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En hommage à
EUROPEENodyssée
Il est né le:31/01/1998
Il nous a quittés le:05/09/2011
0 bougie
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5 messages
Déposé par elise2512 le 05/09/2014Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais réellement. Ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs les plus précieux. Nos sentiments et notre amour à leur égard sont intarissables et, quand bien même, nous ne pouvons ni les toucher, ni les sentir, il nous suffit de fermer les yeux pour les voir. Grosses papouilles petit ange.. |
Déposé par KEKER le 04/09/2014Ne pleure plus ma petite maman ... Sèche tes larmes de souffrance, car je ne t'ai pas laissé. Je suis toujours là, tout prés de toi, Je suis le doux vent et la fine brise du matin Qui sur ta peau si douce vient te faire frissonner, je suis la fine caresse du vent Qui dans tes cheveux ne cherche qu'a retrouver ta présence Pour s'y rendormir éternellement... Ma petite maman, Je serai là tout près pour toujours, et lorsque tu auras le coeur gros, et que ton âme sera lourde de chagrin et que ta pensée me reviendra, Tu n'auras qu'à penser que nous nous retrouverons un jour, là haut, où je suis retourné ... J'ai mes ailes maman ... et comme une hirondelle je peux voler, je suis libre ... Je suis ton ange ... J'ai eu une mission ... Non pas pour te rendre malheureuse J'ai eu une demande du créateur pour gagner ces ailes, Et pour pouvoir devenir ton ange ... Maman ... Avant de te connaître, Je ne pouvais m'imaginer ce qu'était l'amour Et j'ai voulu l'apprendre au péril de ma vie. Je l'avais choisi et ensemble nous ne faisions plus qu'un seul Je connais la douce mélodie des battements de ton coeur, Ainsi que leur plus profond secret, et ta voix maman ... C'est la plus belle qu'il me soit donner d'avoir entendu ... Maman je t'ai choisi, sachant qu'un jour, Nous serons de nouveau réunis dans ce beau paradis, Tu verras comment on y est bien. Mais maintenant , s'il te plait ne pleure plus ... Car je serais toujours avec toi, ma pensée accompagnera toujours la tienne ... Et surtout n'oublie pas maman Lorsque tu sentiras sur ta peau ou tes cheveux une fine caresse du vent, Lorsqu'il y aura une belle hirondelle Ou lors d'une soirée si tu regardes les étoiles, N'oublie pas pense à moi, car je serai là. Mais maintenant ne sois plus triste pour moi Je t'aime... , |
Déposé par elise2512 le 17/04/2014LE PETIT CHAT C’est un petit chat noir, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table, souvent. Quelquefois il s’assied sans faire de tapage; On dirait un joli presse-papier vivant. Rien de lui, pas un poil de sa toison ne bouge. Longtemps, il reste là, noir sur un feuillet blanc, A ces matous, tirant leur langue de drap rouge, Qu’on fait pour essuyer les plumes, ressemblant. Quand il s’amuse, il est extrêmement comique, Pataud et gracieux, tel un ourson drôlet. Souvent je m’accroupis pour suivre sa mimique Quand on met devant lui la soucoupe de lait. Tout d’abord de son nez délicat il le flaire, Le frôle; puis, à coups de langue très petits, Il le lampe; et dès lors il est à son affaire; Et l’on entend, pendant qu’il boit, un clapotis. Il boit, bougeant la queue et sans faire une pause, Et ne relève enfin son joli museau plat Que lorsqu’il a passé sa langue rêche et rose Partout, bien proprement débarbouillé le plat. Alors, il se pourlèche un moment les moustaches, Avec l’air étonné d’avoir déjà fini; Et, comme il s’aperçoit qu’il s’est fait quelques taches, Il relustre avec soin son pelage terni. Ses yeux jaunes et bleus sont comme deux agates; Il les ferme à-demi, parfois, en reniflant, Se renverse, ayant pris son museau dans ses pattes, Avec des airs de tigre étendu sur le flanc. Mais le voilà qui sort de cette nonchalance, Et, faisant le gros dos, il a l’air d’un manchon; Alors pour l’intriguer un peu, je lui balance, Au bout d’une ficelle invisible un bouchon. Il fuit en galopant et la mine effrayée, Puis revient au bouchon, le regarde, et d’abord Tient suspendue en l’air sa patte repliée, Puis l’abat, et saisit le bouchon et le mord. Je tire la ficelle, alors, sans qu’il le voie; Et le bouchon s’éloigne, et le chat noir le suit, Faisant des ronds avec sa patte qu’il envoie, Puis saute de côté, puis revient, puis refuit. Mais dès que je lui dis: "Il faut que je travaille; Venez vous asseoir là, sans faire le méchant!" Il s’assied ... Et j’entends, pendant que j’écrivaille, Le petit bruit mouillé qu’il fait en se léchant. ****** Edmond Rostand |
Déposé par sky le 20/03/2014Dans ce beau paradis tu as retrouvé la vue,alors profites bien,gambades avec tous tes amis ! |
Déposé par titichat le 20/02/2014Odyssée, quel beau prénom au long cours pour une mimine si belle. Que ton voyage dans l'au-delà soit aussi beau et serein que la vie que tu as vécue ici-bas |
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