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En hommage à
Réglisse
EUROPEEN
Il est né le:25/04/2011
Il nous a quittés le:01/10/2013
 

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En hommage à Réglisse

------------Galerie souvenir pour mon p'tit criquet, ma petite Réglisse-------------


---------------------------------------------------------------------------

Ma toute belle, mon petit criquet, tu es arrivée dans ma vie après un gros malheur.
Longtemps, trop sans doute, tu es restée une petite chatte qui donnait plus d’amour qu’elle n’en recevait.

De pitreries en grosses bêtises décorées de ronrons très bruyants, tu t’es imposée et tu as conquis mon cœur.

Tu ne faisais rien doucement, calvacades dans les couloirs, câlins, sommeil, tout en volume et sans retenue.

Bagarres du matin? tu me mordillais les doigts en ronronnant.
Grondée? Tu te couchais brusquement sur le flanc pour dire « pouce »
ou réclamer l’indulgence, intelligente et tellement facétieuse.

Drôle, gentille, si originale. Tout le monde t’adorait car tu étais sociable et enjouée.
Bavarde et coquine, tu conversais sans cesse.

Maintenant que tu n’es plus, je peux te le dire, je t’ai aimée, autant qu’on a aimé Parnelle,
même si tu es restée si peu près de nous, deux ans et cinq mois pendant lesquels tu as brillé de mille feux.

Tu m'aimais, sans réserve! Tu me suivais partout dans la maison, j'avais fini par te surnommer ma p'tite Glue.

Jamais plus je n’entendrai tes étranges petits claquements de dents quand tu étais excitée par le jeu.
Au coucher, tu ne viendras plus sur mon dos pour faire ton footing de pattounes, mon massage nocturne.
Mes mots ne recevront plus tes petits miaous de grand chaton en écho.

Dans ton dernier éclair de lucidité, je sais que tu m’as reconnu,
tu es venue te blottir contre moi.
Pardonne-moi d’avoir été négligent, imprudent et maladroit.

Ma p’tite belette, ma cric-cric est partie vers le Paradis des chats.
Je t’aime Réglisse.




0 bougie

1180 Fleurs
Déposé par Arcasky
Déposé par Arcasky
❤🍀une clochette de bonheur, une de caresses, une de câlins, une de bisous, une messagère d'amour et voilà le plus beau brin de muguet ❤🍀
Déposé par Arcasky
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💖😺💖😺💖😺💖
Déposé par Arcasky
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💜☁️💜magnifique réglisse j'ai laissé mon livre pour lire ton histoire et celle de parnelle 💜☁️💜
Déposé par pacificelectric
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Déposé par Arcasky
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💞🌸💞🌸💞doux repos magnifique princesse 💞🌸💞🌸💞🌸💞
Déposé par juliana
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💜🔔💜🐣💜🐰💜
Déposé par Arcasky
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💞🔔💞🐣💞réglisse sous les fleurs des petites souris en croquettes à partager avec tes amis 💞🔔💞🐰💞
Déposé par Arcasky
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💖👼💖👼💖soit heureuse réglisse au paradis des chats 🐈 🌈 💖👼💖👼💖
Déposé par superfetatoire
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Déposé par pacificelectric
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Déposé par gribouille
Déposé par gribouille
Tu es très belle aussi Réglisse, tu ressembles à la chatte de ma voisine, reçois plein de câlins, merci pour Mistigri, qui était aussi une écaille de tortue
Déposé par gribouille
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Douce Pensée à Réglisse
Déposé par pacificelectric
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Déposé par NOIXDECOCO
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Déposé par lepapou
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Tu n'es pas oubliée ; Caresses.
Déposé par susi
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162 messages

Déposé par elise2512 le 01/11/2014  
MON ETOILE
Dans ce monde obscur brille une étoile ...
Une étoile qui illumine ma vie ...
Une étoile qui me donne le sourire ...
Une étoile qui m'apporte de la joie de vivre ...
Mais un jour, cette étoile s'éteint ...
Et, tout autour de moi s'écroule ...
Et tout redevient sombre ...
Tout ... sauf le souvenir de cette étoile ...
Qui ne cessera de briller dans mon coeur .....

