange à la fin que le monde Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit Ces moments de bonheur ces midis d'incendie La nuit immense et noire aux déchirures blondes Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit D'autres viennent Ils ont le cœur que j'ai moi-même Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime Et rêver dans le soir où s'éteignent les voix Il y aura toujours un couple frémissant Pour qui ce matin-là sera l'aube première Il y aura toujours l'eau le vent la lumière Rien ne passe après tout si ce n'est le passant C'est une chose au fond que je ne puis comprendre Cette peur de mourir que les gens ont chez eux Comme si ce n'était pas assez merveilleux Que le ciel un moment nous ait paru si tendre... Malgré tout je vous dis que cette vie fut telle Qu'à qui voudra m'entendre à qui je parle ici N'ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci Je dirai malgré tout que cette vie fut belle |
Déposé par SOCRATE le 13/06/2016VOUS NE SAUREZ JAMAIS MARGUERITE YOURCENAR. (1903-1987) Vous ne saurez jamais que votre âme voyage Comme au fond de mon cœur un doux cœur adopté ; Et que rien, ni le temps, d’autres amours, ni l’âge, N’empêcheront jamais que vous ayez été. Que la beauté du monde a pris votre visage, Vit de votre douceur, luit de votre clarté, Et que ce lac pensif au fond du paysage Me redit seulement votre sérénité. Vous ne saurez jamais que j’emporte votre âme Comme une lampe d’or qui m’éclaire en marchant ; Qu’un peu de votre voix a passé dans mon chant. Doux flambeau, vos rayons, doux brasier, votre flamme, M’instruisent des sentiers que vous avez suivis, Et vous vivez un peu puisque je vous survis. |
Déposé par GHETGHET le 12/06/2016Tant de belles choses Même s’il me faut lâcher ta main Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Sans pouvoir te dire « à demain » Rien ne défera jamais nos liens Même s’il me faut aller plus loin Couper des ponts, changer de train L’amour est plus fort que le chagrin L’amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or Tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas Tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d’une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu’il t’arrive Je serai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L’état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l’espace qui lie ciel et terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l’aurore Il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes La source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t’endors L’amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache les plus beau des mystères Françoise Hardy |
Déposé par SOCRATE le 12/06/2016Je partage avec vous un texte écrit par Yves Duteil reçu hier sur la page de Socrate. NOS ABSENTS NOUS ACCOMPAGNENT Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?... Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire, conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidé par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait triste de n’être plus triste sans eux… Au panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne… |
Déposé par SOCRATE le 11/06/2016Le présent est une prison sans barreaux, un filet invisible, sans odeur et sans masse, qui nous enveloppe de partout. Il n'a ni apparence ni existence, et nous n'en sortons jamais. Aucun corps, jamais, n'a vécu ailleurs que dans le présent, aucun esprit, jamais,n'a rien pensé qu'au présent. C'est dans le présent que nous nous souvenons du passé, c'est dans le présent que nous nous projetons dans l'avenir. Le présent change tout le temps et il ne cesse jamais d'être là. Et nous en sommes prisonniers. C’est une chose étrange à la fin que le monde Jean d' Ormesson, |
Déposé par GHETGHET le 10/06/2016L’envol des anges L’ombre est bleu et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère. Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une Ascension dont l’essor tremble au clair de lune. N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. Fernand Gregh |
Déposé par mistigri13 le 09/06/2016Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi. Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer. |
Déposé par GHETGHET le 08/06/2016OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui |
Déposé par KEKER le 06/06/2016La plus belle étoile de mon ciel Je serais restée avec toi jusqu'au bout, Au bout d'un chemin qui se termine ainsi En ce jour où s'est arrêté ta vie Je t'aimerai toujours malgré tout... J'aurais voulu ne pas décider pour toi, Mais te voir souffrir n'était pas ce que je voulais De tout mon amour, j'ai préféré Laisser partir une partie de moi La plus belle étoile de mon ciel! Tu vas me manquer... Lorsque ton souffle s'est arrêté, Ma main t’a accompagnée Jusqu'à ce que tes yeux se vident de vie Que ta lumière s'envole à jamais Je n'ai que mes yeux pour pleurer comme on dit... Mais j'ai toujours mon coeur et mes pensées pour t'aimer Et tu restes la plus belle étoile de mon ciel Tu étais tant présente dans ma vie, Qu'aujourd'hui il y a plus qu'un vide! Même si tout doit continuer, Tu restes en moi à jamais. Ta vie est la mienne, même si tu n'es plus là, Ta présence est toujours en moi... Et si tu me vois de la haut, regarde-moi, Mes yeux te chercheront, avec des larmes pour toi... La plus belle étoile de mon ciel s'est éteinte Je marcherai avec ton souvenir, Même si je ne pourrai plus te dire, En te prenant bien fort contre moi, Que je t'aime, plus de mille fois! Tu vas énormément me manquer, Mais je continuerai de penser Au moment où tu étais collée contre moi. Aujourd'hui, je pleure après toi! La plus belle étoile de mon ciel, ce sera toujours toi Tu étais mon chat Tu étais moi Toujours là, Même quand ça n'allait pas Tu venais contre moi. Toute à l'heure, je me suis collée une dernière fois à toi Mes larmes explosent, j'ai tellement de douleur en moi Du fait que tu ne seras plus jamais là... Tu sais, je te l'ai dit, je t'aime, tu me manqueras et je t'aimerai Mais sache à jamais, que jamais, je ne t'oublierai Adieu... Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile! |
Déposé par GHETGHET le 05/06/2016 A UN CHAT Non moins furtif que l'aube aventurière, Non moins silencieux que le miroir, Tu passes et je pense apercevoir Sous la lune équivoque une panthère. Par quelque obscur et souverain décret Nous te cherchons. Nous voulons, fauve étrange Plus lointain qu'un couchant ou que le Gange, Forcer ta solitude et ton secret. Ton dos veut bien prolonger ma caresse; Il est écrit dans ton éternité Que s'accordent à ta frileuse paresse Ma main et son amour inquiété, Ton temps échappe à la mesure humaine. Clos comme un rêve est ton domaine. JOSE LUIS BORGES |
Déposé par GHETGHET le 31/05/2016 a nos êtres cher qu'on surnomme animal ! vous que on appel animaux ou animal vous êtes par-dessus tous des êtres d'amours qui rayonne en vous une merveilleuse lumière unique a chaque 'un d'entre vous ! vous qu'on surnomme animal qui a pas de paroles comme celle de l'êtres humains qui es autre que nous vous savez parlez mieux que nous mais seulement à ceux qui savent écouter ! vous qu'on surnomme animal qui a une vie bien plus courte malheureusement que la notre vous nous rendez nos vies bien complètes avec beaucoup d'amours et de bontés ! vous qu'on surnomme animal vous remplissez nos vie avec plein d'amours pure et gratitudes le vide que nous ne savions même pas que nous avions ! vous qu'on surnomme animal vous avez une fidélités pure et sincères avec gratitudes vous nous abandonnez que pour mourir, mais vous nous laissez beaucoup d'amours avec vos merveilleux souvenirs en éclaircissent le reste de nos chemins ! vous qu'on surnomme animal vous mériter bien plus de respects car la créations de la vie et de la nature vous a créer pas pour la décorations de notre belle terre nature ! vous qu'on surnomme animal nous vous devons beaucoup de respects en vivent en harmonies avec vous et notre belle natures ! vous qu'on surnomme animal nous vous demandons pardon pour toutes la place et le désordres que nous faisons dan notre belle terre natures qui es autan la votre ! vous qu'on surnomme animal nous vous demandons de nous apprendre comment vivre en harmonies avec notre belle natures ! vous qu'on surnomme animal sans vous nous sommes désorienter et inexistant sur notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal sans vous il n'aurais pas de vie sur notre belle terre natures vous estes tous autant que nous des êtres avec une âme ! vous qu'on surnomme animal vous êtes pas différant de nous dan vos âmes vous êtes des êtres de notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal vous êtes des êtres qui se surpasse des pensées humaines vous êtes des êtres source et soutien de tous êtres ! vous qu'on surnomme animal nous vous adorons avec respects car vous êtes des êtres de vie avec beaucoup d'amours ! vous qu'on surnomme animal nous vous disons merci pour toutes l'amoure que vous rependez sur notre belle terre natures ! vous qu'on surnomme animal je vous es écris avec amours de la part de mon GHETGHET que j'AIME qui es un animal d'êtres d'amours tous comme vous es qui es parti rejoindre les êtres d'amours ,les archanges ,les anges , les êtres de lumières le 25 MARS 2016 |
Déposé par GHETGHET le 29/05/2016Hautain, libre, mystérieux, voluptueux, babylonien, impersonnel, il est l'éternel compagnon de la supériorité et de l'art - incarnation de la beauté parfaite et frère de la poésie - le chat doucereux, grave, savant et patricien." H.P. Lovecraft |
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