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In tribute to
EUROPEENPACO
Born on :01/07/1999
left us on:09/04/2013
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In tribute to
PACO
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5224 Flowers
396 messages
left by chacaju on 09/04/2017C'est à mon tour, Paco de t'adresser mes plus belles pensées et de t'envoyer tout plein de gros câlins. Je pense aussi à ta famille, malgré le temps qui file, cette journée est vive en émotions... Fort heureusement, les souvenirs magnifiques et immortels que vous nous avez laissés apaisent notre douleur. Avec toute ma tendresse Petit Paco |
left by Tatachou on 09/04/2017Coucou Paco J'ai repassé la chatière une fois de plus à l’occasion de cet anniversaire qui bouleverse le coeur de ta maman humaine. Je suis sûre que d'où tu es tu peux lui passer tes pattes autour du cou et la remercier de ma part pour son récent passage chez mes anges canins. Douces caresses petit ami. 💛 |
left by biscuit on 09/04/2017Parce que... C'étaient des moments heureux. Ces moments ont existé. Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été, Même la mort. La mort ne balaie rien. Le chagrin peut tout brouiller Un temps. Comme à chaque fois qu'on est séparé de ceux qu'on aime On se dit que plus jamais. Eh bien plus jamais, d'accord. N'empêche que ce qui a été est A l'intérieur. Pour toujours. |
left by tonton on 05/03/2017L'animal ne possède rien, sauf sa vie que si souvent nous lui prenons. Marguerite Yourcenar, |
left by GHETGHET on 02/03/2017 L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini Soit en PAIX et AMOURS a l'infini GABRIEL RINGLET |
left by biscuit on 01/03/2017OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui, , |
left by elise2512 on 07/02/2017“Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.” Jean Cocteau |
left by biscuit on 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Joyeux Noël à vous |
left by biscuit on 03/12/2016Que les étoiles éloignent notre tristesse que les fleurs remplissent notre coeur de beauté que l'espoir essuie nos larmes a jamais que le silence nous rende fort. pensée Amérindienne. mais que le souvenir de ce passé si fragile a notre âme ,notre amour pour nos petits anges ne s'éteigne a jamais,que la lueur de cette flamme brille pour toujours dans notre chair meurtri, afin d'y apporter un peu de lumière ,de sérénité et apaise notre douleur,afin que leur sommeil soit en paix.... |
left by mistigri13 on 29/11/2016Ne sois pas triste. J’ai quitté mon corps au moment juste, sois-en certaine ! Et crois-moi, si j’avais pu le faire de moi-même un peu plus tôt, je l’aurai fait ! Certaines souffrances m’encourageaient à franchir la barrière, je ne pouvais pas me résoudre à partir... pas par peur, mais pour toi ! Je sentais bien que tu n'étais pas prête. Je me suis résigné à attendre encore quelques temps et ton Amour véritable a aussi amélioré ma condition physique, même si ce n’était que provisoire. Hier c’était le moment et je t'ai envoyé des signes que tu as compris, même si tu étais réticente. Tu sais tu as pris la bonne décision ! Et vraiment, je n’envie pas les humains qui se retrouvent comme moi, face à la porte et qui n’ont pas le choix que d’avoir un prolongement infini de leurs souffrances par l’acharnement médical qu’ils subissent. J’ai eu une belle mort. Je n’étais pas seul, j’ai eu des mots d’amour, des gestes d’amour, tout a été très doux et s’est passé d’une manière quasi idéale. J’étais pleinement acceptant et reconnaissant et je le suis encore. Ne sois pas triste, ne pleure pas, tout a été fait au moment juste... je t' aime ! Je ronronne d’Amour pour Toi mon amie, je ne t'oublierai jamais. |
left by GHETGHET on 25/11/2016Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme Se soit éteinte avec le temps , Sur mes sens tu régnas longtemps, Tu vis aujourd'hui dans mon âme ! L'attrait qui séduisit mes yeux, Ma raison aussi le partage , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux. Peut-être autrefois ma tendresse N'avait d'ardeur que le désir , Elle a pu survivre au plaisir Sans rien perdre de son ivresse , C'est un culte saint et pieux Qui succède aux feux du jeune âge , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
left by GHETGHET on 24/11/2016Te le rappelles-tu ce jardin solitaire, Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ? Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère, Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour. Un incarnat léger colorait ton visage , Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux , Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage, Jurèrent de s'aimer à la face des cieux. Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse, Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom, Je te nommais ma vie , alors avec tendresse M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non, T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme , J'ai besoin du garant de son éternité : Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme ! Mais ton âme est promise à l'immortalité. Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