Déposé par elise2512 le 25/10/2014  
Si tu me vois rire et sourire c'est seulement pour ne pas pleurer,
si tu vois mes yeux briller c'est seulement mes larmes qui essaient de ne pas couler..
Si regarder en arrière te donne du chagrin,
Si regarder en avant t’inspire ce chagrin,
Alors regarde à côté de toi, je serai toujours là.

Déposé par KEKER le 25/10/2014  
Maman, un coucou du paradis pour chats
J’ai mis du temps Maman à t’écrire,
Mais je voulais te rassurer car je sais que tu es très triste depuis mon départ.
Et oui, dans une autre dimension, dans le monde astral,
Il y a un nid rempli d'amour et très douillet pour nous.
Il y a des balles de laine, de l'herbe à chat,
Des rivières de lait, des souris à profusion et surtout…
Il y a plein de toutous, et l’on s’entend super bien
Comme quoi, les humains racontent un peu n’importe quoi, Maman.
Je suis bien où je suis.
Je suis bien entourée.
Toutes les caresses, toutes les tendres attentions, tous les derniers soins que tu m'as offerts,
Je les ai apportés avec moi.
La plus importante des choses que tu dois savoir,
C'est qu'il y a une ouverture dans les nuages d'où je peux te voir.
C'est comme si tu étais avec moi.
D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée.
Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta gentillesse sont gravées dans mon coeur.
Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux lèvres et un ronronnement dans les oreilles,
C'est que je t'aurai rendu une petite visite dans tes songes.
Merci pour ton amour.
Je t'aimerai éternellement!
Que ta douce présence manque à ton papa, petite belette !

Déposé par Migisa le 19/10/2014  
« Les petites bêtises 2 »
Mon petit diablotin comme je l’appelais parfois était très habile de ses pattes, j’ai déjà raconté comment elle s’y prenait pour ouvrir les tiroirs ou des boîtes en carton mais j’avais oublié le coup du compteur électrique. Il est situé dans notre cuisine et il est masqué par un coffrage en bois avec une petite porte qui ferme grâce à un petit système tout simple avec un aimant.
J’avais pris l’habitude d’y planquer mon paquet de cigarettes jusqu’à ce que j’arrête de fumer il y a quelques mois. M’a-t-elle vu manœuvrer cette petite porte en bois ? Est-ce parce que j’y mettais ce paquet ? Toujours est-il que chaque matin, je retrouvais la petite porte bien ouverte ! Je n’ai jamais pu la surprendre en train de le faire mais j’aurais bien voulu savoir comment elle s’y prenait ! Il faut –pour un petit chat du moins- exercer une certaine force, une certaine pression pour y parvenir ou bien s’y prendre habilement en tirant par le côté. Le plus étrange, c’est qu’elle se contentait de faire ça, le paquet de cigarettes était toujours à sa place…
Les choses étaient différentes si j’oubliais de fermer soigneusement la porte des WC, dans les deux maisons qu’elle a connues, plus d’une fois au réveil, j’ai retrouvé des mètres et des mètres de papier déroulé dans les couloirs.
Un autre sport (commun à pas mal de chats d’après ce que j’ai lu par ci par là) était de virer le linge, de préférence mouillé et propre, de l’étendoir dans le « dressing » du premier. Je savais quand elle le faisait rien qu’au bruit. Quand elle était à l’étage, elle faisait souvent un boucan pas possible en courant partout comme une fofolle sur le plancher mais là, c’était des bruits sourds et espacés. Au début, je la prenais sur le fait et je rouspétais mais très vite, elle a changé de stratégie, m’entendant arriver, elle allait se mettre en sphinx sur un sac qui trainait ou sur un petit meuble et faisait l’innocente. Sacrée coquine, elle me regardait avec ses petits yeux ronds, d’un air qui voulait dire « oui ? Qu’y a –t-il ? » alors que chaussettes, t-shirts et serviettes jonchaient le sol. Finalement, ça a fini par me faire rire plus qu’autre chose…
Dans une autre histoire (‘la chasseuse de truffes’) j’ai parlé de sa passion pour les petits objets. Pendant plusieurs semaines, elle en a eu après un petit stylet noir que j’utilise pour un micro-ordinateur. Plusieurs fois, je l’avais trouvé par terre dans mon bureau et je m’étais dit qu’il avait dû rouler et tomber parce que je l’avais mal posé. Lorsque je l’ai retrouvé dans le couloir à trois mètres du bureau, là, je me suis dit qu’il y avait de la Réglisse dans l’air. J’ai changé le stylet de place des tas de fois, rien à faire, elle devait y passer du temps mais hop, je le retrouvais par terre, j’ai dû finalement le mettre dans une petite housse avec d’autres objets.
Elle faisait ce genre de trucs très silencieusement et c’était étonnant car bien que fine et grâcieuse, elle courait ou trottinait à fond en faisant autant de ramdam qu’un troupeau !
Elle avait sa petite part d’ombre et de mystère en fait. Parfois, ne la voyant pas ou ne l’entendant pas, je l’appelais ou j’allais voir ce qu’elle faisait…je cherchais partout dans ses cachettes habituelles, sous la couette, rien, introuvable !! Et puis au bout de 20 minutes, parfois plus, la voilà qui pointait le bout de sa petite goule pointue justement, tranquille et enjouée avec un air de « oui, tu voulais me voir » ou bien de « cette partie de cache-cache, je l’ai nettement gagnée »…
Elle était si drôle, elle me manque terriblement…

Déposé par Migisa le 15/10/2014  
Ma petite belette, comme tout ça est injuste. J'ai mis tant de temps à t'aimer autant que tu le méritais, à me rendre vraiment compte de toutes tes qualités. Et au moment où enfin tu m'étais devenue si précieuse, mon imprudence et ma négligence t'ont emportée.
Et tu es partie seule, loin de moi. Je n'ai pas pu te réconforter, t'accompagner, te rassurer quand tu es partie de l'autre côté. Tu me manques tellement, que ne donnerais-je pas pour une partie de cache cache avec toi...

Déposé par elise2512 le 07/10/2014  
J'étais à l'étranger sans internet, alors je dépose ce message aujourd'hui :
J'ai écrit ton nom dans le sable
mais la vague l'a effacé,
j'ai gravé ton nom sur un arbre,
mais l'écorce est tombée,
j'ai incrusté ton nom dans le marbre
mais la pierre a cassé,
j'ai enfoui ton nom dans mon cœur
et le temps l'a gardé.

Déposé par Migisa le 01/10/2014  
Que te dire en ce jour fatidique? Tu me manques... tes petites cabrioles, tes petits déplacements rapides et vifs de chat de dessin animé, tes étranges bruissements de babines et claquements de dents quand tu étais toute excitée, cette façon que tu avais de te coucher brusquement sur le flanc pour dire stop, pour demander pardon ou tout simplement pour que je m'occupe de toi, le pétrissage de tes petites pattounes sur mon ventre, et, chaque soir sur mon dos...
Tu étais si rigolote, si gentille et tellement belle. Si tu savais comme je m'en veux...

Déposé par chacaju le 01/10/2014  
La marée se retire, laissant sur le rivage les plus beaux coquillages.
Le soleil se couche, laissant ses derniers rayons se refléter sur la ligne d’horizon.
Car pour toute joie qui disparaît … un beau souvenir naît.
Réglisse, et tous nos petits chats tant aimés se sont envolés, mais ils restent cependant juste à côté de nous,
dans nos cœurs et dans nos souvenirs.
Affectueuses pensées, petite Réglisse.

Déposé par KEKER le 01/10/2014  
Pour Réglisse et son papachat... L'amour ne meurt jamais !
Autant j'ai aimé la vie que nous avons eue et toutes ces fois où nous avons joué,
Autant j'étais si fatiguée et j'ai compris que mon temps sur terre était terminé .
J'ai entrevu une image merveilleuse d'un endroit qui est sans chagrin
Où nous nous retrouvons tous pour y passer l'éternité .
J'ai vu le plus beau des arcs-en-ciel et, de l'autre côté, il y avait d'immenses prairies verdoyantes.
Courant à travers prés, aussi loin que mes yeux pouvaient voir, des animaux de toutes sortes resplendissaient de santé !
Et j'ai voulu courir avec eux, mais j'avais oublié de faire quelque chose.
Je voulais venir vers toi et te dire que je suis bien, que cet endroit est vraiment merveilleux.
Et une lueur transperça la nuit,
C'était la lueur de milliers de bougies qui luisaient brillantes, fortes et puissantes,
Et j'ai compris qu'elle venait de ton amour cette lueur dorée.
Même si nous ne pouvons pas plus être ensemble comme avant,
Nous sommes toujours reliées par un fil invisible.
Chaque fois que tu le souhaite tu peux me retrouver, car nous ne sommes jamais éloignés,
Regarde au delà de l'arc-en-ciel et écoute avec ton coeur. ,