left by GHETGHET on 06/11/2016Ce que je sais Ce que je sais c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que, tous les jours, je vis avec les miens… Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens Ce que je sais encore, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort, et de la barbarie. Tout cela, je le sais, je le crois … Martin Gray |
left by mistigri13 on 05/11/2016Lorsqu'ils disparaissent nos petits compagnons laissent de belles empreintes de pattes à tout jamais dans nos cœurs. Cela ne pourrait pas être autrement étant donné qu'il fut notre confident, notre ami, notre compagnon de vie pendant de belles années. C'est comme un ange. Il vient dans nos vies pour les remplir d'amour et s'en va un jour tout en continuant de veiller sur nous. |
left by GHETGHET on 31/10/2016Je pense à toi, lorsque les lueurs du soleil Brillent dans la mer. Je pense à toi, lorsque le scintillement de la lune Se mire dans les sources. Je te vois, lorsqu’au loin sur le chemin La poussière se soulève, Dans la nuit profonde, lorsque sur l’étroit sente Le voyageur tressaille. Je t’entends, lorsque des murmures étouffés La vague monte là-bas. Dans le paisible bosquet je vais souvent pour écouter Quand tout se tait. Je suis auprès de toi, aussi loin sois-tu, Tu es près de moi. Le soleil baisse, bientôt brilleront les étoiles. Ah ! Si tu étais là ! Goethe |
left by GHETGHET on 25/10/2016le cimetière virtuel pour chats qui es un belle HOAMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des HOMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS de bontés et de lumières avec le cimetière virtuel ces partager en écrits vos vie et rituels vécus avec vous les chats en votre présence avec le cimetière virtuel ces vous envoyer en écrits des belles pensés et des messages de PAIX et d'AMOURS entre terres et ciels avec le cimetière virtuel ces des hommages en écrits et notre AMOURS pour vous qui se prolonges dan la continuités avec le cimetière virtuel pour vous un jardins virtuel fleuris pour adoucir nos chagrins d'AMOURS de votre absence visibles avec le cimetière virtuel ces d'échanger en écrits histoires et rituels de vies vécus en votre présences d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des belles pensés pour vous les chats,vous êtes des êtres d'âmes d'AMOURS comme nous avec le cimetière virtuel ciels terres vies au arc en ciels des hommages pour vous les chats au âmes d'amours que vos AMES soit en PAIX es AMOURS a l'infini PAPA-GHETGHET Merci a cimetières virtuel de pouvoirs faires des hommages a nos chats d'AMOURS |
left by mistigri13 on 23/10/2016Une lueur transperça la nuit. C'était la lueur de milliers de bougies qui luisaient brillantes, fortes et puissantes, Et j'ai compris qu'elle venait de ton amour cette lueur dorée . Même si nous ne pouvons pas plus être ensemble comme avant, Nous sommes toujours reliés par un fil invisible . Chaque fois que tu le souhaites tu peux me retrouver, car nous ne sommes jamais éloignés, Regardes au delà de l'arc-en-ciel et écoutes avec ton coeur . |
left by GHETGHET on 22/10/2016Si vous saviez ce qu'il y a Dans l'œil sans fond d'un petit chat, Qu'il soit jaune, vert ou lilas Vrai, vous n'en reviendrez pas ! On y voit des oiseaux de lune, Des palais de laine et de lait, Le sphinx émergeant de ses lunes, Et des ballets ultraviolets. Sur des bassins d'une eau sans rides, S'épanouit la fleur de lotus Tandis qu'une main translucide Peint des soleils sur papyrus. Tout l'univers est reflété Dans cette goutte de lumière Qui ouvre sur l'éternité Ainsi qu'un hublot sur la mer Marc Alyn |
left by GHETGHET on 19/10/2016Assis sur les genoux du temps, Mon chat,immobile et patients, Fait semblant d’être un sablier, J’entends ses moustaches crisser. Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges Qui tictaquent de sauterelles. Les chaumes marquent midi Et boivent à la paille Des giclées de soleils. Les martinets fouettent le ciel, Mais ça ne le fait guère Avancer pour autant ! Les serpents, minutes lentes, Glissent dans les roselières. Tout près de mon étang secrets, Poussent de grandes sarbacanes Qui lancent vers le ciel Des flèches de lumières A contre-courants, Que seul mon chat discrets comprend. (Christian Poslaniec) |
left by mistigri13 on 04/10/2016Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard... Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!! |
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