Déposé par chacaju le 30/09/2014  
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre.En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu'il serait «triste de n’être plus triste sans eux… »
Au Panthéon de nos coeurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement.
C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur... Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu'il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre laroute ensemble.
L’absence n’est pas qu'un vide. C’est aussi de l’amour
qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu'un… Un beau destin pour nos absents…
Yves Duteil (extrait)

Déposé par KEKER le 29/09/2014  
Pour Réglisse et son papachat...
PASSAGE DE CHAT (ALFRED RUFFIN)
Je me croyais tout seul en mon appartement,
Sur mes vers enrayés penchant ma tête lasse;
Je ne sais quelle voix me dit subitement :
« Regarde à ton côté, voici le chat qui passe! »
C'est lui! c'est bien mon chat, marchant sans plus de bruit
Qu'un flocon se posant à terre sur la neige;
J'ignore près de moi quel dessein l'a conduit,
Mais j'éprouve déjà que mon ennui s'allège.
A cette heure, sans lui je ne soupçonnais pas
Combien ma solitude était douce et paisible :
Du plancher qu'il traverse on dirait que ses pas
Dégagent le Silence et le rendent visible.
Son corps ondule ainsi qu'une suite de flots,
Et sa queue après lui traîne et lui fait escorte;
Ma lampe a sous son front allumé deux falots,
Puis il a disparu dans l'ombre de la porte.
Mais l'unique regard de ce spectre aux yeux verts
A vaincu la torpeur où sommeillait ma verve,
Et je croirai demain, ayant fini mes vers,
Qu'en songe cette nuit j'ai vu passer Minerve.

Déposé par Migisa le 16/09/2014  
L'échéance approche...bientôt un an. J'ai envie de dire "pardonne-moi" mais je sais que pour toi, la question ne se posait même pas, tu avais tellement confiance en moi, tu m'aimais tant, tu ne comprenais pas ce qui t'arrivait, c'est tout... ce que je dois te dire c'est "aide-moi à me pardonner"...

Déposé par KEKER le 09/09/2014  

S´il faut mourir un jour,
Je veux que tu sois là,
Car c´est ton amour
Qui m´aidera
A m´en aller vers l´au-delà.
Alors, je partirai
Sans peur et sans regrets,
Et dans mon délire
Je revivrai toute une vie
De souvenirs.
Pour traverser le miroir,
Je ne veux que ton regard,
Pour mon voyage sans retour,
Mourir auprès de mon amour
Et m´endormir sur ton sourire.
Le temps qui nous poursuit
Ne peut nous séparer.
Même après la vie,
Nos joies passées,
Pour nos unir à l´infini.
Pour m´enfoncer dans la nuit
Et renoncer à la vie
Je veux, dans tes bras qui m´entourent,
Mourir auprès de mon amour,
Et m´endormir sur ton sourire.
Pour traverser le miroir,
Je ne veux que ton regard,
Pour mon voyage sans retour,
Mourir auprès de mon amour,
Et m´endormir sur ton sourire.
(Demis Roussos, "Mourir auprès de mon amour")

Déposé par Migisa le 09/09/2014  
Je pense tellement à toi, je parle tant de toi ces jours-ci... l'an dernier nous vivions notre dernier mois ensemble. Comme tu étais proche de moi et comme je t'aimais et t'admirais ma petite panthère noire et flammes...
Près d'un an après, je m'interroge encore et ça me poursuivra jusqu'à la fin. Comment ai-je pu être aussi inconscient, imprudent et irréfléchi... la nuit, la fatigue accumulée, l'impatience, la panique sans doute... alors que j'aurais dû attendre et éventuellement t'amener de nuit à la clinique pour qu'on découvre ce qui te tourmentait, j'ai pris la décision stupide et précipitée de vaporiser sur toi un insecticide qui s'est avéré fatal. Je n'en reviens toujours pas, il n'y avait aucune urgence, même si tu avais été harcelée par des puces -et ce n'était même pas le cas- il suffisait d'attendre le matin pour aller acheter du Frontline...
Est-ce parce que je n'étais pas assez posé et patient avec toi, parce qu'agacé de te voir si agitée, si étrange et si paniquée je voulais inconsciemment me "débarrasser" du problème? Te mettre de l'insecticide ménager ne me serait même pas venu à l'idée dans d'autres circonstances !!! Quelle erreur, quelle folie...
Tu devrais être là, à mes côtés, toujours aussi belle et drôle. J'aurais pu vivre une très longue superbe histoire avec toi ma belette et tout ça est fini, révolu. En plus du chagrin, il me reste la frustration, ce goût détestable d'inachevé et le poids immense de la culpabilité... tu es partie à cause de moi...

Déposé par Migisa le 29/08/2014  
« Happy »
Je pense qu’elle a été heureuse avec nous, avec moi, mais…aurait pu mieux faire, comme on dit parfois. Je crois que c’est ce que chacun se dit après, une fois qu’ils sont partis… j’aurais dû faire ci et j’aurais pu faire ça, avec le chagrin vient le temps des regrets, du bilan des occasions perdues.
Nous l’avions choisie parce qu’on la trouvait très jolie et aussi parce qu’elle était très différente de Parnelle. Nous ne voulions pas d’un « clone » qui aurait souffert de comparaisons permanentes mais malgré tout ma petite Réglisse a tenu assez longtemps, trop sans doute, le rôle de mimine de remplacement. Je ne pense pas qu’elle en ait souffert énormément car elle était toujours pleine d’entrain, prête à jouer, elle venait vers nous sans cesse et de son côté, l’adoption a été totale et immédiate, mais elle devait quand même sentir que nous n’étions pas en symbiose, que nous étions ‘ailleurs’. J’en suis persuadé car les chats sont très doués pour percevoir notre niveau émotionnel.
Elle avait grand besoin qu’on s’occupe d’elle. Je crois que si elle est restée un peu bébé (beaucoup en fait) c’est en partie à cause de sa nature, de son tempérament mais aussi par l’éducation que je lui ai donnée : surprotégée, abondamment caressée mais aussi grondée, privée de vraies sorties, le fait de la laisser dormir sur mon dos (sa plate-forme préférée pour faire la gestuelle de la tétée)…tout ça a contribué à la maintenir dans un état infantile ! C’était une minoune un peu immature, sevrée alimentairement mais pas tout à fait socialement et ainsi, jusqu’à la fin, elle est restée un grand chaton. A deux ans passés, elle avait toujours une voix de bébé, était obsédée par l’envie de jouer et me faisait le « crabe » comme une petite crevette de quatre mois !
Elle a longtemps été un « chat thérapeutique », pour me permettre de faire le deuil de Parnelle, elle aurait mérité mieux et plus. Je l’ai déjà écrit mais je suis persuadé que le nombre élevé de bêtises, son côté volcan casse-pied en mouvement perpétuel, tout ça était en partie dû à son désir d’attirer notre attention. Alors, elle s’est fait gronder et parfois je gueulais carrément plus que de raison je crois. Ai-je été assez tendre, assez gentil avec elle ? Oui et non, disons qu’elle aussi aimait bien que ce soit physique même niveau câlins, la caresser amenait souvent des petits refus de sa part et ses câlins à elle étaient souvent appuyés, c’était Miss Bourrinus !
Avec le recul et le chagrin parce qu’elle n’est plus là, je me dis que parfois j’aurais pu être plus patient et plus doux quand elle insistait pour avoir mes genoux ou se coucher sur le plan de travail entre l’écran et le clavier mais bon, c’est la vie, parfois on est fatigué, énervé, pas disponible, alors je la prenais et la remettais sans ménagement dans le couloir, hors du bureau, d’où des protestations et des pleurs. Elle ne m’en voulait jamais et revenait « à la charge ». Nicole avait dit une fois « de toutes façons, un chat en veut toujours plus », oui, au bout du compte elle cherchait juste à obtenir le maximum, tout le temps … je crois que c’est parce qu’ils nous aiment encore plus que nous ne les aimons.
Je l’ai donc un peu manquée, ma Réglisse, en n’ouvrant complétement mon cœur qu’assez tard. Je l’ai certes vite aimée et je m’inquiétais chaque fois qu’elle avait un souci, son premier petit vomi, sa grande fatigue après ses vaccins, sa réaction après sa stérilisation mais je freinais mes élans de tendresse, une force inexplicable m’empêchait d’aller totalement vers elle, de me lâcher complétement… le regret que Parnelle n’en soit pas la bénéficiaire ? La peur inconsciente de la « trahir » en aimant très fort une autre ? Je ne sais pas trop…
Au tout début, je me souviens que je lui disais carrément que si j’allais prendre grand soin d’elle, elle ne serait qu’une mimine, un chat, pas « ma fille » comme Parnelle, elle m'écoutait en plissant et en clignant des yeux comme elle le faisait toujours quand je lui parlais tout doucement... et puis le deuil de Parnelle se faisant et mon amour pour Réglisse grandissant, elle a trouvé une place entière. Je crois pouvoir dater ça à peu près, c’est en septembre 2012 que j’ai écrit ma dernière longue histoire sur Parnelle. Si l’on ajoute à ça le fait qu’on avait emménagé dans une nouvelle maison depuis 2 mois, je crois que c’est vers cette époque que Réglisse s’est définitivement installée dans mon cœur.
Longtemps quand je revenais du travail, tout au long de la route, mes pensées étaient accaparées par Parnelle et j’éprouvais du chagrin à l’idée qu’elle ne serait pas là à m’attendre, alors qu’une petite mimine qui ne demandait que ça était dans notre vie. Et un jour, je ne sais pas du tout quand, je me suis rendu compte qu’en rentrant, je pensais à elle, à Réglisse, c’était là dans mon esprit. Je n’avais pas oublié Parnelle, je l’avais mise au chaud dans mes souvenirs, mais celle qui était là et qui nous aimait devenait enfin le « bébé de la maison » à son tour.
Par la suite je n’ai eu de cesse de le lui dire et de me comporter en conséquence, me montrant enfin plus patient, plus tendre, en la prenant dans mes bras plus souvent… je suis heureux et soulagé de l’avoir fait, de lui avoir dit, d’avoir fait en sorte qu’elle le comprenne et qu’elle le ressente.
Ça s’est renforcé à partir du printemps 2013 et depuis l’été elle ne me quittait plus. Les dernières semaines elle allait jusqu’à monter sur le petit meuble qui donne sur la fenêtre des toilettes pour me voir 'à l'oeuvre', elle miaulait jusqu’à ce que je sorte! Si je tardais à aller me coucher, elle s’agitait et rouspétait. Je m’interroge d’ailleurs sur l’intensité de cette proximité : était-ce sa façon de me dire qu’elle sentait que je l’avais totalement acceptée ? Était-ce parce qu’elle sentait que je n’allais pas bien (maux de tête, mal de dos, crampes …autant de signes annonciateurs du burnout qui arrivait) ? Ou bien était-ce elle qui ne se sentait pas bien ? Ou qui pressentait un drame ? Je laisserai ça à la part de mystère qui va avec tout chat…
Je m’interroge sur ses ronrons aussi. Le ronronnement n’est pas toujours synonyme de plaisir pour un chat, il peut aussi traduire de l’angoisse. Depuis toute petite elle ronronnait pour un oui pour un non : caresses ? ok, mots gentils ? ok, mais les regards ? était-ce parce qu’elle cherchait mon cœur ou parce qu’elle était impressionnée par ce grand monsieur qui parfois criait très fort ? Les bagarres avec mes mains ? il y avait du plaisir c’est certain mais est-ce qu’elle ronronnait aussi parce que cette main qui jouait et caressait donnait aussi des petites tapes sur le derrière ? Elle donnait l’impression de mélanger les sentiments, les sensations…
Aujourd’hui, je ne sais que trop qu’elle ne reviendra pas, que je ne la reverrai jamais et elle me manque. Elle était un formidable compagnon de jeux qui égayait une existence parfois bien difficile. Il y a le chagrin, la frustration, le poids de ma faute, et des tas de questions mais… quand j’ai des doutes sur l’intensité du bonheur qu’elle a eu d’être à nos côtés, j’essaie de penser très fort à tous les instants heureux qu’elle a passés avec moi : nos nombreuses parties de cache-cache, nos petites ‘bagarres’, les câlins sur mon ventre ou sur mon dos, ses petites sorties avec moi dans le jardin, les petites caresses que je lui faisais en passant, son corps gracieux qui se frottait contre mes jambes, cet adorable mouvement de danse, de toupie qu’elle faisait si souvent quand je lui donnais à manger ou tout simplement comme ça pour manifester son contentement, sa joie et son plaisir quand je lui accordais mes genoux, nos longs ‘dialogues’, les moments où elle dormait bien et profondément … alors je me dis que oui, elle s’est bien amusée, je l’aimais et elle m’aimait, c’est ça qui compte…

Déposé par Migisa le 26/08/2014  
par ma faute et ma négligence, nous allions être bientôt séparés...comme je t'aimais ma petite belette si drôle et si coquine... que cet été 2013 restera dans ma mémoire, un été de jeux avec toi, à savourer ta compagnie ...et puis tu es partie pour toujours...

Déposé par KEKER le 17/08/2014  
Pour toi ma petite maman
Maman j'accrocherai aux nuages des notes de musique,
Pour que tu ne sois plus jamais triste !
Maman tu regarderas le ciel tous les soirs tu y verras mon minois,
Que tu garderas dans ton coeur juste pour toi !
Maman je ne veux plus que tu pleures,
Toi ma petite maman, ma petite fleur !
Maman je veux voir de la haut du bonheur dans tes yeux,
Je veux qu'ils brillent de mille feux juste pour nous deux !
Maman c'est vrai que je ne suis plus là,
Mais crois moi ma petite maman je ne suis pas loin de toi !
Je suis juste ailleurs dans ce paradis blanc,
Ou comme tu le dis si bien maman !
Mon âme danse éternellement,
Jusqu'a la fin des temps !

Déposé par Migisa le 11/08/2014  
« Les petites bêtises 1 »
Réglisse était une chipie, une sacrée brigande, sans cesse taraudée par l’envie de jouer ou de découvrir…
J’ai déjà expliqué à quel point elle n’était pas gourmande mais je n’ai pas tout dit sur son attitude par rapport à la nourriture. Toute petite, un de ses jeux préférés était d’inspecter la corbeille à pain pour en sortir tous les petits bouts et croûtons qui trainaient, pas pour les manger ou les grignoter mais juste comme ça pour faire du « ménage ». Enfin, son ménage à elle car certains matins au réveil, je ne vous raconte pas le chantier sur le sol de la cuisine, tapissé de miettes et de bouts de pain… hm la pauvre, ça a donné lieu à quelques éclats de voix mais ça ne l’a pas empêché de recommencer encore et encore. Recouvrir la corbeille d’une ou plusieurs serviettes de table n’eut aucun effet, c’est elle-même qui un jour a cessé cette activité !
Elle ne réclamait jamais à manger, pas de miaous quand la gamelle était vide, elle se contentait de camper aux environs et cherchait mon regard ou se dirigeait vers moi en trottinant. Je ne comprenais pas toujours ce qu’elle voulait, au début du moins mais j’ai vite appris. J’allais chercher ses croquettes et là j’avais souvent droit à son petit pas de danse, de toupie, qui m’a tant intrigué d’abord puis enchanté tellement c’était gracieux et drôle : son corps s’élevait, elle avait les pattes avant tendues et elle décrivait un petit arc de cercle en retombant sur le sol. C’était bien plus qu’un tic ou une manie je crois, mais sa manière à elle d’exprimer sa joie et sa reconnaissance.
Il y avait un autre signal concernant la boubouffe, à propos de la fraîcheur des croquettes ! Si sa gamelle avait un fond de croquettes qui était resté là trop longtemps à son goût, elle les transférait dans son eau, dans le compartiment de sa grande gamelle bleue. Au lever, quand je trouvais une vingtaine de croquettes gorgées d’eau en train de flotter, c’était le signal évident que j’avais trop attendu pour les renouveler et par la même occasion pour changer son eau ! Son seul pêché mignon aura été le thon, je lui en donnais systématiquement au retour de nos petites et courtes sorties dans le jardin, et là, agitation et miaous étaient de mise, elle adorait ça. A condition que ça ne soit pas trop froid et bien juteux, sinon elle en laissait plus de la moitié dans la petite soucoupe que j’utilisais pour sa seule et unique gourmandise…

Déposé par Migisa le 05/08/2014  
Ce mardi-là, je suis allé te voir à la clinique. Tu étais couchée sur le flanc, immobile et sans vie. Tu étais partie aux premières heures de la nuit, seule, loin de ta maison, loin de moi. Tu étais dans un état de conscience très réduit m’a-t-on dit. Je l’espère, j’ose croire que tu n’as eu conscience de rien et surtout pas de ta solitude.
Le dernier souvenir de toi est bien douloureux. La nuit du dimanche au lundi, dans l’entrebâillement de la porte j’ai croisé ton regard inquiet et incrédule alors que je devais te laisser aux bons soins du vétérinaire de garde.
Que le trajet de la maison à la clinique avait été dur. Je te parlais, fort et souvent, dans l’espoir de te garder bien éveillée et tu me répondais avec tes petits miaous plaintifs habituels. Je te faisais le serment qu’on allait te soigner et te sauver et je te demandais pardon…
Je ne saurai jamais pourquoi j’ai réagi comme ça. Tu m’avais réveillé en pleine nuit, tu grognais, te plaignais et trottinait de manière étrange dans tous les sens. Qu’avais-tu ma pauvre petite belette ?
J’ai tout compris et tout fait de travers. Une maison infestée de loirs, ta propension à faire tout un drame si un insecte t’embêtait et j’en ai déduit que des puces te torturaient. La suite tu la connais : plus de frontline en stock et ma décision lourde, irresponsable, irréfléchie d’utiliser un insecticide ménager. Je me revois hésitant un instant car je me disais que tu n’allais pas trouver ça agréable, l’idée que ce produit pouvait être dangereux pour toi ne m’a même pas effleurée… si j’avais lu la notice j’aurais lu ce minuscule encart « ne pas vaporiser sur un animal domestique » mais comme j’utilisais cette saleté depuis des années, je ne m’en suis pas soucié. J’ai sous-estimé ta souffrance, tu ne faisais pas de comédie à cause des puces, il y avait autre chose et je ne saurai jamais quoi. J’ai été impatient et ça c’était le poids de mon attitude avec toi, trop pressé et trop autoritaire et le prix à payer aura été ta vie et mon chagrin…
On était devenus si proches, si complices ces derniers mois. Tu étais magnifique, d’une bonté qui touchait à l’innocence et un merveilleux compagnon de jeu. Nous aurions pu et dû vivre une longue histoire…

Déposé par Migisa le 31/07/2014  
Un été sans toi ma petite Réglisse. L'an dernier, par ces mêmes chaudes journées tu étais la seule présence, ma seule compagnie dans cette maison que tu aimais tant. Comme tu t'es rapprochée de moi et moi de toi alors... que de dialogues et d'interminables jeux et parties de cache-cache...
Tu me manques tellement... j'ai tellement de regrets, pas seulement parce que par ma faute tu es partie de ce monde mais parce que j'aurais voulu faire plus pour toi, te donner plus et t'avoir pleinement aimée plus tôt. Tu étais si belle et si étonnante, je suis passé à côté d'une histoire qui aurait pu être au moins aussi longue et exceptionnelle que celle que j'ai connue avec Parnelle...




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Highslide JS

ce jardin que tu aimais tant....
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entreprise de charme
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coquine en embuscade
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joujou et encore joujou
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prête à jouer...
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panthère noire et flammes
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quoi faire maintenant?
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ça a l'air bien dehors
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gros dodo sous la couette
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footing de pattounes sur le pouf
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ma très belle, ma Gliglisse...
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chez ma nounou SPA, avant la maison
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on me gronde? je me couche!
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oui, c'est moi la plus belle
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bébé dort
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pas mal ce sofa
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avec ma maîtresse...
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déchiqueter du papier, ça défoule...
Highslide JS
ah le dehors, j'y retournerais bien!
Highslide JS
ronfler !
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